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ah, le but, c'est de comparer ?
Tu vas te faire du mal
Mais vu ceux que tu as mis, tu peux rajouter alors De Marchi, voire Felline ou Moscon, qui grimpent mieux que Capecchi sans être grimpeurs. Même le vainqueur du jour peut grimper pas trop mal.
Sinon je laisse une chance à Celano, après tout je me suis un peu renseigner sur lui et chez les amateurs apparemment le garçon éparpillait bien la concurrence. Il a toujours était un grimpeur et adore ça depuis ses premiers tours de roue
En tout cas il fait plaisir, il ne se contente pas de suivre, mais bien de faire sa course en attaquant, comme aujourd'hui où on l'a vu attaquer à de nombreuse reprise.
Avec le départ de Bernal il pourrait être une recrue de choix pour Gianni
marcella a écrit : 20 avr. 2017, 18:45
Tu vas finir comme Vegni.
Grosse journée pour le cyclisme aujourd'hui.
Par contre le emsilcyc pourrait se porter un peu mieux.
Aucun Pot10 sur le Tour of the alps et en Croatie 9 ont réussi l'exploit d'être devancé par un turc.
Pelucchi était en passe de remporter sa 2e course par étape de l'année après onneriT, mais il vient de se faire doubler (à la place ) par un jeune espoir qui le marque à la culotte et que je ne connaissais pas : Paolo Prandini
L'étape de demain sera décisive
Grand Melehc des 3 Ruots 2018
Vainqueur immourable du Challenge 2019
Par contre chez les sprinter je commence à en avoir marre de ses formats de piches.
Bordel sortez nous un sprinter de beau gabarit (coucou ), capable de ne pas miser tout sur son explosivité comme les petits formats, mais bien de lancer de loin en force comme les Kittel &co.
marcella a écrit : 20 avr. 2017, 18:45
Tu vas finir comme Vegni.
Grosse journée pour le cyclisme aujourd'hui.
Par contre le emsilcyc pourrait se porter un peu mieux.
Aucun Pot10 sur le Tour of the alps et en Croatie 9 ont réussi l'exploit d'être devancé par un turc.
Pelucchi était en passe de remporter sa 2e course par étape de l'année après onneriT, mais il vient de se faire doubler (à la place ) par un jeune espoir qui le marque à la culotte et que je ne connaissais pas : Paolo Prandini
L'étape de demain sera décisive
Pelucchi passera t-il l'epaté de demain.
Le petit Prandini est encore jeune, 20 ans mais il promet.
Era l’amico di tutti, e tutti gli volevano bene. In effetti, restare esenti dall’essere travolti dalla sua infinita umanità era piuttosto impossibile.
La vita di Michele Scarponi è stata troncata da un furgone che non ha rispettato una precedenza. Le responsabilità verranno accertate. Ma ciò ovviamente non ci ridarà indietro quel sorriso, che da qui in avanti, mestamente, potremo solo ricercare nelle foto, nei filmati, o semplicemente nei ricordi.
Scarponi era uscito presto per un allenamento, all’indomani della chiusura del Tour of the Alps dove qualche giorno fa aveva ancora ottenuto una vittoria, quella che resterà purtroppo l’ultima di una carriera in cui l’Aquila di Filottrano – come lo chiamavano i suoi tifosi e non solo – aveva saputo correre per sé e soprattutto per gli altri.
Uomo squadra come nessuno, capace di essere ancor più prezioso nello “spogliatoio” di quanto non lo fosse in gara: e chi l’ha visto in corsa, chi l’ha visto ad esempio tirare Nibali per i capelli al successo al Giro 2016, potrà rendersi conto del senso di queste parole.
Un Giro (quello del 2011) l’avrebbe pure vinto, almeno per gli almanacchi, ma lui quel successo arrivato per “procura” non lo sentì mai suo. Nel suo palmarès una Tirreno, un Catalogna, un Trentino, altre corse a tappe minori, e una marea di piazzamenti, a partire da quel quarto posto alla Liegi con cui si rivelò al mondo nel 2003, passando dal secondo al Lombardia del 2010, senza dimenticare altri tre quarti posti alla corsa rosa.
E poi, soprattutto in questi ultimi anni di carriera, un indefesso spendersi per i capitani di turno. Al prossimo Giro, a 37 anni, sarebbe stato ancora capitano. La sua figura aleggerà comunque sulla corsa rosa, nei pensieri di chi la correrà e in quelli di chi la seguirà da tifoso. Non potrebbe del resto essere diversamente da così.
Di più, in questo giorno funesto e al cospetto di questa tragedia senza senso e senza spiegazioni, non riusciamo davvero a pensare, a dire, a scrivere.