24ème Luis Angel Mate (34 ans, Cofidis
)


- Porteur du maillot de meilleur grimpeur de la Vuelta pendant 15 jours
- 3ème meilleur baroudeur de la Vuelta
- 3ème du classement de la montagne final de la Vuelta
- 4ème de l'étape 4 de la Vuelta
Le grimpeur andalou est un baroudeur chevronné habitué des GT puisqu’il double régulièrement le Tour de France et la Vuelta au sein de la Cofidis. Mais ses ambitions en début de saison sont revues à la baisse à cause d’un problème au genou qui l’éloigne des pelotons un bon mois, et le voilà faisant sa reprise à la Classique Loire Atantique
. Au cours de ce début de saison, il réalise des performances correctes sur les épreuves de la coupe de France, avec des tops 20 au Finistère, à Plumelec et aux boucles de l’Aulne mais aussi sur le tour du Pays Basque (38ème) et du Yorkshire (25ème). Il aura été en revanche transparent sur les classiques ardennaises
Son premier fait d’arme de la saison est aux boucles de l’Aulne, où il s’échappe à 160kms du but dès la première difficulté en compagnie de son compagnie de son compatriote Gonzalo Serrano
Prenant rapidement 9’, ils peuvent gérer leur avance mais Maté décide de partir seul à 80kms de l’arrivée, avec 6’ d’avance sur le peloton
Il passe en tête des différents GPM puis est repris par un groupe de 14 coureurs avec de nombreux favoris à 45kms de l’arrivée. Dans les 10 derniers kms, le groupe de tête se fragmente et Maté se sacrifie pour ramener son leader Herrada, piégé. Son effort sera vain, et il termine à la dernière place du groupe des favoris, mais ressortira satisfait de cette course puisqu'il a réussit à ramener son leader pour qu'il puisse jouer la gagne

Sur la route d’Occitanie, dernière épreuve pour se jauger avant le tour de France, il joue les équipiers pour son(ses) sprinteurs, Laporte et Bouhanni qui se disputeront comme des chiffonniers la gagne des premières étapes
. Il joue ensuite les équipiers modèles pour Daniel Navarro mais ne sera pas récompensé par une sélection au tour de France. Il articulera donc sa fin de saison avec la Vuelta en point de mire
En préparation de la Vuelta, on le voit à l’attaque sur le tour de Pologne, sur une étape promise au sprint avec des grands noms comme De Marchi, mais sans réussite, WT oblige
Sur la Vuelta, il sera à l’attaque dès la première étape en ligne pour aller chercher le maillot de meilleur grimpeur
. Il accentue son avance les jours d’après, battant Rolland et De Gendt qui faisaient également partie des échappées, mais lui contestait plus ou moins le maillot dans un semblant de compétition 

Il ne sera pas menacé, s’échappant une étape sur deux pendant ces deux premières semaines, et récoltant un maximum de points. On notera de sa part une 4ème place au sommet de la Sierra de la Alfaguara. Il continue de porter son maillot pendant les 2 premières semaines, ne se faisant contester puis battre par De Gendt dans les derniers massifs montagneux de cette Vuelta, dans les Pyrénées. Il aura quand même fait de son mieux, avec un profil de baroudeur à l’aise en moyenne montagne, ayant des limites lorsque les difficultés sont trop longues, ce qui ne pardonne pas face à un De Gendt qui comptait en fait ses coups de pédales en début de Vuelta
On retiendra de sa part qu’il se sera échappé 5 fois au cours des 9 premières étapes, et qu’il aura ensuite tenter de s’échapper dans les grosses échappées de fin de Vuelta, sans parvenir à faire la différence. Il termine 3ème au classement de la montagne, et 3ème au classement des baroudeurs, derrière De Gendt et Machado.
Il conclu sa saison sur cette Vuelta où il aura tenter sans succès d’accrocher son premier maillot distinctif sur un GT.
- 3ème meilleur baroudeur de la Vuelta
- 3ème du classement de la montagne final de la Vuelta
- 4ème de l'étape 4 de la Vuelta
Le grimpeur andalou est un baroudeur chevronné habitué des GT puisqu’il double régulièrement le Tour de France et la Vuelta au sein de la Cofidis. Mais ses ambitions en début de saison sont revues à la baisse à cause d’un problème au genou qui l’éloigne des pelotons un bon mois, et le voilà faisant sa reprise à la Classique Loire Atantique


Son premier fait d’arme de la saison est aux boucles de l’Aulne, où il s’échappe à 160kms du but dès la première difficulté en compagnie de son compagnie de son compatriote Gonzalo Serrano




Sur la route d’Occitanie, dernière épreuve pour se jauger avant le tour de France, il joue les équipiers pour son(ses) sprinteurs, Laporte et Bouhanni qui se disputeront comme des chiffonniers la gagne des premières étapes


En préparation de la Vuelta, on le voit à l’attaque sur le tour de Pologne, sur une étape promise au sprint avec des grands noms comme De Marchi, mais sans réussite, WT oblige




Il ne sera pas menacé, s’échappant une étape sur deux pendant ces deux premières semaines, et récoltant un maximum de points. On notera de sa part une 4ème place au sommet de la Sierra de la Alfaguara. Il continue de porter son maillot pendant les 2 premières semaines, ne se faisant contester puis battre par De Gendt dans les derniers massifs montagneux de cette Vuelta, dans les Pyrénées. Il aura quand même fait de son mieux, avec un profil de baroudeur à l’aise en moyenne montagne, ayant des limites lorsque les difficultés sont trop longues, ce qui ne pardonne pas face à un De Gendt qui comptait en fait ses coups de pédales en début de Vuelta

On retiendra de sa part qu’il se sera échappé 5 fois au cours des 9 premières étapes, et qu’il aura ensuite tenter de s’échapper dans les grosses échappées de fin de Vuelta, sans parvenir à faire la différence. Il termine 3ème au classement de la montagne, et 3ème au classement des baroudeurs, derrière De Gendt et Machado.
Il conclu sa saison sur cette Vuelta où il aura tenter sans succès d’accrocher son premier maillot distinctif sur un GT.