On s'est assez plaint de ses prédécesseurs à la tète de l'UCI qui venaient mettre leur grain de sel dans les affaires antidopage pour ne pas exiger à présent que Lappartient fasse de même selon que le cas vous arrange ou non.
Heureusement que Lappartient n'a aucun poids dans l'affaire Froome, c'est plutôt une bonne nouvelle.
Imaginez que Cookson soit encore là, je ne sais si vous auriez le même discours.
Quant à vouloir changer la situation juridicosportive des cas anormaux ou des corticoïdes, Lappartient, ce n'est pas le président de l'AMA.
L'UCI ne peut pas faire cavalier seul sur des sujets aussi importants, ça irait à l'encontre du Code Mondial Antidopage avec lequel toutes les fédérations internationales doivent se mettre en conformité.
Après on le savait, Lappartient parle beaucoup, beaucoup d'effets d'annonce.