veji2 a écrit : ↑13 déc. 2017, 12:08
Quentin25 a écrit : ↑13 déc. 2017, 11:54
Ce qui est pas bon pour lui c'est qu'il est controlé sur la 18ème étapes avec un trop fort taux de salbuthmol soit le lendemain de la 17ème étape où il craque perdant près de 2' ...
Oui ça pue le Landis et son whisky là ! En gros le mec se sent moins bien et perd du temps "ah ouais mais non c'est juste mon asthme qui est pire, on va doubler (au minimum) la dose"... Bah c'est sûr que dans ce cas tout est plus facile !
C'est exactement la même histoire qu'avec Martin Sundby, en fait. Le gars avait été en grande difficulté sur une étape du Tour de Ski, et bon, son toubib a résolu le problème vite fait: en dépassant largement la dose..
Et ça été super-efficace, en plus. Voilà ou en est arrivé le "sport de haut niveau thérapeutique". Faudra bien qu'on arrive un jour à dire aux gars: " Bon, vous êtes sérieusement malades, soignez-vous. Et revenez quand vous aurez une santé suffisante pour pouvoir réaliser des efforts intenses et prolongés sans avoir à recourir à la médication."
Faut arrêter cette perpétuelle fuite en avant. A un moment donné, un grand STOP sera obligatoire. Les sportifs se crament la santé pour pouvoir jouer au plus haut niveau, alors que justement, le sport de haut niveau devrait sacrer des mecs qui ont une santé et une force exceptionnelle, un peu à l'instar d'un Bartali. La maladie est une réponse du corps à un entrainement et une pratique surpassant les capacités du sportif.
Marit Cyborgen disait que si demain on interdisait les AUT et les corticoïdes, elle arrêterait immédiatement sa carrière. Triste constat de ce que sont devenus certains (la majorité ??) "champions" du sport moderne..