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Ce court contre-la-montre individuel ouvre la compétition en centre-ville de Pointe-à-Pitre.
Sur 3,6 km, les coureurs devront se montrer explosifs, précis dans leurs trajectoires et puissants. Ce prologue ne creusera pas de gros écarts, mais il donnera un premier aperçu des états de forme de chacun. Un terrain idéal pour les spécialistes du chrono.

La première étape en ligne est aussi la plus longue du Tour. Ce parcours relativement plat offre peu de répit, mais sans réelles difficultés à gravir. L’usure viendra de la distance et des conditions météo, avec un vent parfois compliqué en Grande-Terre.Une arrivée en sprint massif est attendue, sauf si une échappée parvient à résister.

C’est ce dimanche (3 août) que les choses sérieuses commencent. L’arrivée au sommet de La Regrettée est redoutée : cette montée est extrêmement raide (jusqu’à 25 %). Elle pourrait provoquer quelques premiers décrochés au sein du peloton.

Direction la côte sous le vent avec un parcours plus exigeant. Le tracé entre Baie-Mahault, Sainte-Rose et Deshaies pourra user les jambes, les attaques seront nombreuses. Une étape parfaite pour les baroudeurs ou les grimpeurs

Ce parcours de transition entre Morne-à-l’Eau et Les Abymes alterne les faux plats et les longues lignes droites exposées au vent. Un profil d'étape qui pourrait faire des piégés. Si le vent s’en mêle, les bordures sont possibles.Un sprinteur pourrait tirer son épingle du jeu.

C'est certainement l'une des plus belles étapes de cette édition. Et l'une des plus difficiles... Le parcours en Basse-Terre est ponctué de nombreuses montées dont Sapotille, l’Hermitage, Dolé et Dos d’Âne. La chaleur, l’humidité et les enchaînements de côtes mettront les organismes à rude épreuve.

Retour à une étape plus calme, du moins sur le papier. Le profil est propice à une arrivée groupée, même si des tentatives d’échappées sont possibles. Le peloton devrait rester vigilant, et les équipes de sprinteurs chercheront à contrôler la course. Les plus rapides du peloton auront ici une des dernières occasions de s’illustrer.

Cette étape sera entièrement disputée en Grande-Terre. Le vent, comme souvent dans cette zone, pourrait jouer un rôle décisif. Les longues lignes droites et l’exposition fréquente rendent possibles les bordures. Les coureurs expérimentés, les rouleurs capables de faire des épopées en solitaire, seront les mieux armés pour tirer profit de ce type d’étape

C’est l’une des étapes reine de ce Tour 2025. L’enchaînement des montées de Gommier, de Ferry et surtout des Mamelles avant l’arrivée au sommet de Saint-Louis offre un terrain parfait pour les grimpeurs les plus costauds.Les écarts pourraient être significatifs et décisifs pour le classement général. C’est ici que se jouera sans doute le maillot jaune. Une journée pour les hommes forts, à condition de savoir attaquer au bon moment ou de résister aux assauts.

Dernier jour, dernière chance pour remporter une victoire d'étape ou faire basculer le classement général. Si le maillot jaune est encore en jeu, cette étape pourrait servir de champ de bataille (comme en 2023, lors de la victoire de Benjamin Le Ny). La fatigue accumulée et la tension de l’arrivée joueront. On pourrait assister à un sprint massif à Jarry