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Le règlement existe bel et bien, c'est l'article 1.1.006 bis du règlement UCI du sport cycliste.
Mais il n'est pas absolu, il existe d'une part une prescription de 5 ans : " une licence peut être accordée si une période de plus de 5 ans s’est écoulée depuis la fin de la suspension imposée pour la dernière violation prise en considération" ;
d'autre part un aménagement pour les dopés antérieurs à la règle, tout simplement parce que c'est une base du droit pénal qu'on ne puisse pas infliger à quelqu'un une sanction qui n'existait pas à l'époque de sa faute
Merci pour toutes ces précisions.
Autrement dit, ceux qui espéraient ne plus voir des anciens dopés graviter dans le milieu du cyclisme peuvent espérer encore longtemps...
Le règlement existe bel et bien, c'est l'article 1.1.006 bis du règlement UCI du sport cycliste.
Mais il n'est pas absolu, il existe d'une part une prescription de 5 ans : " une licence peut être accordée si une période de plus de 5 ans s’est écoulée depuis la fin de la suspension imposée pour la dernière violation prise en considération" ;
d'autre part un aménagement pour les dopés antérieurs à la règle, tout simplement parce que c'est une base du droit pénal qu'on ne puisse pas infliger à quelqu'un une sanction qui n'existait pas à l'époque de sa faute
Non mais un pur scandale. Le réglement date de 2011 et Boogerd comme Menchov ont bien été condamnés depuis... J’ajoute que la fin de leur suspension date d’il y a moins de 5 ans !
J’en ai la nausée, quand je repense à l’energie que je mets à défendre les efforts du cyclisme, face à mes amis qui le considèrent, visiblement à raison, comme définitivement gangréné et donc sans aucun intérêt sportif.
Pour plus de précision, le 1.1.006 bis actuel ne s'applique que pour les sanctions postérieures au 1er octobre 2018, donc à Boogerd et Menchov c'est son ancienne rédaction qui s'applique.
L'article disait avant le 1er octobre 2018 : "cette clause s'applique en cas de violation commise dès le 1er juillet 2011", donc Boogerd n'est pas concerné, même s'il a été condamné après, c'est pour une violation avant
Pour Menchov, je ne sais pas, ce peut être la clause "un délai de cinq ans s’est écoulé entre le moment de la violation et le premier jour de l’année pour laquelle la licence est délivrée", mais http://www.cyclingnews.com/news/menchov ... m-rusvelo/ semble le déduire de sa non-contestation de la sanction
wallers a écrit : 08 janv. 2019, 23:43
De nouvelles sanctions sont tombées pour les positifs du Tour de Costa Rica 2017 :
8 ans pour Cesar Rojas (qui échappe donc à la suspension à vie).
4 ans pour Jose Alexis Rodriguez Villalobos et Leandro Varela.
4 autres avaient déjà pris 4 ans dans cette affaire (Melvin Mora Garita, Kevin Murillo Solano, Jordy Sandoval et Vladimir Fernandez). 5 autres cas restent à notifier, parmi lesquels Juan Carlos Rojas.
Pour Cesar Rojas, j'ai revérifié le règlement que j'avais un peu oublié : 8 ans, finalement, c'est le tarif normal pour une première récidive.
Outre JC Rojas, les 4 autres en attente de sanction sont Jose Irias, Jason Huertas, Gabriel Marin et Jeancarlo Padilla.
Selon un article d'un journal local, ce n'est pas sûr que le cas de JC Rojas soit considéré comme une récidive.
En effet, lorsque l’UCI avait annoncé la suspension provisoire des 12 coureurs, il paraît (selon cet article) que le communiqué ne parlait de récidive que pour son frère Cesar (dont la suspension de 2 ans date de 2012, alors que celle de Juan Carlos est plus ancienne, elle date de 2007).
Quef a écrit : 09 janv. 2019, 00:04
Non mais un pur scandale. Le réglement date de 2011 et Boogerd comme Menchov ont bien été condamnés depuis... J’ajoute que la fin de leur suspension date d’il y a moins de 5 ans !
J’en ai la nausée, quand je repense à l’energie que je mets à défendre les efforts du cyclisme, face à mes amis qui le considèrent, visiblement à raison, comme définitivement gangréné et donc sans aucun intérêt sportif.
Ma question est simple : que fait le Président de l'UCI? Quand je dis depuis le début qu'il ne "révolutionnera " rien au sein de l'instance fédérale, en bon politicien qu'il est. Beaucoup se réjouissait qu'un français soit à la tête de l'UCI, éjectant les anglos-saxons qui étaient en place depuis des années....... J'attends toujours sa première grande décision qui va bouleverser le mal être actuel du cyclisme, et surtout redorer l'image d'un sport bien sali par l'opinion public.
flahutes12 a écrit : 09 janv. 2019, 06:57
Ma question est simple : que fait le Président de l'UCI? Quand je dis depuis le début qu'il ne "révolutionnera " rien au sein de l'instance fédérale, en bon politicien qu'il est. Beaucoup se réjouissait qu'un français soit à la tête de l'UCI, éjectant les anglos-saxons qui étaient en place depuis des années....... J'attends toujours sa première grande décision qui va bouleverser le mal être actuel du cyclisme, et surtout redorer l'image d'un sport bien sali par l'opinion public. par les acteurs du cyclisme.
Est-on d'accord que c'est le dopage qui salit le cyclisme? Le pointer n'est que sa conséquence!
flahutes12 a écrit : 09 janv. 2019, 06:57
Ma question est simple : que fait le Président de l'UCI? Quand je dis depuis le début qu'il ne "révolutionnera " rien au sein de l'instance fédérale, en bon politicien qu'il est. Beaucoup se réjouissait qu'un français soit à la tête de l'UCI, éjectant les anglos-saxons qui étaient en place depuis des années....... J'attends toujours sa première grande décision qui va bouleverser le mal être actuel du cyclisme, et surtout redorer l'image d'un sport bien sali par l'opinion public. par les acteurs du cyclisme.
Est-on d'accord que c'est le dopage qui salit le cyclisme? Le pointer n'est que sa conséquence!
En politique, il faut agir vite et prendre d'emblée des mesures importantes.Le fait est que nous avons tres vite compris que l'attentisme redouté s' est manifesté Un an et demi après, déjà, quoi? pas grand chose et même moins qu'avec Cook son. Impatience? Non Urgence.
wallers a écrit : 08 janv. 2019, 23:43
De nouvelles sanctions sont tombées pour les positifs du Tour de Costa Rica 2017 :
8 ans pour Cesar Rojas (qui échappe donc à la suspension à vie).
4 ans pour Jose Alexis Rodriguez Villalobos et Leandro Varela.
4 autres avaient déjà pris 4 ans dans cette affaire (Melvin Mora Garita, Kevin Murillo Solano, Jordy Sandoval et Vladimir Fernandez). 5 autres cas restent à notifier, parmi lesquels Juan Carlos Rojas.
Pour Cesar Rojas, j'ai revérifié le règlement que j'avais un peu oublié : 8 ans, finalement, c'est le tarif normal pour une première récidive.
Outre JC Rojas, les 4 autres en attente de sanction sont Jose Irias, Jason Huertas, Gabriel Marin et Jeancarlo Padilla.
Selon un article d'un journal local, ce n'est pas sûr que le cas de JC Rojas soit considéré comme une récidive.
En effet, lorsque l’UCI avait annoncé la suspension provisoire des 12 coureurs, il paraît (selon cet article) que le communiqué ne parlait de récidive que pour son frère Cesar (dont la suspension de 2 ans date de 2012, alors que celle de Juan Carlos est plus ancienne, elle date de 2007).
Ah oui, donc 10 ans sans se faire attraper et c'est la remise des compteurs à zéro ou presque.
Peut-être de quoi limite donner envie à Rojas de venir faire un ultime comeback avant de raccrocher. S'il prend 4 ans, il n'aurait guère que 41 ans pour son retour, ça se tente...
A noter d'ailleurs, et je pense qu'il doit être l'un des rares à qui c'est arrivé, que Juan Carlos Rojas a subi ce contrôle positif le jour de son anniversaire...
flahutes12 a écrit : 09 janv. 2019, 06:57
Ma question est simple : que fait le Président de l'UCI? Quand je dis depuis le début qu'il ne "révolutionnera " rien au sein de l'instance fédérale, en bon politicien qu'il est. Beaucoup se réjouissait qu'un français soit à la tête de l'UCI, éjectant les anglos-saxons qui étaient en place depuis des années....... J'attends toujours sa première grande décision qui va bouleverser le mal être actuel du cyclisme, et surtout redorer l'image d'un sport bien sali par l'opinion public. par les acteurs du cyclisme.
Est-on d'accord que c'est le dopage qui salit le cyclisme? Le pointer n'est que sa conséquence!
« Depuis que j’ai signé mon premier contrat pro (2014), je subis douze à quinze contrôles antidopage par an. Une moyenne raisonnable pour un coureur comme moi, qui ne suis pas un habitué des podiums » : Loïc Vliegen sourit. A 25 ans, le Verviétois a toujours dû s’astreindre à cette gymnastique rigoureuse et régulière des tests urinaires et sanguins, des données de géolocalisation à injecter sans relâche dans le système ADAMS. « C’est contraignant mais ça fait partie du job », résume le Hervien.
« Pas au café du coin »
Cette saison 2019 lui impose cependant d’importants changements. Transféré cet hiver chez Wanty-Groupe Gobert, la meilleure équipe européenne de D2 (Conti Pro), Loïc Vliegen doit désormais prendre en charge lui-même la gestion et l’actualisation des données à transmettre aux instances antidopage. « Chez BMC, l’une des plus grandes équipes du WorldTour, une personne était spécialement chargée du traitement et de la communication des données de tous les coureurs. Elle centralisait les renseignements (localisation, programme des voyages et des compétitions, données physiologiques) pour l’ensemble du team, un luxe qui ne peut forcément être de mise partout. Dans ma nouvelle équipe Wanty-Groupe Gobert, nous devons logiquement prendre tout cela en charge nous-mêmes. »
Cela requiert rigueur et discipline. « Je maîtrise de mieux en mieux les outils numériques mais heureusement, ma compagne Heather me donne un précieux coup de main. S’il faut soumettre les adresses précises d’une épreuve par étapes, sans même parler d’un grand tour de trois semaines, cela devient vite fastidieux. Surtout pour des données en langue arabe, comme lors des Tours de Dubaï ou d’Abu Dhabi par exemple. »
La saison dernière, le coureur a reçu les chaperons antidopage à trois reprises chez lui. Sans anicroche même si, parfois, il faut faire contre mauvaise fortune bon cœur. « J’indique toujours une heure préférentielle de disponibilité : entre 7 et 8h du matin. Un jour, j’ai reçu un coup de fil d’un contrôleur qui était devant chez moi et m’attendait. Il était 14h, j’étais en train de faire des courses en famille chez Ikea… » Shopping interrompu, retour dare-dare à la maison, en dehors pourtant du créneau horaire prévu. « Le contrôleur était d’accord de venir vers moi, il proposait qu’on se rencontre à mi-chemin. Mais je me voyais mal subir un test au café du coin… » Vliegen en a vu d’autres.
« En avril 2018, après Liège-Bastogne-Liège, j’apprends par mes patrons que je suis sélectionné pour le Giro, qui débute cinq jours plus tard. Pour prendre un peu de repos dans de chouettes conditions avant de repartir loin de chez moi pour un petit mois, ma compagne et moi avions décidé de passer une nuit au calme, aux Thermes de Chaudfontaine. A 6h15 le lendemain matin, un contrôleur sonnait à ma porte… »
DanielH a écrit : 10 janv. 2019, 10:03« Depuis que j’ai signé mon premier contrat pro (2014), je subis douze à quinze contrôles antidopage par an. Une moyenne raisonnable pour un coureur comme moi, qui ne suis pas un habitué des podiums » : Loïc Vliegen sourit. A 25 ans, le Verviétois a toujours dû s’astreindre à cette gymnastique rigoureuse et régulière des tests urinaires et sanguins, des données de géolocalisation à injecter sans relâche dans le système ADAMS. « C’est contraignant mais ça fait partie du job », résume le Hervien.
« Pas au café du coin »
Cette saison 2019 lui impose cependant d’importants changements. Transféré cet hiver chez Wanty-Groupe Gobert, la meilleure équipe européenne de D2 (Conti Pro), Loïc Vliegen doit désormais prendre en charge lui-même la gestion et l’actualisation des données à transmettre aux instances antidopage. « Chez BMC, l’une des plus grandes équipes du WorldTour, une personne était spécialement chargée du traitement et de la communication des données de tous les coureurs. Elle centralisait les renseignements (localisation, programme des voyages et des compétitions, données physiologiques) pour l’ensemble du team, un luxe qui ne peut forcément être de mise partout. Dans ma nouvelle équipe Wanty-Groupe Gobert, nous devons logiquement prendre tout cela en charge nous-mêmes. »
Cela requiert rigueur et discipline. « Je maîtrise de mieux en mieux les outils numériques mais heureusement, ma compagne Heather me donne un précieux coup de main. S’il faut soumettre les adresses précises d’une épreuve par étapes, sans même parler d’un grand tour de trois semaines, cela devient vite fastidieux. Surtout pour des données en langue arabe, comme lors des Tours de Dubaï ou d’Abu Dhabi par exemple. »
La saison dernière, le coureur a reçu les chaperons antidopage à trois reprises chez lui. Sans anicroche même si, parfois, il faut faire contre mauvaise fortune bon cœur. « J’indique toujours une heure préférentielle de disponibilité : entre 7 et 8h du matin. Un jour, j’ai reçu un coup de fil d’un contrôleur qui était devant chez moi et m’attendait. Il était 14h, j’étais en train de faire des courses en famille chez Ikea… » Shopping interrompu, retour dare-dare à la maison, en dehors pourtant du créneau horaire prévu. « Le contrôleur était d’accord de venir vers moi, il proposait qu’on se rencontre à mi-chemin. Mais je me voyais mal subir un test au café du coin… » Vliegen en a vu d’autres.
« En avril 2018, après Liège-Bastogne-Liège, j’apprends par mes patrons que je suis sélectionné pour le Giro, qui débute cinq jours plus tard. Pour prendre un peu de repos dans de chouettes conditions avant de repartir loin de chez moi pour un petit mois, ma compagne et moi avions décidé de passer une nuit au calme, aux Thermes de Chaudfontaine. A 6h15 le lendemain matin, un contrôleur sonnait à ma porte… »
Si cela devait arriver à Neymar, Djokovic ou L. Hamilton (ou d'autres "stars" ou "moins-stars" de ces disciplines), j'entends déjà les réactions indignées (et je lis déjà les 10 pages dans l'Equipe s/Neymar)
Si cela devait arriver à Neymar, Djokovic ou L. Hamilton (ou d'autres "stars" ou "moins-stars" de ces disciplines), j'entends déjà les réactions indignées (et je lis déjà les 10 pages dans l'Equipe s/Neymar)
Si cela devait arriver à Neymar, Djokovic ou L. Hamilton (ou d'autres "stars" ou "moins-stars" de ces disciplines), j'entends déjà les réactions indignées (et je lis déjà les 10 pages dans l'Equipe s/Neymar)
Pas grave, faut etre « fiers » de cela. Le cyclisme montre la voix. Et il faut reconnaitre que le cyclisme est certainement le mieux placé pour montrer cette voix.
Il est regrettable que certains controleurs abusent mais il faut tirer les autres sports vers le haut, et non tirer tout le monde vers le bas. Avec les suivis actuels, on a encore droit à des Horner et des cyborgs qui s’empilent les uns apres les autres chez Sky, preuve qu’il faut durcir et non pas assouplir.
DanielH a écrit : 10 janv. 2019, 10:03« Depuis que j’ai signé mon premier contrat pro (2014), je subis douze à quinze contrôles antidopage par an. Une moyenne raisonnable pour un coureur comme moi, qui ne suis pas un habitué des podiums » : Loïc Vliegen sourit. A 25 ans, le Verviétois a toujours dû s’astreindre à cette gymnastique rigoureuse et régulière des tests urinaires et sanguins, des données de géolocalisation à injecter sans relâche dans le système ADAMS. « C’est contraignant mais ça fait partie du job », résume le Hervien.
« Pas au café du coin »
Cette saison 2019 lui impose cependant d’importants changements. Transféré cet hiver chez Wanty-Groupe Gobert, la meilleure équipe européenne de D2 (Conti Pro), Loïc Vliegen doit désormais prendre en charge lui-même la gestion et l’actualisation des données à transmettre aux instances antidopage. « Chez BMC, l’une des plus grandes équipes du WorldTour, une personne était spécialement chargée du traitement et de la communication des données de tous les coureurs. Elle centralisait les renseignements (localisation, programme des voyages et des compétitions, données physiologiques) pour l’ensemble du team, un luxe qui ne peut forcément être de mise partout. Dans ma nouvelle équipe Wanty-Groupe Gobert, nous devons logiquement prendre tout cela en charge nous-mêmes. »
Cela requiert rigueur et discipline. « Je maîtrise de mieux en mieux les outils numériques mais heureusement, ma compagne Heather me donne un précieux coup de main. S’il faut soumettre les adresses précises d’une épreuve par étapes, sans même parler d’un grand tour de trois semaines, cela devient vite fastidieux. Surtout pour des données en langue arabe, comme lors des Tours de Dubaï ou d’Abu Dhabi par exemple. »
La saison dernière, le coureur a reçu les chaperons antidopage à trois reprises chez lui. Sans anicroche même si, parfois, il faut faire contre mauvaise fortune bon cœur. « J’indique toujours une heure préférentielle de disponibilité : entre 7 et 8h du matin. Un jour, j’ai reçu un coup de fil d’un contrôleur qui était devant chez moi et m’attendait. Il était 14h, j’étais en train de faire des courses en famille chez Ikea… » Shopping interrompu, retour dare-dare à la maison, en dehors pourtant du créneau horaire prévu. « Le contrôleur était d’accord de venir vers moi, il proposait qu’on se rencontre à mi-chemin. Mais je me voyais mal subir un test au café du coin… » Vliegen en a vu d’autres.
« En avril 2018, après Liège-Bastogne-Liège, j’apprends par mes patrons que je suis sélectionné pour le Giro, qui débute cinq jours plus tard. Pour prendre un peu de repos dans de chouettes conditions avant de repartir loin de chez moi pour un petit mois, ma compagne et moi avions décidé de passer une nuit au calme, aux Thermes de Chaudfontaine. A 6h15 le lendemain matin, un contrôleur sonnait à ma porte… »
Si cela devait arriver à Neymar, Djokovic ou L. Hamilton (ou d'autres "stars" ou "moins-stars" de ces disciplines), j'entends déjà les réactions indignées (et je lis déjà les 10 pages dans l'Equipe s/Neymar)
Si le passeport bio avait existé du temps de Bernard Hinault, j'aurais bien aimé voir comment il les aurait reçus ces contrôleurs en dehors des compétitions ?
Hier j'ai trouvé un article d'un sport "tranquille"... la pétanque !
Certains joueurs se sont plaints que d'autres utilisaient des produits stupéfiants, et également de l’absence de contrôle antidopage à la pétanque.
Heeft petanque in België… cocaïneprobleem? “Ze gaan naar de wc en gooien daarna geen bal meer fout”
09/01/2019 om 19:06
flahutes12 a écrit : 09 janv. 2019, 06:57
Ma question est simple : que fait le Président de l'UCI? Quand je dis depuis le début qu'il ne "révolutionnera " rien au sein de l'instance fédérale, en bon politicien qu'il est. Beaucoup se réjouissait qu'un français soit à la tête de l'UCI, éjectant les anglos-saxons qui étaient en place depuis des années....... J'attends toujours sa première grande décision qui va bouleverser le mal être actuel du cyclisme, et surtout redorer l'image d'un sport bien sali par l'opinion public. par les acteurs du cyclisme.
Est-on d'accord que c'est le dopage qui salit le cyclisme? Le pointer n'est que sa conséquence!
Tout à fait d'accord avec toi. J'aurai du écrire auprès de l'opinion publique et non par l'opinion publique. Ce sont bien les acteurs du cyclisme qui laisse ce sport se salir.
Ce qui explique pourquoi il ne courrait plus en fin de saison.
Marrant qu'il se fasse gauler sur une course où il finit comme un noname 26ème du général, alors que ses faits d'armes _cométiens/_arnaquistes étaient gros comme des maisons à l'époque (Dauphiné 2010 Vuelta 2006 l'arrivée à La Covatilla derrière la centrale nucléaire Di Luca ).