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ÉTAPE 6 : TARBES > CAUTERETS-CAMBASQUE

JEU 6 JUILLET | 145 km (3894 m D)

Départ fictif 13h10 / Départ réel : 13h25 / Arrivée prévisionnelle : 17h08

https://img.aso.fr/core_app/img-cycling-tdf-jpg/tdf23-profils-web-fr-e-uetape-6/45585/0:0,2009:1206-960-0-90/bba3a

DÉTAILS

FAVORIS

Le petit Prono de chez Fabio :

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Qui sera le meilleur francais ?

Batman :

Delgato :

Fabio :

Nopik :

OlivWax :

MÉTÉO

DIFFUSION EN INTÉGRALITÉ

France Télévision : À partir de 13h00 sur France 3 et 15.00 sur France 2

Eurosport 1/GCN&Eurosport.fr : (13h00) Les Rois de la Pédale / 13h25 : la course en direct

Streaming : https://videosdecyclisme.fr/live-video- ... streaming/
https://tiz-cycling-live.io/livestream.php

Par écrit : https://cyclingpro.net/velopro/course/t ... -6e-etape/
https://www.procyclingstats.com/race/to ... age-6/live

Race Center : https://racecenter.letour.fr/fr/%5Bb
https://www.tissottiming.com/2023/tdf/f ... age/6/home

Radio Tour : https://www.letour.fr/fr/actus/2022/radio-tour/1300705

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À PROPOS DE TARBES

https://upload.wikimedia.org/wikipedia/commons/thumb/e/e0/Blason_ville_Tarbes.svg/1090px-Blason_ville_Tarbes.svg.png

Tarbes(/tàʁbə/ en français méridional, /taʁb/ en standard) est une commune de Gascogne, dans le Sud-Ouest de la France. C'est aussi la préfecture du département des Hautes-Pyrénées, en région Occitanie. La ville est située sur l'axe pyrénéen, qui va de l'Atlantique à la Méditerranée, non loin de la frontière franco-espagnole.

Tarbes est une commune urbaine qui compte 42 925 habitants en 2020. Elle est comprise dans l'agglomération de Tarbes et fait partie de l'aire d'attraction de Tarbes. Ses habitants sont appelés les Tarbais ou Tarbaises.

Capitale historique du comté de Bigorre, cette ville pyrénéenne de tradition industrielle s’étend, à une altitude moyenne de 304 mètres, au pied du massif des Pyrénées, dont les sommets (à commencer par le pic du Midi de Bigorre) se détachent nettement dans le paysage urbain.

La ville a une surface relativement réduite (15,33 km2).

https://homnicity.com/wp-content/uploads/2020/10/homnicity-tarbes.jpg

HISTOIRE

Au iiie siècle av. J.-C., les fondations de la cité tarbaise voient le jour, d'après les témoignages des vestiges exhumés du sous-sol. Par nécessité pour le commerce du sel, des marchands vraisemblablement aquitains cheminaient sur le piémont pyrénéen. Pour continuer leur route, ils devaient emprunter un gué afin de franchir l'Adour descendu de la montagne. Il était plus prudent de fractionner les charges pour franchir le gué à la suite duquel une pause était nécessaire. Le fond de la vallée était dominé par une émergence sablonneuse qui incita les hommes à s'y établir.

Antiquité
Puis, Tarba ou Turba connaît une colonisation romaine et se dote de villas antiques et de grands domaines agricoles, découverts notamment dans le quartier de l'Ormeau. L'existence d'un artisanat se vérifie par les restes d'ateliers de potiers et de tisserands. Le noyau urbain, quant à lui, assume des fonctions administratives et sera doté d'une église paléo-chrétienne dès le ive siècle.

Moyen Âge
Aux ve et vie siècles, sous l'effet des invasions barbares qui déferlent par vagues successives, la ville se rétracte autour du castrum, dont un vestige subsiste dans la cour arrière de la préfecture.

Vers 840, les Vikings mènent un raid dévastateur à la suite duquel l'évêque de Bigorre relève la ville en commençant par la cathédrale, appelée avec originalité, la Sède.

À la fin du xiie siècle, le comte de Bigorre s'installe dans son château fort de Tarbes, entraînant à sa suite la cour de justice. Puis la capitale de la Bigorre reçoit une sénéchaussée royale.

Deux maisons nobles fondent au xiiie siècle, hors les murs, l'une le couvent des cordeliers près de Carrère Longue, l'autre celui des Carmes au voisinage du Bourg Crabé.

À la fin des siècles médiévaux, la ville se compose de six bourgs fortifiés séparément, juxtaposés et alignés sur un axe ouest-est, dont le noyau primitif est ordonné autour de la cathédrale. On dénombre ainsi la Sède, Carrère Longue, Maubourguet, Bourg Vieux flanqué à l'est du château comtal, Bourg Neuf, Bourg Crabé, chacun entouré de ses propres murailles.

Durant les guerres de Religion, en 1569, les troupes de Jeanne d'Albret incendient la cathédrale, les couvents et autres églises ainsi que l'évêché. Malgré les destructions stratégiques pour tenter d'assurer la défense du Bourg Vieux, les habitants sont massacrés.

Époque moderne
Au xviie siècle, après la peste et les problèmes de logement des gens de guerre, Tarbes assure son renouveau avec la reconstruction du palais épiscopal en 1652 (hôtel de la préfecture aujourd'hui), la fondation d'un troisième hôpital en 1690 et de deux nouveaux couvents (capucins et ursulines). L'irrigation des terres et la force hydraulique utilisée par les artisans sont produites par le système de canaux dérivés de l'Adour.

Le xviiie siècle annonce un essor démographique, le développement de l'agriculture, de l'artisanat et du commerce. La ville s'étend et des quartiers nouveaux apparaissent (comme l'actuelle rue Maréchal-Foch). Ensuite, l'Assemblée constituante dont fait partie Bertrand Barère de Vieuzac (député de la Bigorre aux États Généraux) décide de la réforme administrative et Tarbes en bénéficie en devenant chef-lieu du département des Hautes-Pyrénées.

xixe siècle
Prérogatives d'un chef-lieu
Modifier
À partir de 1800, Tarbes devient le siège d'une préfecture (accroissement de son rôle administratif et de ses fonctions). En 1806, Napoléon Ier rétablit le haras national de Tarbes et à partir du cheval tarbais donne naissance à la race anglo-arabe. En 1859, Tarbes est reliée à Paris par voie ferrée.

Legs
Au xixe siècle, différents legs enrichissent les espaces publics tarbais… En 1853, Placide Massey lègue à la ville le jardin éponyme encore inachevé. En 1877, une donation de l'ancien maire Antoine Brauhauban est à l'origine de la construction d'une imposante halle portant son nom (ce bâtiment a cependant été détruit en 1970 pour y établir un parking aérien en dessous duquel continue à se tenir un marché animé, y compris le dimanche). La fin du xixe siècle voit encore l'élévation des deux fontaines (Quatre vallées et les Sources de l'Amour) de la place Marcadieu, héritage de la bienfaitrice Félicitée Duvignau.

Développement industriel
Après la guerre de 1870-1871, le général Verchère de Reffye transforme l'atelier expérimental de Meudon (transféré par train à Tarbes) en atelier de construction d'artillerie (appelé Arsenal par les Tarbais). Ainsi, Tarbes devient une ville industrielle et ouvrière mais affirme également sa vocation militaire par la construction des quartiers Larrey, Soult et Reffye.

xxe siècle
Pendant la Première Guerre mondiale, Tarbes intensifie sa production en artillerie du fait de son positionnement géographique en arrière-pays. Le maréchal Foch, commandant-en-chef de toutes les armées alliées, maréchal de France, de Grande-Bretagne et de Pologne, est né à Tarbes en 1851.

Pendant la Seconde Guerre mondiale, le 11 septembre 1940, Tarbes, située en Zone Libre, accueille l'École de cavalerie de Saumur, dénommée à l'époque "École d'application de la cavalerie et du train". C'est de cette école que sont issus les fameux "Cadets de Saumur" qui se sont illustrés par d’héroïques combats sur la Loire en juin 1940, avec d'autres unités françaises. Elle se réorganisera au Quartier Soult, aujourd'hui occupé par le 35e Régiment d'Artillerie Parachutiste, jusqu'à sa dissolution en novembre 1942. En effet, le 11 novembre 1942, les Allemands envahissent la zone libre à la suite du débarquement allié en Afrique du Nord. Le 27 novembre 1942, l’Armée d’Armistice est démobilisée. Tarbes étant en zone libre, désormais envahie, l'École est dissoute. Durant ces deux années passées à Tarbes, elle formera de nombreux officiers qui rejoindront plus tard les Forces Françaises Libres (FFL). L'École se reconstituera à Saumur (Maine-et-Loire), en 1945, sous l'appellation d’ École d’application de l’arme blindée et de la cavalerie devenue, en 2009, l'École de cavalerie (de Saumur). Le choix de Tarbes, en 1940, est lié à l'important Haras national de la ville et au "cheval tarbais" (aussi appelé cheval Navarrin) qui fut traditionnellement le cheval de la cavalerie française. Ce lien avec la cavalerie se retrouve, aujourd'hui encore, avec l'implantation à Tarbes, depuis 1961, du 1er régiment de Hussards Parachutistes, l'unique régiment français de cavalerie parachutiste, composé de blindés légers aérotransportables.

C'est aussi à Tarbes, le 2 octobre 1945, que le brigadier Mike Calvert, commandant les commandos SAS ("Special Air Service") britanniques , transfère les 3e et 4e régiments SAS, composés de volontaires français libres, de l'armée britannique à l'armée française. En effet, contrairement à une idée répandue, à la fin de la guerre, les SAS, sous commandement britannique, comprenaient deux régiments britanniques (1er et 2e SAS), deux régiments français (3e et 4e SAS) et un régiment belge (5e SAS). À noter que sur les 215 premiers engagés SAS français en 1942, seuls 22 étaient encore vivants en 1945. Le 3e SAS devint le 3e régiment de chasseurs parachutistes (3e RCP), le 4e SAS devint le 2e régiment de chasseurs parachutistes (2e RCP).

La Résistance civile fait également partie du quotidien de la ville de Tarbes, à qui la Croix de guerre a été attribuée. D'ailleurs, Maurice Trélut, maire "modéré" de Tarbes de 1935 à 1944, est mort déporté à Buchenwald pour avoir aidé de nombreux juifs, avec la complicité active des religieuses et du directeur de l'hôpital de la ville. Maurice Trélut a été reconnu " juste parmi les nations" par l'État d'Israël. Son nom est gravé sur le mur d'honneur du mémorial de Yad Vashem.

Après le retour de la paix, l'industrie est diversifiée, et on constate une expansion de la démographie, jusque dans les années 1980. L'Arsenal a progressivement disparu au fil des restructurations liées, notamment, à la disparition de l'URSS.

Cependant, Tarbes demeure une ville à fort caractère militaire avec la présence de ses deux régiments parachutistes: le 1er Régiment de Hussards Parachutistes (1er RHP) et le 35e Régiment d'Artillerie Parachutiste (35e RAP). régulièrement sollicités pour participer aux opérations extérieures (Opex).

xxie siècle
Aujourd'hui, Tarbes est devenue une ville universitaire dont l'activité principale relève désormais du secteur tertiaire. En effet, l'Arsenal, principale activité industrielle de la ville (3 150 salariés en 1987), a été fermé dans le cadre de la restructuration de l'industrie de défense. Le site a fait l'objet d'un réaménagement pour accueillir des activités industrielles et tertiaires. La ville a été fortement affectée, sur les plans économique et démographique, par cette fermeture non compensée par l'État.

Sources : wikipedia

CAUTERETS

https://zupimages.net/up/23/27/jyis.jpg

Ah cette etape de Miguel
Il etait partir a 100 km de l arrivee

Pour ce qui concerne la lutte au CG, il faudra voir comment seront montés l'Aspin et le Tourmalet (évidemment, la compo de l'échappée influera sans doute là-dessus). Si c'est du tempo, ça pourrait ne pas faire grand chose et course de côte sur la fin de la montée vers Cauterets, et donc écarts de quelques grosses secondes sauf pour ceux qui se prennent un tir. Par contre, si ça monte fort, ça peut faire beaucoup de dégâts. Cauterets, c'est typiquement le genre de montée où tu peux te prendre une bonne raclée si tu es lâché d'entrée.

Est-ce que Vingo va battre le fer tant qu'il est chaud ?
Il peut faire un sacré ménage jusqu'au Puy de Dôme. Ca doit monter le Tourmalet très rapidement surtout si Kuss tient cette forme.

Victoire de Vingo.

Il a tout intérêt à faire le max sur cette étape et ne pas attendre les autres étapes du tour

Je serais presque tenté de dire que le mieux pour Jumbo serait d'envoyer encore des mecs à l'avant pour passer le Tourmalet devant Vingegaard qui y aura attaqué. J'ai du mal à les voir rester grouper jusqu'au dernier col, surtout que si le but est de faire un gros tempo sur le Tourmalet pour user Pogacar, ça voudra dire déjà se servir fort de Kuss et Kelderman. Et si c'est le cas, derrière y'aura plus personne.

Après ce sera à Bora de faire le boulot en début d'étape aussi, à voir comment ils filtreront.

Le problème pour Bora, c'est qu'ils ont une compo très intéressante pour faire ce qu'ils ont fait aujourd'hui, mais pour gérer un maillot jaune, ça va être très compliqué avec un Buchmann certes très en cannes mais seul pour véritablement épauler Hindley.
Car derrière, Konrad est en deçà de ce qu'il a pu montrer par le passé, et a déjà le Giro dans les jambes. Jungels, c'est correct mais sans plus. Et ensuite, je veux bien croire que des Politt ou Haller puissent se sublimer pour défendre le jaune, mais ça ne va pas aller chercher bien loin. Puis enfin Meeus et Van Poppel, probablement lâchés dès la première accélération...
Chez Bora, on doit probablement espérer que d'autres prennent la course en main et rester en position d'outsider et non de leader de la course.

Meus il doit être dégoûté, bon après il vont peut être le préserver pour ses Sprints, mais si la situation dure il n'aura plus plus que Van Poppel en poisson pilote pour l'aider. Les UAE eu vont sûrement se positionner en "outsider" maintenant et la Jumbo en leaders du paquet Dommage, j'espère qu'il feront plutôt comme aujourd'hui pour qu'il y est un peu d'animation

Bon, après, le problème pour UAE, ce serait de ne pas se mettre à rouler pour être battu par Vingegaard ensuite. Je pense qu'ils seront plus attentistes, en tout cas au moins sur cette 6ème étape.

l'étape d'aujourd'hui était plutôt favorable à pogacar (surtout si menée à rythme tranquille et résumée à une montée sèche)
celle de demain est favorable à vingegaard : de longues montées, peu de repos. L'endurance va parler, pas le punch. Logiquement la jumbo devrait rouler fort dès le début du tourmalet. Ils ont tout intérêt en tout cas

pogacar n'a qu'une chose à faire : serrer les fesses et espérer que ses co-équipiers (du moins yates et/ou majka) soient là pour l'épauler en cas de moins bien. Car aujourd'hui ils ont servi à rien. D'ailleurs super idée d'avoir fait relever leurs 2 gars (solet ET grosschartner) de devant, alors que peut être un des 2 aurait pu être là après marie blanque pour aider pogacar (surtout si uae n'avait pas roulé à fond et laissé plus d'espace pour pas revenir sur eux)
l'an dernier tactiquement ça avait failli ; aujourd'hui aussi. Faut arrêter les erreurs sinon c'est cuit

Demain la Jumbo se la joue groupée autour de Vingo, roule pour la victoire d'étape (Van Baarle and co contrôlent le plat, les autres en montée) et lance Vingo à 3 bornes de l'arrivée dans les gros pourentages pour une victoire d'étape avec une petite 30 aine de secondes sur les plus proches poursuivants. Il sera presque à égalité de temps avec Hindley ou aura repris le maillot de peu, et les autres seront déjà à 1mn30 au moins. My prono

J'ai du mal à voir autre chose que la grande et classique course de côte.

J'imagine un suspense pour savoir si Vingegaard reviendra suffisamment tôt sur l'échappée pour être vainqueur d'étape.
Mais le voir attaquer sur le Tourmalet, je ne pense pas.

C'est la Jumbo qui va filtrer demain du coup ?

Je vois SKL tenter l'échappée demain. Finalement Ciccone qui ne voulait pas jouer le CG va devoir le faire au moins pour cette semaine.

A l'arrivée, en interview la plupart des coureurs semblaient d'accord que l'étape avait été courue à un rythme dingue (ils avouent !) et même Kuss paraissait presque fatigué

J'ai quand même dû mal à croire que ça va être le même bordel demain, d'autant que ceux qui étaient proches au CG se sont encore plus rapprochés. Après des Martinez, Jorgenson, Tejada restent loin, mais les cannes pour y retourner dès demain ? Hum.
Je rêverais de voir Pidcock et Bernal dans l'échappée mais ça me paraît une stratégie bien trop audacieuse pour les standards d'Ineos.

Ilnur majka a écrit : 05 juil. 2023, 22:54 C'est la Jumbo qui va filtrer demain du coup ?

Je vois SKL tenter l'échappée demain. Finalement Ciccone qui ne voulait pas jouer le CG va devoir le faire au moins pour cette semaine.

Il a dit après l'arrivée qu'il ne fallait pas trop en attendre de lui et que le leader chez Trek restait Skjelmose
Il n'est même pas capable de se battre pour le maillot de grimpeur, qui était son objectif initial, alors le CG...

AlbatorConterdo a écrit : 05 juil. 2023, 23:09
Ilnur majka a écrit : 05 juil. 2023, 22:54 C'est la Jumbo qui va filtrer demain du coup ?

Je vois SKL tenter l'échappée demain. Finalement Ciccone qui ne voulait pas jouer le CG va devoir le faire au moins pour cette semaine.

Il a dit après l'arrivée qu'il ne fallait pas trop en attendre de lui et que le leader chez Trek restait Skjelmose
Il n'est même pas capable de se battre pour le maillot de grimpeur, qui était son objectif initial, alors le CG...

Sauf que là il est trop près au général du coup on va pas le laisser faire les échappées de nazes taillées sur mesure pour lui

AlbatorConterdo a écrit : 05 juil. 2023, 23:09 Il a dit après l'arrivée qu'il ne fallait pas trop en attendre de lui et que le leader chez Trek restait Skjelmose

Ah bon c'est pas Hindley le leader de Lidl-Trek ?
Vu comment ils ont roulé pour lui aujourd'hui...

Avant d'être largué au CG, Adam Yates devrait attaquer Vingegaard pour tenter de jouer la tactique de la menace à deux têtes.

Un peu comme Vingegaard et Roglic l'ont fait à Pogacar l'année passée mais à l'envers !

Ce qui me rassure pour Pogi c'est, paradoxalement... Qu'il n'arrivait même pas à décrocher un vulgaire équipier qui venait de mener le train à fond.

Il est clair que Pogi n'est pas à son niveau habituel. Un Pogi normal, il dépose Kuss en 3 secondes.

J'avoue ne rien comprendre à ces histoires de récupération (même la lecture d'innombrables ouvrages sur l'histoire du cyclisme ne m'a jamais permis de comprendre ce mystère : comment les efforts d'un giro disputé SIX SEMAINES avant peuvent influer dur la forme sur le tour ?

En six semaines, on a bien le temps de se reposer (enfin, c'est ce que je n' arrive pas à m'empêcher de penser automatiquement, mais c'est évidemment faux puisque... ce n'est pas ce qui se passe dans la réalité)).

J'aurais du faire médecine comme études. J'imagine que les physiologistes doivent penser que la réponse est évidente.

(mais comment font les tennismen qui enchaînent RG et Wimbledon, ou les footeux sui ont match toute la saison ??)

Enfin bref, j'espère que ce n'est qu'une question physiologique et que Pogi retrouvera son niveau merckxien d'avril d'ici la 3e semaine. S'il y arrive et qu'il est à moins de 3 minutes, j'ai foi en lui pour faire un truc de dingue à 80 bornes de l'arrivée et terrasser le Danois

KartovOndulévitch a écrit : 06 juil. 2023, 01:51 Ce qui me rassure pour Pogi c'est, paradoxalement... Qu'il n'arrivait même pas à décrocher un vulgaire équipier qui venait de mener le train à fond.

Il est clair que Pogi n'est pas à son niveau habituel. Un Pogi normal, il dépose Kuss en 3 secondes.

J'avoue ne rien comprendre à ces histoires de récupération (même la lecture d'innombrables ouvrages sur l'histoire du cyclisme ne m'a jamais permis de comprendre ce mystère : comment les efforts d'un giro disputé SIX SEMAINES avant peuvent influer dur la forme sur le tour ?
En six semaines, on a bien le temps de se reposer (enfin, c'est ce que je n' arrive pas à m'empêcher de penser automatiquement, mais c'est évidemment faux puisque... ce n'est pas ce qui se passe dans la réalité)).

J'aurais du faire médecine comme études. J'imagine que les physiologistes doivent penser que la réponse est évidente.

(mais comment font les tennismen qui enchaînent RG et Wimbledon, ou les footeux sui ont match toute la saison ??)

Enfin bref, j'espère que ce n'est qu'une question physiologique et que Pogi retrouvera son niveau merckxien d'avril d'ici la 3e semaine. S'il y arrive et qu'il est à moins de 3 minutes, j'ai foi en lui pour faire un truc de dingue à 80 bornes de l'arrivée et terrasser le Danois

Rude la comparaison avec Kuss.
Pour moi elle n'est pas raison, s'il y a vraiment un gars capable du meilleur comme du pire, c'est bien Kuss.
Et dans un bon jour, Kuss n'a rien à envier aux 2 autres mutants.
Juste qu'il n'est pas fiable sur plusieurs jours mais sur un seul jour mets un train à Kuss et demande lui de produire son effort sur 1 à 2km il peut rivaliser avec les deux autres.

Le tout en doublant les GT chaque année depuis qu'il est chez Jumbo et en ajoutant à chaque fois le Dauphiné avant ou entre ( excepté cette année )

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