En même temps, c'était une étape hors norme... Madeleine+Télégraphe+Galibier+Izoard et arrivée au sommet !biquet a écrit :Si le Télégraphe et le pied du Galibier sont montés à un rythme soutenu, la course peut exploser même aprés les lacets du Plan-Lachat. Attention aux effets conjugués de l'altitude et de la longueur de l'effort. On sera loin des standards du Tour 2016, là, on sera vraiment dans la trés haute-montagne, et à 2400 d'altitude, le rendement athlétique peut diminuer trés rapidement. Et dans ce cas, un coureur qui est à 50" en haut du Galibier peut couper la ligne au-delà des 2'.mazinho93 a écrit :L arrivée de serre chevalier en 93 était vraiment spectaculaire indurain et rominger avait fait le ménage des le télégraphe et ils avaient creusé des écarts énormes bugno a 6 minutes au sommet , chiappucci encore plus loin .... et la descente sur serre che est bien plus propice que celle sur Brianconil y 10 bornes de moins a peu près ......
si la course part des le pied du télégraphe voir sur les cols avant ..cela sera un sacré chantier .....évidemment si les coureurs attendent le plan L'achat...
Dans la mythique étape du Tour 73, les écarts en haut du Galibier n'étaient pas énormes, loin de là (source: site de l'INA). Mais comme tout le monde était cuit, sauf les 2 génies Ibériques, les différences ont continué à grandir d'une manière exponentielle.
Charles Genthon me disait qu'il avait, la veille, prévu d'attaquer ce jour là, mais qu'au vu des difficultés qu'il éprouvait dans le Télégraphe, il s'est ravisé. Selon lui, cette étape était trop dure pour tenter quoi que ce soit, pour un coureur modeste bien sur !