Vos courses, cyclosportives et autres 2017

[Akaion]

Bah alors Bodo, quand j'ai dit "réunion VCN" haha :D

[On3]

Ce matin je tombe par hasard sur les échappées de la Velostar91, composé notamment d'Offredo, Gallopin, LeCunff Plouhinec...
J'ai effectué les 20 derniers km de la cyclo à 41 de moyenne avec eux, j'avais oublié les bonnes sensations de "prendre la bonne"

[On3]

Et bravo à tous pour vos récits de courses plus ou moins couronnées de succès.

@M82 : Effectivement, je rejoins les autres, tu n'aurais pas du y aller (bon c'est facile à dire après coup, parfois le matin on se dit que "finalement, ça va").

[blaireau59]

Bravo pour vos exploits à différents niveaux de la course les gars. Plaisir de vous lire.

[FloLMA]

Tour du Tarn Sud 2017.
Une course organisé par mon club. Je sais que ce n'est pas une course pour moi, mais c'est une belle course sur de belles routes, même si depuis quelques temps les étapes prennent un peu plus de départementale passante.

2 étapes. 1 le matin et 1... l'après midi ! Vous suivez jusque là ?
L'étape du matin fini par une petit montée de 1,5 km à 4-5% dont les 500-600 derniers mètres doivent être proche des 10%. Pas mal de toboggan et de petites cotes dans le circuit.
La seconde étape, elle se termine par le col de Dourgne, 9 km à 6%.

Première étape, je sens dès le départ que ça va être difficile. La course est belle et il y a de très bons coureurs qu’on ne voit pas souvent en FSGT. Un peloton de plus de 100 coureurs qui fait que dès que t’es mal placé, tu le payes direct pour revenir devant !

Je tente de sortir au début sachant que c’est la seule étape où je suis capable de faire quelque chose. Mais j’explose pendant que je suis intercalé entre l’échappée et le peloton. Hyperventilation… mais je m’accroche au peloton car c’est que le début… et ce fut dur car c’est au moment où je suis dans le dur que ça visse à mort et que ça sort d’ailleurs pour la victoire.

Au bout de 30 km, alors que je suis plutôt à l’arrière du peloton mais que je vais beaucoup mieux, dans un rond point un coureur me coupe la route en passant de l’intérieur à l’extérieur sans raison alors qu’on était que tous les 2 sur un rond point de 5 m de large… Il met son dérailleur dans ma roue avant. C’est la chute. Pas violente, mais le temps de réussir à sortir le dérailleur de la roue, de repartir avec un guidon de travers… le peloton est loin et aucune voiture pour me ramener. Je finirai les 30 derniers km au départ tout seul, puis avec le père du nigaud qui a pêter son dérailleur dans ma roue (à qui je dis que ça lui fera apprendra à pas garder sa ligne) puis enfin derrière les premiers des 4ème et 5ème catégorie partis après nous. Dégouté. Au général je suis à plus de 9min alors que j'étais venu pour faire un podium sur cette étape dans ma caté...

Deuxième étape… Dur dur de se remotiver. Mais j’y vais pour l’équipe qui a toute ses chances au général en 1ère et 2ème caté. Le début se passe plutôt bien. une échappée de 3 coureurs pas dangereux se forme, donc je laisse faire. Une cassure dans le peloton se forme au bout d’un moment avec une vingtaine de coureur devant dont 2 coureurs de mon équipe. Je me remet un peu devant pour contrôler quelque peu et ralentir un peu le peloton. Mais dans une cote (à Saix) le vainqueur (de mon équipe également) se met devant et roule très fort. Impressionnant ! Mais surtout dégouté de voir un gars de mon équipe roulé sur 2 gars de l'équipe qui avaient réussi à piéger le leader du classement général.

Je me remet dans le paquet. Puis quelques km plus loin… plus rien. Je m’étais correctement alimenté durant l’étape de l’après midi, mais pas le matin… et je le paye sûrement. Plus de force, j’avale 2 gels en 10 minutes, ça va un peu mieux, mais c’est pas vraiment ça non plus. Et on attaque la montée final . Je fais la montée avec un pote tranquillement, en mode endurance… Je vois beaucoup de monde nous dépassé plus ou moins facilement. J'aurai pu faire mieux sur le final... mais j'étais avec mon pote à papoter. Je mets quand même un point d'honneur à le lâcher dans la dernière ligne droite

Un bon entrainement quoi … mais c’était pas mon jour et j'aurai mieux fait de regarder le Giro !

Etape 1 : https://www.strava.com/activities/986461245
Etape 2 : https://www.strava.com/activities/986461257

[chargain55]

Allez, cyclo n°3 : le Challenge Vercors, ce samedi.

Premier challenge : se lever à 5h du mat, moyennant un gros petit dej, une heure de route et une petite heure de prépa. Quelle idée de faire partir la course à 8h, l'horaire auquel je me désincarcère de ma couette la reste du temps. Ces gens matinaux qui contrôlent le monde, ça m'exaspère.

Tout va bien, je prends le départ avec seulement 1 minute de retard sur la meute cette fois. Explication : j'attendais d'entendre le compte à rebours du speaker. Sauf que... y avait pas de speaker. Et j'ai été pris d'une envie de pisser à 7h59 d'après mes calculs a posteriori.

En 15 bornes, de lanterne rouge, je repasse dans le ventre très mou, lequel ressemble à quelques-unes de mes "proies" (niarc, niarc). 30 coureurs derrière moi, ouf, l'honneur est sauf, je pourrai rentrer chez moi en affichant le visage du mec qui a enrhumé des retraités poilus des pattes.

Ah, tiens il pleut. La météo agricole m'avait promis que non pourtant. Saleté de Pac, d'Europe, de FNSEA. Donc il pleut et les grosses carcasses devant moi ont envie de rouler à plus de 40 sur du mouillé. J'observe que ça fait les malins avec des roues en carbone à jante haute mais quand un virage prononcé arrive, y a plus personne. On croirait voir un chrono de Michael Rasmussen.

Je prends le sillage d'un Lyonnais. Il a une bonne tactique : se faire appeler au téléphone pour passer 10 minutes en queue de groupe à dire "mais je ne peux pas te répondre, je fais une course là", évitant ainsi de prendre des relais. Note à moi-même : monter le son au maximum et envoyer un texto de SOS mystérieux à tous mes amis un quart d'heure avant le départ la prochaine fois.

En bas de la descente d'un col, 10 bornes sous la pluie et dans le froid, mon groupe passe devant un type immobile au bord de la route. Sur son visage, je lis "mais qu'est-ce que j'ai été faire dans cette galère ?!" Réflexion faite : c'était peut-être juste l'hologramme de Jurgen VDB.

Troisième petit col du jour : je rattrape un Daft Punk. Le type tout habillé de noir, classe, qui porte un de ces casques ronds avec une visière intégrale. Un peu plus loin, on revient dans la roue de la seconde moitié du duo : le même, mais en blanc. Les deux se tireront la bourre dans la longue descente suivante. Je chante "Better, Faster, Stronger"

Gros morceau du jour : un col de quasi 20 bornes, mais très roulant dans sa seconde partie. Je lâche tout mon groupe. Allez, salut les Daft ! Et je reprends un papi du Team Vercors, le plus beau maillot du peloton. On parle chiffon, escalade, Marmotte. Il en était à me raconter sa décongélation dans le chalet de son ami à La Grave lors d'une édition dantesque quand soudain : "Oh Martine* !" (* c'était pas Martine mais un autre prénom en vogue dans les années 50 mais j'ai oublié lequel, bref). Donc mon nouveau ami est passé en mode attaque sur Martine et j'ai continué sans lui.

Rien de passionnant par la suite : pluie fine de retour, longues portions seul en forêt, 2 mots en flamand balancés à une fille qui portait un maillot d'Aalst (elle m'a répondu en anglais, c'est dire si je maîtrise l'accent).

Dans un descente, un gros carton. On arrive sur une zone sécurisée par les pompiers, la police. Un pare-brise de voiture éclaté. De quoi imaginer le pire pour le/la pauvre qui se l'ai payée.
Retour avec un peu moins d'enthousiasme, forcément. Passage de ligne au sprint pour honorer la mémoire du speaker parti trop tôt (contrairement à moi). Tentative de motivation pour aller sociabiliser à la pasta party. Mais vu la file d'attente comparable à un samedi de soldes, c'est moi qui suis parti. Et basta.

Point positif : j'ai quitté le dernier quart du classement. Me voilà dans le dernier tiers. A ce rythme là, l'Etape du Tour 2026 est pour moi les gars si vous voulez lancer une prophétie.

[loloherrera]

quel talent de conteur

[matosvelo]

Allez, cyclo n°3 : le Challenge Vercors, ce samedi.

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Dans un descente, un gros carton. On arrive sur une zone sécurisée par les pompiers, la police. Un pare-brise de voiture éclaté. De quoi imaginer le pire pour le/la pauvre qui se l'ai payée.

C'est apparemment David Polveroni. Des infos que j'ai, il aurait coupé un virage gauche en aveugle, une voiture montait. Opéré en urgence du fémur, on en sait pas plus.
Même si j'apprécie David, je trouve dommage si c'est ça qui est arrivé. Car d'une, ça donne encore et toujours une mauvaise image du cycliste (imaginez ce que doit pensez l'automobiliste qui n'a rien demandé) et en plus, risqué pour les cyclosportives en général, qui pourraient à force ne plus avoir d'autorisation.

[chargain55]

J'ai beaucoup de peine pour lui.
De l'accident je ne peux pas parler puisque je suis arrivé très longtemps après. Mais effectivement, l'endroit de l'impact (courbe rapide gauche, sans visibilité sur ce qui monte, bon bitume) et l'endroit où était la voiture (bien dans sa file) semblent confirmer tes dires.

[On3]

Hé bien, en lisant tes retours sur le pluie (et le froid dans tout ça ?), je me félicitais de ne pas y être allé, alors que je l'avais coché de longue date.

Dommage cette histoire de chute, ça vient gâcher la fête.

[matosvelo]

Apparemment, assez grave pour David : http://france3-regions.francetvinfo.fr/ ... 57917.html

[violinbodo]

Et moi qui ai raconté à un pote hier que c'est plus sûr de rouler en tête de course...

Ca fait chier, ces accidents sur des cyclos, ça arrive bien trop souvent.

[On3]

Ben dans l'esprit oui, c'est plus sûr. Maintenant si tu coupes un virage en aveugle à fond de cale (en supposant que ce soit bien ce qui est arrivé) sur route ouverte, c'est sans doute plus dangereux devant puisque tu ouvres la route. Ça n'empêche pas que tu te mets à l'abri pour pas mal d'autres chutes.

[violinbodo]

Le fait qu'il n'y ait rien ni sur le Strava, ni sur le facebook de David Plolveroni, est en tout cas suspect. Après, dans l'article ils disent "un cycliste de 22 ans" - à ce que je sais, il en a 26. Mais bon, la presse, d'autant plus la presse locale...

[chargain55]

Le fait qu'il n'y ait rien ni sur le Strava, ni sur le facebook de David Plolveroni, est en tout cas suspect. Après, dans l'article ils disent "un cycliste de 22 ans" - à ce que je sais, il en a 26. Mais bon, la presse, d'autant plus la presse locale...

Dans le Dauphiné Libéré du jour, il y a deux courts articles : un qui parle bien d'un cycliste de 28 ans (c'est son âge) souffrant de "multiples
fractures" mais dont le "pronostic vital n'est pas engagé". C'est l'article réalisé par un fait-diversier sur la base des infos données par les pompiers et les gendarmes. Second article en page sport, via le correspondant ou journaliste chargé du compte rendu de l'épreuve qui sera publié dans l'édition de demain. Et là, on cite bien nommément David Polveroni victime d'une "très grave chute" alors qu'il était en tête.

Que France 3 ait indiqué par erreur 22 ans, ça peut provenir soit d'une erreur du pompier qui a communiqué, soit du journaliste qui a mal compris/noté/retranscris. La presse locale fait un boulot difficile, dans des conditions qui le sont tout autant. Je sais de quoi je parle - les accidents, c'est compliqué à traiter.

[Super_Cuvet]

Des infos que j'ai, il aurait coupé un virage gauche en aveugle, une voiture montait. Opéré en urgence du fémur, on en sait pas plus.
Même si j'apprécie David, je trouve dommage si c'est ça qui est arrivé. Car d'une, ça donne encore et toujours une mauvaise image du cycliste (imaginez ce que doit pensez l'automobiliste qui n'a rien demandé) et en plus, risqué pour les cyclosportives en général, qui pourraient à force ne plus avoir d'autorisation.

Que le déroulement que tu décris soit exact ou pas, ce genre de comportement est malheureusement commun.
Depuis l'histoire d'Offredo, il y a un espèce de mélange des genres des informations sur les accidents où le cyclisme urbain et le cyclisme sportif sont mélangés sans distinction. Le débat est complètement inaudible.
Les cyclistes ne sont pas exempts de tout reproche dans ces histoires.

[chargain55]

Des infos que j'ai, il aurait coupé un virage gauche en aveugle, une voiture montait. Opéré en urgence du fémur, on en sait pas plus.
Même si j'apprécie David, je trouve dommage si c'est ça qui est arrivé. Car d'une, ça donne encore et toujours une mauvaise image du cycliste (imaginez ce que doit pensez l'automobiliste qui n'a rien demandé) et en plus, risqué pour les cyclosportives en général, qui pourraient à force ne plus avoir d'autorisation.

Que le déroulement que tu décris soit exact ou pas, ce genre de comportement est malheureusement commun.
Depuis l'histoire d'Offredo, il y a un espèce de mélange des genres des informations sur les accidents où le cyclisme urbain et le cyclisme sportif sont mélangés sans distinction. Le débat est complètement inaudible.
Les cyclistes ne sont pas exempts de tout reproche dans ces histoires.

Oui, c'est vrai. Je l'ai encore constaté ce samedi : le mec devant moi qui coupe une épingle en descente, lentement certes mais sans être sûr qu'un véhicule ne monte pas en sens inverse (il n'y avait pas la visibilité). En plus, on était loin de la tête, ça ne servait à rien. Des gars qui montent une bosse au milieu de la route sans se soucier de ce qu'il y a autour. Et aussi tous ces déchets laissés sur le bitume, ça m'horripile! Mais ça reste marginal.

Ce qui l'est moins, c'est de voir TOUS LES JOURS des faits divers dans les journaux où l'on parle de cyclistes tués ou gravement blessés dans des accidents de la route. Cette année, j'y ai échappé de justesse. Dans une zone industrielle, alors que je pédalais bien sur le bord de la chaussée (pas de piste cyclable à cet endroit), une camionnette de livraison arrivant à vive allure s'est rabattue sur moi. "C'était ça ou je rentrais dans le terre-plein" m'a dit le type que j'ai suivi. "Ou alors vous freiniez et perdiez 5 secondes derrière." "Les 5 secondes, je les ai pas... Et puis les cyclistes, ça commence à bien faire." Voilà ce que j'ai entendu. Sidérant. A chaque sortie, c'est un, deux ou trois abrutis qui me dépassent en prenant des risques. Souvent des 4x4, parfois des bus et des camions. On ne peut pas minimiser ce phénomène. Le fait que ça touche aussi maintenant de plus en plus les pros, ce n'est qu'un signe qui montre que le problème s'aggrave.

[El_Pistolero_07]

"Les 5 secondes, je les ai pas." Sérieusement, à quel moment ce genre d'argument peut tenir la route ? Si t'es en retard de 5 secondes, personne ne t'en tiendras rigueur... Quand notre société comprendra que courir après le temps comme ce livreur, c'est courir vers notre perte ? :boulet:

[Super_Cuvet]

Ce qui l'est moins, c'est de voir TOUS LES JOURS des faits divers dans les journaux où l'on parle de cyclistes tués ou gravement blessés dans des accidents de la route. Cette année, j'y ai échappé de justesse. Dans une zone industrielle, alors que je pédalais bien sur le bord de la chaussée (pas de piste cyclable à cet endroit), une camionnette de livraison arrivant à vive allure s'est rabattue sur moi. "C'était ça ou je rentrais dans le terre-plein" m'a dit le type que j'ai suivi. "Ou alors vous freiniez et perdiez 5 secondes derrière." "Les 5 secondes, je les ai pas... Et puis les cyclistes, ça commence à bien faire." Voilà ce que j'ai entendu. Sidérant. A chaque sortie, c'est un, deux ou trois abrutis qui me dépassent en prenant des risques. Souvent des 4x4, parfois des bus et des camions. On ne peut pas minimiser ce phénomène. Le fait que ça touche aussi maintenant de plus en plus les pros, ce n'est qu'un signe qui montre que le problème s'aggrave.

Je pense qu'il faudrait analyser ça avec un peu plus de recul.
On ne peut pas se baser sur les réactions sur réseaux sociaux pour dire ça. Le reportage sur Stade 2 il y a quelques semaines était affligeant, avec des réactions dignes de Goland (le cycliste du dimanche qui répète que c'est dangereux). Ce n'est parce que maintenant un pro tweete son accident qu'il y en a plus.
Personnellement, je n'ai pas l'impression que les choses s'aggravent. Le cycliste est toujours en position de faiblesse face aux voitures.

Cela fait 25 ans que je fais du vélo urbain. Quand j'ai commencé il n'y avait pas de pistes cyclables et je ne pense pas que la dangerosité était moins présente. En ville, il faut être vigilent, on voit vite l'automobiliste nerveux, mais globalement les voitures ne vont pas très vite en ville et je les trouve assez vigilants (pour les vélos et les piétons). Ca dépend des régions, je l'admet. Mais il y a aussi des cyclistes dangereux. Dans ma ville il y a des vélos en libre service et il y a beaucoup d'utilisateurs qui ne savent clairement pas rouler et qui zigzaguent dans toutes les directions, hésitant, s'arrêtant sans arrêt. Faire du vélo, ça s'apprend.

Le vélo sportif c'est différent. Se faire frôler par les voitures, ce n'est pas nouveau. Il y a quelques années j'avais tendance à réagir mais j'ai vite compris que ça ne m’apporterait que des ennuis. Je n'hésite pas non plus à m'imposer, quand je passe sur un tronçon avec un trottoir à droite et un terre-plain central à gauche sans la place pour doubler, je me mets au centre de la route pour empêcher la voiture de me doubler. Si je me mets à droite, la voiture tentera de doubler et la dangerosité augmentera.

[El_Pistolero_07]

Je fais comme toi Cuvet, je me met au milieu de la route quand je juge que le dépassement est impossible. Par contre, je permets aussi aux voitures de me doubler plus facilement en leur faisant un signe en sortie de virage. C'est du savoir vivre pour moi.
Par contre, il y'a quelques jours, je prends la rue sur ma droite, descendante, arrivant à 35 kms/h, j'arrive à plus de 40 grâce à cette petite descente. Tout à coup, je vois à une rue perpendiculaire, sur ma droite, une voiture arriver au STOP, me regarder et glisser le stop, alors que j'arrive plus vite que ne pourrait une voiture à ce moment là... Voyant la vitre ouverte, je gueule "NON :" et la femme au volant pile, s'arrete, je passe et elle me klaxonne !
Je me mets au milieu de la route, l'obligeant a s'arrêter et, alors qu'elle râle, je lui explique que si je n'hurle pas, elle me tue (la rue étant étroite, j'avais pas beaucoup de plan B) et surtout qu'elle avait un STOP.
Certes, il y'a des gens qui ne savent pas faire du vélo, mais y'a aussi des gens qui devrait faire plus attention au code de la route et à l'appréhension de la vitesse.