- 25 sept. 2017, 12:51
#2693589
"Ce qui a changé, c’est le discours. Dans les équipes, on ne parle plus de «prépa» - un synonyme de protocole dopant -, on ne parle même plus de vitamine C, de vitamine K ou de fer. Ce qui obsède aujourd’hui c’est l’entraînement, les «watts» développés par un coureur. La recherche de médicament n’est plus au centre des préoccupations."
La phrase d'avant, c'est guère mieuxEl_Pistolero_07 a écrit : ↑24 sept. 2017, 19:45http://www.liberation.fr/amphtml/sports ... ur_1598279
"Dans l’antiquité, les athlètes prenaient du sang de bœuf pour avoir la force du bœuf ou mangeaient de la chèvre pour sauter aussi haut que l’animal en question. Le dopage est une pratique ancestrale, une somme de croyances, une réponse à des inquiétudes. Combien de produits sont réellement efficaces sur la performance ? Très peu. Ceux qui y recourent veulent avant tout régler un problème de stress."
Je trouve ça assez vomitif de la part de notre sélectionneur national.
"Ce qui a changé, c’est le discours. Dans les équipes, on ne parle plus de «prépa» - un synonyme de protocole dopant -, on ne parle même plus de vitamine C, de vitamine K ou de fer. Ce qui obsède aujourd’hui c’est l’entraînement, les «watts» développés par un coureur. La recherche de médicament n’est plus au centre des préoccupations."