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CrocoboyMr0 a écrit : 09 mai 2018, 16:47
J'en ai ma claque de ce vide intersidéral au moindre sprint sans Boudat, surtout quand on préfère recruter un Taaramae en pré-retraite pour pas signer pro Orceau
Bon, je crois que tout le monde a compris que tu n'a pas approuvé ce recrutement, ce que je peux comprendre, mais maintenant, je pense que ça devient lassant.
Thierry Vittu s’est invité hier sur la deuxième étape des Quatre Jours de Dunkerque courue entre Le Quesnoy et Soissons. Le patron de Cofidis Compétition, qui doit revenir demain pour suivre la quatrième étape, a suivi l’ensemble du parcours dans la voiture pilotée par Alain Deloeuil.
Il espérait un succès rassurant de Nacer Bouhanni. Mais le Vosgien, visiblement encore trop court dans les 150 derniers mètres, a coupé son effort pour prendre une seizième place qui ne reflète pas son potentiel. « On voit qu’il n’y arrive pas. Pour l’instant… », constate le patron qui soutient Cédric Vasseur dans les tensions qui opposent la direction sportive au coureur.
– Quel est votre avis sur la situation entre le coureur et Cofidis ?
« Nous constatons d’abord que Nacer est affaibli physiquement et psychologiquement. Notre rôle est de tout faire pour le remettre d’aplomb. Mais il doit aussi nous écouter et nous faire confiance. C’est une situation que nous ne pouvons plus laisser perdurer. »
– Soutenez-vous Cédric Vasseur dans son recadrage vis-à-vis du coureur ?
« Complètement. Nous sommes sur la même longueur d’onde. Nous échangeons souvent au téléphone avec Cédric. Et je suis complètement en phase avec lui sur le dispositif général qu’il souhaite installer dans l’équipe. »
– Peut-on penser au risque d’une rupture de contrat anticipée si la situation ne s’améliore pas ?
« Je ne l’envisage pas. Évidemment, ça pourrait nous coûter cher (le coureur est lié à Cofidis jusqu’à la fin 2019 avec un salaire estimé à 1,3 M d’euros annuels). Je reste le plus positif possible. Mais quand on est très bien payé, je pense qu’on a davantage de devoirs que de droits. Il ne faut pas prendre les choses à l’envers. »
– Qu’est-ce qui vous gêne le plus : sa situation sportive (aucune victoire depuis le début de la saison) ou l’image renvoyée par cette tension ?
« Sa situation sportive est la plus préoccupante. Je comprends qu’il soit perturbé par le changement de management opéré depuis cet hiver. Avant, c’était l’équipe de Bouhanni. Il y tenait un rôle important. Sans doute trop important pour lui. Maintenant, c’est l’équipe Cofidis. Ce nouvel esprit passe avant le reste. C’est à lui de s’adapter. Comme le cas de n’importe quel employé dans n’importe quelle entreprise. »
– Seriez-vous prêts à vous passer de lui pour le Tour de France ?
« C’est une décision que nous pourrions prendre sans hésitation, si nous pensons que c’est dans l’intérêt du collectif ! Mais si Nacer nous prouve qu’il est en forme, on ne se posera même pas la question. De notre côté, nous ferons tout pour l’amener dans les meilleures conditions sur le Tour. Parce que nous croyons tous résolument que cette situation n’est pas normale. Et qu’il n’a pas perdu son talent du jour au lendemain. »
Jolie itw qui reflète bien ce que tu nous disais
Nacer a routes les cartes en main, il faut qu' il se ressaisisse et retrouve son instinct du sprinter en même temps que ses meilleurs jambes
Le tout en fermant son clapet, parcequ il n a pas tant à ce plaindre... il fera un livre plus tard
Athanaze a écrit : 09 mai 2018, 22:53
Jolie itw qui reflète bien ce que tu nous disais
Nacer a routes les cartes en main, il faut qu' il se ressaisisse et retrouve son instinct du sprinter en même temps que ses meilleurs jambes
Le tout en fermant son clapet, parcequ il n a pas tant à ce plaindre... il fera un livre plus tard
Oui, j’ai la même perception, sauf que Codidis ne fait pas forcément le maximum au niveau notamment psychologique. Mais clairement, Bouhanni a les clés en main, il reste protéger et aider sur l’étape, à lui, de faire taire les mauvaises langues. Cela lui servira qu’il reste ou non dans l’équipe.
Merci pour l'interview de Vitu Psyonix. Enfin des paroles positives de la part d'un responsable de Cofidis. Il met clairement Bouhanni devant ses responsabilités, mais l'encourage aussi en lui montrant qu'il croit en lui. ça nous change de la comm entièrement destinée à le détruire que l'équipe faisait ces derniers temps.
Pour rapppel, Deloeil: "s'il ne gagne pas aux 4JDD, pas la peine de postuler pour une place au Tour" ou "s'il ne gagne pas la première étape, on ne roule plus pour lui"
ou la fuite dans l'Equipe, sans contexte, alors qu'on peut facilement penser que la grosse colère de Bouhanni était dûe au fait qu'il n'était qu'à quelques secondes du peloton au haut de la dernière côte, un des derniers sprinters encore en course, mais que Damiani n'a pas jugé utile de le faire attendre...
Psyonix76 a écrit : 10 mai 2018, 15:42
Adrien Petit qui manque de péter la gueule à un Nippo alors qu'il y a eu une chute en tête de peloton lol. Julien Morice au sol également
C'est beau quand les petits se révoltent face à la menace nippone