Course Pré Olympique
Modérateur : Modos VCN
- Beignet134
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Course Pré Olympique
Quelqu'un a des infos sur la course ? Je trouve rien sur le net :'
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Victoire de Vuillermoz apparemment
- tomboonen8
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#Boonen #Kwiatkowski #Alaphilippe #Gaviria #G.Martin #Sénéchal #A.Costa #Mas Nicolau
Course Pré Olympique
Le Français Alexis Vuillermoz a remporté dimanche la course pré-olympique de Rio, sorte de répétition générale à un an des Jeux Olympiques. Le coureur de l'équipe AG2R, vainqueur de la 8e étape du Tour de France 2015, a profité d'une journée animée par les Bleus pour s'imposer en solitaire devant un groupe de poursuivants. La course (165 km), amputée de 90 kilomètres par rapport au tracé qui sera proposé en 2016, avait été avancée d'une heure en raison d'une manifestation programmée dans les rues de Rio.
- blaireau59
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Pauwels 2, Pinot 3
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Course Pré Olympique
Il y avait un groupe de 9 qui s'est détaché à 25 km, avec.. les 5 Français. 

Course Pré Olympique
Bravo pour l'équipe de France !



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Elle est classée seulement en 1.2, les français sont au top sur les VSSR
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Et Bardet, et Barguil ?
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Bardet 3, Gallopin 4 et Pinot 6
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En même temps la concurrence...
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La course s'est terminée a 13h locale c'est un peu tôt je trouve .
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La photo du podium :
https://twitter.com/aquecerio/status/632954151073411072
Très beau le bleu du maillot Français.
Trofimov 5ème entre Gallopin et Pinot.
https://twitter.com/aquecerio/status/632954151073411072
Très beau le bleu du maillot Français.
Trofimov 5ème entre Gallopin et Pinot.
Monomaniaque
Course Pré Olympique
Y avait de la concurrence où ils n'étaient que 6 au départ ?
Course Pré Olympique
Apart la France, le reste des nations avait leur équipe Z.
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c'est tout à fait vrai, mais ça reste un bon investissement qui à la fois donne une première idée aux coureurs et au staff de ce que le parcours peut donner, puis permet déjà de gérer dans un contexte bien plus simple les questions de témpérature, décalage horaire, etc... Et puis pour créer et nourrir cet esprit de groupe, pour éviter que si un jour les circonstances de courses favorables se présentent, les gars nous fassent une Valverder / Purito 2013, c'est un bon investissement.Tacos a écrit :Apart la France, le reste des nations avait leur équipe Z.
A la limite le seul qui y a perdu c'est le plateau du tour de l'Ain...
- ChicoDjango
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Course Pré Olympique
J'ai mis un temps fou à chercher un classement complet, et je l'ai finalement trouvé sur le site \"cyclingfever\". Sur le site officiel de la course, il n'y a encore aucun classement disponible (si ce n'est celui de six premiers), et il était de la même façon impossible de trouver une liste des engagés. Bien sûr, ce n'est qu'une course pré-olympique, mais il y a là une faille dans l'organisation de cet événement, qui s'est par ailleurs très bien déroulé (je vous confierai mes impressions dans un petit texte).
A priori il y avait une centaine de coureurs au départ. Seuls 29 sont allés au bout de la course.
1. Alexis VUILLERMOZ FRA FRA 4:20:27
2. Serge PAUWELS BEL BEL +22
3. Romain BARDET FRA FRA +22
4. Tony GALLOPIN FRA FRA +22
5. Yury TROFIMOV RUS RUS +22
6. Thibaut PINOT FRA FRA +24
7. Kleber DA SILVA RAMOS BRA +3:42
8. Warren BARGUIL FRA FRA +4:24
9. Ben SWIFT GBR GBR +6:56
10. Simon CLARKE AUS AUS +6:56
11. João GASPAR BRA BRA +6:56
12. Valerio AGNOLI ITA ITA +6:56
13. Patrick SCHELLING SUI SUI +6:58
14. Valerio CONTI ITA ITA +9:21
15. Sjoerd VAN GINNEKEN NED NED +10:29
16. Matvey NIKITIN KAZ KAZ +10:49
17. Edoardo ZARDINI ITA ITA +10:49
18. Pavel GATSKIY KAZ KAZ +14:58
19. Koen BOUWMAN NED NED +14:58
20. Felix INTRA GER GER +15:01
21. Otavio DIDIER BULGARELLI BRA +15:01
22. William CHIARELLO BRA BRA +15:01
23. Jonathan FUMEAUX SUI SUI +15:01
24. King Lok CHEUNG HKG HKG +15:01
25. Davy GUNST NED NED +17:10
26. Kohei UCHIMA JPN JPN +17:10
27. Matthew CLARK AUS AUS +19:59
28. Rafael ANDRIATO BRA BRA +19:59
29. Nikita STALNOV KAZ KAZ +19:59
A priori il y avait une centaine de coureurs au départ. Seuls 29 sont allés au bout de la course.
1. Alexis VUILLERMOZ FRA FRA 4:20:27
2. Serge PAUWELS BEL BEL +22
3. Romain BARDET FRA FRA +22
4. Tony GALLOPIN FRA FRA +22
5. Yury TROFIMOV RUS RUS +22
6. Thibaut PINOT FRA FRA +24
7. Kleber DA SILVA RAMOS BRA +3:42
8. Warren BARGUIL FRA FRA +4:24
9. Ben SWIFT GBR GBR +6:56
10. Simon CLARKE AUS AUS +6:56
11. João GASPAR BRA BRA +6:56
12. Valerio AGNOLI ITA ITA +6:56
13. Patrick SCHELLING SUI SUI +6:58
14. Valerio CONTI ITA ITA +9:21
15. Sjoerd VAN GINNEKEN NED NED +10:29
16. Matvey NIKITIN KAZ KAZ +10:49
17. Edoardo ZARDINI ITA ITA +10:49
18. Pavel GATSKIY KAZ KAZ +14:58
19. Koen BOUWMAN NED NED +14:58
20. Felix INTRA GER GER +15:01
21. Otavio DIDIER BULGARELLI BRA +15:01
22. William CHIARELLO BRA BRA +15:01
23. Jonathan FUMEAUX SUI SUI +15:01
24. King Lok CHEUNG HKG HKG +15:01
25. Davy GUNST NED NED +17:10
26. Kohei UCHIMA JPN JPN +17:10
27. Matthew CLARK AUS AUS +19:59
28. Rafael ANDRIATO BRA BRA +19:59
29. Nikita STALNOV KAZ KAZ +19:59
- Taromisaki
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Course Pré Olympique
Pauwels et Bardet qui battent Gallopin au sprint on dirait un critérium.
- ChicoDjango
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Course Pré Olympique
Voici un petit texte résumant ma matinée, à Rio :
En ce matin, il y a du monde sur l’Avenida Copacabana, et pour cause : comme chaque dimanche, les joggeurs et cyclotouristes viennent humer l’air marin, et puis à 10h s’élancera la grande manifestation contre le gouvernement de Dilma Rousseff. Il n’est pas encore 8h, mais les manifestants les plus aguerris préparent déjà leurs banderoles, pancartes et drapeaux. On en oublierait presque que, tout au bout de l’avenue du côté de la pointe de l’Arpoador, sera donné dans un peu plus d’une demi-heure le départ de la course de cyclisme « Aquece Rio » (« Rio s’échauffe »), l’événement-test avant l’épreuve olympique en ligne, en 2016.
Peu à peu, des joggeurs, des badauds du dimanche, des touristes et des commerçants, et même quelques manifestants comme ce type déguisé en Batman et hissant bravement sa pancarte « Fora Dilma, fora PT » (« dehors Dilma, dehors le Parti des travailleurs »), viennent observer ces coureurs cyclistes qui suscitent l’étonnement – « regarde leurs jambes, il n’y a pas un pet de graisse, ni de poil d’ailleurs ! » – et l’admiration – « sous cette chaleur, faire autant de km et de montées… ! ». Ici, la culture cycliste est quasiment inexistante, seuls quelques licenciés connaissent certains grands noms du peloton, comme cet ado venu tout équipé, sur son VTT nickel chrome, qui lance un « Barguil, Barguil, uma foto, por favor, uma foto ! ». À l’exception de cette poignée d’inconditionnels, le sport cycliste est un univers lointain et exotique pour le Brésilien moyen, comme en témoignent les questions que me posaient encore mes amis, la veille de la course : « Quel est le parcours de ce marathon du vélo (sic) ? » « Au fait, au Tour de France, le Maillot Jaune part toujours avec le temps d’avance qu’il a accumulé sur les précédentes étapes, n’est-ce pas ? » « Qui sera le favori pour la course pré-olympique ? Armstrong ? »
Les coureurs, eux, semblent décontractés, la sélection brésilienne fait la pose devant le drapeau national, Gallopin discute le bout de gras avec son coéquipier de la Lotto Louis Vervaeke, Barguil a l’air d’amuser ses coéquipiers et son entraîneur, tandis qu’un jeune Allemand du nom de Felix Intra (j’avoue que je ne le connaissais pas) me file gentiment son bidon, tout content que quelqu’un vienne le prendre en photo. Il est alors 8h30, un soleil éclatant fait scintiller les eaux de la baie de Guanabara, et le peloton s’élance !
? ? ?
Je retrouve ensuite les coureurs à l’angle du Jardin Botanique, célèbre pour ses imposantes allées de palmiers impériaux. Ils passent à deux reprises à cet endroit, qui se situe au bas de la descente de la Vista Chinesa, c’est-à-dire après la plus grosse difficulté du parcours. Ce n’est pas forcément la grande foule, mais les Brésiliens sont curieux, et les passants s’arrêtent pour faire honneur à cet étrange défilé de coureurs. Je papote avec deux vieilles femmes venues s’amuser et oublier « la monotonie de leur vie de retraitées, à faire de la broderie en regardant la télé ». Les coureurs ont près d’une demi-heure de retard sur l’horaire prévu, et pour ne pas perdre patience, les gens se racontent des anecdotes, applaudissent les motards de la police fédérale qui ouvrent la route et les saluent en passant, et s’interrogent en riant sur les motifs de ce retard. « Fait trop chaud, alors moi je crois qu’ils se sont arrêtés, ils ont dû s’installer autour d’un bon petit barbecue ou se rafraîchir à la bière dans un comptoir de la Rocinha ». Un petit rigolo s’exclame : « Non, mais c’est une course de motos de la police fédérale, pas vrai ? » Ambiance de fête. Les Brésiliens savent faire. Le tout est de ne pas se prendre au sérieux et de savourer l’instant présent.
Les coureurs feront mentir le petit rigolo, fan de moto. Ils arrivent enfin, et sont accueillis par de vibrants hourras. Au premier tour, un groupe de cinq ou six coureurs, avec trois Français (Barguil et Bardet à coup sûr), passe en tête, suivi à quelques encablures d’un deuxième petit groupe, avec les deux autres Français (Pinot à coup sûr). Derrière, un gouffre : les écarts sont énormes, et les coureurs arrivent par petits paquets. Je surprends des grimaces sur les visages. Le niveau des participants est certes très hétérogène, mais si les écarts et le nombre d’abandons sont aussi importants, c’est également en raison de la chaleur et de la dureté du parcours.
Au deuxième tour, six coureurs passent en trombe. Parmi eux, quatre Français. Seul Barguil, échappé en début de course, manque à l’appel. Je le vois passer seul un peu plus tard, et je reste frappé par l’élégance qu’il dégage sur un vélo. Un beau coursier.
Du public échappent quelques commentaires ironiques lorsqu’arrivent enfin les représentants de la « seleção » brésilienne largués aux quatre vents, mais c’est là une moquerie pleine de tendresse, finalement, et les applaudissements n’en poussent pas moins avec tendresse Andriato, Chiarello et Didier Bulgarelli, à la peine. Et le premier Brésilien, Kléber da Silva, terminera quand même septième, devant Barguil. Pas si mal ! Les deux petites villes installées à mes côté ont passé une belle matinée, ça les changera de la broderie, et c’est promis : l’an prochain, elles y retourneront !
En ce matin, il y a du monde sur l’Avenida Copacabana, et pour cause : comme chaque dimanche, les joggeurs et cyclotouristes viennent humer l’air marin, et puis à 10h s’élancera la grande manifestation contre le gouvernement de Dilma Rousseff. Il n’est pas encore 8h, mais les manifestants les plus aguerris préparent déjà leurs banderoles, pancartes et drapeaux. On en oublierait presque que, tout au bout de l’avenue du côté de la pointe de l’Arpoador, sera donné dans un peu plus d’une demi-heure le départ de la course de cyclisme « Aquece Rio » (« Rio s’échauffe »), l’événement-test avant l’épreuve olympique en ligne, en 2016.
Peu à peu, des joggeurs, des badauds du dimanche, des touristes et des commerçants, et même quelques manifestants comme ce type déguisé en Batman et hissant bravement sa pancarte « Fora Dilma, fora PT » (« dehors Dilma, dehors le Parti des travailleurs »), viennent observer ces coureurs cyclistes qui suscitent l’étonnement – « regarde leurs jambes, il n’y a pas un pet de graisse, ni de poil d’ailleurs ! » – et l’admiration – « sous cette chaleur, faire autant de km et de montées… ! ». Ici, la culture cycliste est quasiment inexistante, seuls quelques licenciés connaissent certains grands noms du peloton, comme cet ado venu tout équipé, sur son VTT nickel chrome, qui lance un « Barguil, Barguil, uma foto, por favor, uma foto ! ». À l’exception de cette poignée d’inconditionnels, le sport cycliste est un univers lointain et exotique pour le Brésilien moyen, comme en témoignent les questions que me posaient encore mes amis, la veille de la course : « Quel est le parcours de ce marathon du vélo (sic) ? » « Au fait, au Tour de France, le Maillot Jaune part toujours avec le temps d’avance qu’il a accumulé sur les précédentes étapes, n’est-ce pas ? » « Qui sera le favori pour la course pré-olympique ? Armstrong ? »
Les coureurs, eux, semblent décontractés, la sélection brésilienne fait la pose devant le drapeau national, Gallopin discute le bout de gras avec son coéquipier de la Lotto Louis Vervaeke, Barguil a l’air d’amuser ses coéquipiers et son entraîneur, tandis qu’un jeune Allemand du nom de Felix Intra (j’avoue que je ne le connaissais pas) me file gentiment son bidon, tout content que quelqu’un vienne le prendre en photo. Il est alors 8h30, un soleil éclatant fait scintiller les eaux de la baie de Guanabara, et le peloton s’élance !
? ? ?
Je retrouve ensuite les coureurs à l’angle du Jardin Botanique, célèbre pour ses imposantes allées de palmiers impériaux. Ils passent à deux reprises à cet endroit, qui se situe au bas de la descente de la Vista Chinesa, c’est-à-dire après la plus grosse difficulté du parcours. Ce n’est pas forcément la grande foule, mais les Brésiliens sont curieux, et les passants s’arrêtent pour faire honneur à cet étrange défilé de coureurs. Je papote avec deux vieilles femmes venues s’amuser et oublier « la monotonie de leur vie de retraitées, à faire de la broderie en regardant la télé ». Les coureurs ont près d’une demi-heure de retard sur l’horaire prévu, et pour ne pas perdre patience, les gens se racontent des anecdotes, applaudissent les motards de la police fédérale qui ouvrent la route et les saluent en passant, et s’interrogent en riant sur les motifs de ce retard. « Fait trop chaud, alors moi je crois qu’ils se sont arrêtés, ils ont dû s’installer autour d’un bon petit barbecue ou se rafraîchir à la bière dans un comptoir de la Rocinha ». Un petit rigolo s’exclame : « Non, mais c’est une course de motos de la police fédérale, pas vrai ? » Ambiance de fête. Les Brésiliens savent faire. Le tout est de ne pas se prendre au sérieux et de savourer l’instant présent.
Les coureurs feront mentir le petit rigolo, fan de moto. Ils arrivent enfin, et sont accueillis par de vibrants hourras. Au premier tour, un groupe de cinq ou six coureurs, avec trois Français (Barguil et Bardet à coup sûr), passe en tête, suivi à quelques encablures d’un deuxième petit groupe, avec les deux autres Français (Pinot à coup sûr). Derrière, un gouffre : les écarts sont énormes, et les coureurs arrivent par petits paquets. Je surprends des grimaces sur les visages. Le niveau des participants est certes très hétérogène, mais si les écarts et le nombre d’abandons sont aussi importants, c’est également en raison de la chaleur et de la dureté du parcours.
Au deuxième tour, six coureurs passent en trombe. Parmi eux, quatre Français. Seul Barguil, échappé en début de course, manque à l’appel. Je le vois passer seul un peu plus tard, et je reste frappé par l’élégance qu’il dégage sur un vélo. Un beau coursier.
Du public échappent quelques commentaires ironiques lorsqu’arrivent enfin les représentants de la « seleção » brésilienne largués aux quatre vents, mais c’est là une moquerie pleine de tendresse, finalement, et les applaudissements n’en poussent pas moins avec tendresse Andriato, Chiarello et Didier Bulgarelli, à la peine. Et le premier Brésilien, Kléber da Silva, terminera quand même septième, devant Barguil. Pas si mal ! Les deux petites villes installées à mes côté ont passé une belle matinée, ça les changera de la broderie, et c’est promis : l’an prochain, elles y retourneront !
- ChicoDjango
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