ulysse1 a écrit : 19 juil. 2017, 19:05
malgré les limites de l' étape , les pourcentages des 7 derniers km sont parfaits pour créer des différences ( si différence il y a ! ) , ce sont des pentes dures en permanence mais sans l' excès des pourcentages à deux chiffres qui finalement créent moins d' écarts ( développements trop faibles peut-être )
AU final; l'izoard c'est la planche des belles filles plus deux km, c'est un sommet médiatique mais sportivement les coureurs ont passé plusieurs cols bien plus rude que l'izoard, je préfère les pourcentages à deux chiffres car l'aspiration ne joue pas, les coureurs sont obligés de dévoiler toute leur force, sans aide...
l'enchainement agnel-izoard aurait été parfait, ..l'étape ne sera pas très dure, course de côte sur 7 km, et tous les skys seront dans la partie, puisque rien ne peut les éliminer avant...cela s'annonce pas palpitant....
Mais cela les coureurs le savaient, il fallait jouer le tout pour le tout dans l'étape de chambéry, dans celle de peyragudes, celle du galibier ! que d'occasions manquées...
Quand j'entends julien jurdie à l'instant parler d'une course de mouvement dans l'izoard, je rigole....JULIEN l'izoard c'est 8 km de montées sévères, explique moi comment tu fais une course de mouvement sur 8 km !
Le décalage entre les discours des managers et la réalité de la course laisse pantois !