Totalement d'accord. D'autant que sur ce Tour, les occasions ne sont pas légion. En 2015 et 2016, le Tour proposait une jolie ribambelle d'étapes de montagne, et bon, on pouvait comprendre que les gars aient un peu la trouille de se livrer au risque de se faire péter le caisson en fin de Tour. D'ailleurs, même en économisant leurs coups de pédales durant toute l'épreuve, ils n'ont pas été bien fringants dans le Joux-Plane, c'est le moins qu'on puisse dire.On3 a écrit : 07 juil. 2017, 11:20 Please no, pas de tactique d'épicier en mode "j'attends le dernier col de la dernière étape du dernier massif montagneux pour envoyer la sauce" !
Si ça ne tente pas dans le Mont du Chat, je n'y comprends rien.

Mais cette fois, les grimpeurs n'auront pas 36 choix. Y a dimanche, les 2 étapes Pyrénéennes, puis celle du Galibier. C'est tout. L'Izoard se résumera en une simple course de côte ou les costauds se sépareront de quelques secondes à partir de la ligne droite de Brunissard.
Dimanche, Aru, Contador, Bardet, Yates, Martin, Quintana (s'il monte en puissance, comme je l'espère) et les autres doivent flinguer, c'est obligatoire.