Si tu pars du principe que Froome était toujours dopé sauf sur ce Giro et que l'autre coureur, parce qu'il n'a jamais eu de souci, ne s'est jamais dopé. Tu ne peux prouver ni l'un ni l'autre.Nopik a écrit : 25 mai 2018, 15:16C'est quand même gratinéJFKs a écrit : 25 mai 2018, 15:12
Ah c'est marrant, tu m'avais sorti exactement le même argument après le Zoncolant, et je t'avais déjà répondu (dommage que tu ne lises pas les réponses ou que tu aies une tête de linotte). Donc je reprends: oui, il ne devrait pas être sur ce Giro. Mais beaucoup des critiques ici ne parlent pas de l'affaire Froome, mais sont juste dégoûtés de ses performances et variations PARCE QUE c'est Froome mais semblent totalement oublier leurs doutes lorsqu'un autre coureur se trouve dans la même situation (et je parle de la situation ici sur ce Giro).
Des gens qui font des performances ahurissantes sur ce Giro, il y en a plusieurs, et pas que Froome. Mais bon, nous avons tous une indignation selective, n'est-ce pas.![]()
comme analyse... Comparer les sauts de forme d'un coureur empêtré dans une affaire de dopage avec les sauts de forme d'un coureur qui n'a jamais eu de souci à ce niveau là.
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Meme si il y a une part de vrai sur les jugements subjectifs. Mais pour le coup, on ne peut pas comparer ces 2 coureurs là. Encore heureux que le britannique suscite plus de doutes.
D'ailleurs, comment expliques-tu les differences de niveau de Froome? Il aurait arrêté de prendre de la "ventoline" et donc est irrégulier, ou au contraire il en "respire" de façon plus ciblée sur cette course? Vu que tu sembles lier une procedure générale à cette course particulière, tu auras sûrement un avis à nous partager.

Tu es de mauvaise foi. Tu sais très bien que je ne compare pas la probité des coureurs et tu sais très bien que je ne suis pas dupe sur le cas de Froome. Mais ce que je ne comprends pas, c'est ce que je disais avant, cette indignation sélective et pourquoi, quand on ne fait que soumettre l'hypothèse que d'autres ont fait des performances ou ont eu des hauts et des bas originaux, on se cache tout de suite derrière l'argument "chut, on ne dit rien, parlons plutôt de Froome".