Beaucoup plus compliqué dans le sens où ils vont rouler sur des pavés (quel rendement ? quel impact sur le lissage de l'effort ?), que tu peux avoir des passages descendants, que la technique va avoir un rôle, etc.Le sucre sportif a écrit : 15 nov. 2018, 10:20 Au contraire j'ai dû mal à analyser ces graphiques : je vais pas repartir sur les débats puissance à un instant t vs énergie dépensée tout au long de la course mais quand je vois qu'il y a plus de perf' à la Vuelta qu'au Tour je me demande :
- C'est peut-être lié au fait que le Tour est plus fatiguant que la Vuelta et qu'il est donc plus difficile d'envoyer des watts, même au top de sa forme (exception Roglic à Mende)
- Ou alors ça dépend des températures, les muscles étant plus efficace quand il fait chaud ?
Bref, j'ai dû mal à savoir comment exploiter scientifiquement ces données, perso je préfère ne pas m'attarder trop longtemps sur ce graphique de peine d'être induit en erreur
Edit: là où c'est complètement biaisé, c'est que la valeur sont ramenées à la masse du coureur, mais pas à la température extérieure. Résultat, toutes les perf' des flandriens passent aux oubliettes. Pourtant j'aimerais bien comparer le Sagan/Dillier au carrefour de l'Arbre, ou la fin du Ronde de Terpstra avec ses données, en prenant soin de considérer les différences de température qui influent sur la performance
En gros : calculer / comparer un wattage sur deux ascensions, c'est simple. Le faire pour une section pavé qui déjà ne va durer que quelques minutes, et sur laquelle le wattage n'est qu'un élément parmi d'autres, ce n'est plus du tout la même (et les Flandriens seraient probablement en dessous pour les différentes raisons évoquées ci-dessus).
