Pour en avoir discuté il y aquelque peu sur place, 2 phénomènes peuvent expliquer la chute vertigineuse du cycisme italien.
Dans ce nouveau monde très connecté, comme vous le savez l'italien aime plaire et voue un certain culte pour son corps.
La première des réponses que j'ai reçu est la suivante, "ta vus ces corps de lâche que les cycliste ont, tu crois que je vais m'habiller chez qui?"
Et la suivante avait un rôle important que l'on accorde en été, celle du bronzage et là effectivement celui du cycliste dépareille.
Enfin bref pour revenir plus haut au sujet, aujourd'hui l'Italie ne compte qu'un seul coureur de haut niveau, je parle bien évidemment de Viviani qui appartient à la classe des très grands sprinter.
D'ailleurs j'espère que l'ITALIE sera en monde Zolder lors des mondiaux en misant tout sur Viviani
Après la grappe suivante est d'un niveau homogène on retrouve de bon petit coureur comme Trentin, qui mène à bien sa brillante carrière en faisant mouche là où ses roues sont en harmonie avec son corps (d'ailleurs je le vois bien faire sur MSR).
Voilà, moi j'apprécie le cyclisme italien que je vois à l'heure actuelle, loin des paillettes, mais toujours capable de coup de folie et tant que Laigueglia reste à la maison, moi ça me va
eDIT. Ah et oui j'oubliais, l'entrainement, chose importante, l'italien ne fait pas les efforts nécessaire et du fait d'une gastronomie très riche les effets se ffont vite sentir et l'exemple Albanese est tellement frappant, pour lui ce n'est une question de talent, mais plutit de poids.
Beaucoup vivet encore dans les années 70/80, où le culte de la minceur n'existait pas, mais avec les gains marginaux à l'heure actuelle il faut savoir faire les choses convenablement et au lieu d'aller au sauna profiter des biens faits d'une fonte des graisses, ça préfère cuisiner en toute tranquillité, pour les meilleurs ils ont leur place à Naples, pour les autres une carriole duc coté de Roma.