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"Le départ vers la France, par le chemin des écoliers, donnera peut-être leur première chance aux sprinteurs. Encore devront-ils surmonter les éventuels pièges que tendra le parcours. À travers les terres de Biscaye d’abord, pour rejoindre le bord de mer par le magnifique port de Lekeitio. Puis au long des petites difficultés qu’offriront, avec de superbes points de vue à chacun de leurs nombreux détours, 80 km de route côtière. Pour ensuite filer, après un dernier salut à Saint-Sébastien, vers Irun et la France." CP : "Un autre match commence, avec l’entrée sur le territoire français, qui se fera par le département des Pyrénées-Atlantiques, où les sprinteurs seront pour une fois à l’honneur. Pour ces retrouvailles avec Bayonne, le profil du final donnera la possibilité aux équipes de manœuvrer pour assembler les wagons de leur train. Le premier qui gagne marque toujours les esprits."
POPULATION : 19587 habitants
SUPERFICIE : 58 km2
ALTITUDE : 65 m
Personnalités : Benat Intxausti (cycliste), Carmelo Cedrun (football), Joseba Etxebarria (football), Xabie Exteita (football). Spécialités : zurrukutuna (soupe à l’ail), morue, calamars, txuleta et ragoût de légumes. Culture et festivals : Haizetara (musique de rue). Fiestas d’Amorebieta. Sports : SD Amorebieta (football, D2 espagnole). Évènements : Klasika Primavera, Premio Primavera (cyclisme). Économie : Recherche et technologie (Tecnalia). Zone industrielle de Boroa (Parque empresorial Boroa). Centrale thermique de Boroa.
Amorebieta-Etxano ou Zornotza est une commune de Biscaye dans la communauté autonome du Pays basque en Espagne.
Le nom officiel de la ville est Amorebieta-Etxano, cependant l'Académie de la langue basque recommande le nom Zornotza. Elle est souvent appelé Amorebieta dans le langage courant. Avant la fin de la dictature franquiste la graphie Amorebieta-Echano était l'orthographe officielle.
Comme les autres elizates de Biscaye, l'occupation humaine immémoriale est rattachée avec la Lur Laua de Biscaye. L'histoire de chacune d'elles a ses ombres propres même si le fort lien avec la propriété dans la Merindad de Zornotza et les Juntes de Guernica a fait qu'ils suivent des chemins parallèles.
On sait que dans le XIIIe siècle, ce bourg a été accordé à Pedro García de Salcedo pour le peupler, comme prix de sa participation la bataille de Las Navas de Tolosa. La lignée de Zornotza vient du tronc des Salcedo-Ayala, seigneurs de la maison d'Ayala, principaux habitants de la zone, et qui ont donné indistinctement à l'endroit leur nom, utilisé jusqu'au XIXe siècle avec celui d'Amorebieta pour désigner cette elizate. À Amorebieta, la base de l'action du peuplement a été faite par les maisons solaires et armées. Les plus anciennes sont celles d'Andrandegi, d'Aldana (844), Cancelada, Garai, Zubiaur, Jauregi, Ibarra et Berne.
La tour de Zornotza a été érigée par Pedro Gracía de Galíndez, quatrième seigneur d'Ayala, vers le milieu du XIIe siècle et a été incendiés en 1445 par les « frailes de Castro » (les moines de Castro), soldats de terreur, des incendiaires mercenaires. À cette occasion, ils agissaient sous les ordres Pedro Avendaño], qui, à cette époque, soutenait avec quelques parents majeurs une guerre sanglante qui a détruit pendant des années cette localité. Dans cette tour a résidé le Merino ou juge principal de la Merindad qui a adopté, pour cette raison, le nom de Merindad de Zornotza. Son métier était de donner la sentence dans les plaintes et causes de justice, en exerçant la domination suprême de la région où se constituait son office.
Pour son gouvernement politique, l'Elizate disposait de deux fidèles régisseurs, avec le siège et 29 voix dans le vote lors des Juntes Générales de Guernica. L'elizate était une des plus riches de la seigneurie.
Il existait plusieurs forges très actives, comme la Fábrica de Hierros y aceros d'Astepe. Ces installations, avec une localisation privilégiée dans un carrefour de routes, a permis à la ville d'être un centre économique dynamique.
Le 31 octobre 1808, les armées françaises commandées par le général Villatte a attaqué les troupes divisées dans l'elizate, des troupes dans lesquelles il y avait une participation anglaise commandée par le lieutenant-général d'origine irlandaise Joachim Blake. Les elizates d'Amorbieta et d'Etxano sont détruites. On calcule qu'il y a eu plus de 6 000 morts, civils pour la plupart. Les troupes anglaises et les guérillas biscaïennes n'ont pas perdu beaucoup d'hommes puisqu'elles ont eu le temps de se retirer (ils avaient été informés lorsque les Français sont arrivés à Durango). La bataille a été gagnée par les troupes de Napoléon, mais n'ont pas atteint l'objectif recherché qui était la destruction de la résistance.
Bayonne (en basque et en gascon : Baiona) est une commune du Sud-Ouest de la France et l’une des deux sous-préfectures du département des Pyrénées-Atlantiques, en région Nouvelle-Aquitaine. La ville est située au point de confluence de l'Adour et de la Nive, non loin de l'océan Atlantique, aux confins nord du Pays basque et sud de la Gascogne, là où le bassin aquitain rejoint les premiers contreforts du piémont pyrénéen. Elle est frontalière au nord avec le département des Landes, et la limite territoriale franco-espagnole se situe à une trentaine de kilomètres au sud.
Le site sur la rive gauche de la Nive et de l'Adour est probablement occupé avant l'Antiquité et une enceinte fortifiée est attestée au ier siècle, à l'époque où les Tarbelli occupent le territoire. Des études archéologiques ont confirmé la présence d’un castrum romain, place forte de Novempopulanie, à la fin du ive siècle, avant que la cité ne devienne vasconne.
En 1023, Bayonne est la capitale du Labourd, et s'étend au xiie siècle vers et au-delà de la Nive, alors qu'est construit le premier pont sur l'Adour. La ville, à la suite du mariage d'Aliénor d'Aquitaine avec Henri Plantagenêt, comte d'Anjou et du Maine, duc de Normandie et futur roi d'Angleterre, prend une importance militaire et surtout commerciale, grâce aux échanges maritimes avec l'Angleterre. Elle est séparée de la vicomté du Labourd en 1177 par Richard Cœur de Lion. Ce dernier confirme ou instaure un certain nombre de droits ou de libertés à la cathédrale comme aux habitants2. En 1451, la ville est prise par la Couronne de France, au terme de la guerre de Cent Ans. La perte des échanges avec les Anglais et l'ensablement du fleuve, puis le déplacement de celui-ci vers le nord, l'affaiblissent ; le quartier de Saint-Esprit se développe néanmoins, grâce à l'arrivée d'une population juive fuyant l'Inquisition espagnole. Bayonne doit à cette communauté sa notoriété dans le domaine du chocolat. Le cours de l'Adour est modifié en 1578 sous la direction de Louis de Foix, et le fleuve retrouvant son embouchure antérieure, redonne au port de Bayonne l’activité perdue pendant plus de cent ans. Au xviie siècle, la ville est fortifiée par Vauban. En 1814, Bayonne et ses environs sont le théâtre de combats entre les troupes napoléoniennes et la coalition hispano-anglo-portugaise emmenée par le duc de Wellington ; la ville subit alors son ultime siège.
En 1951 est découvert le gisement de gaz de Lacq dont le soufre fatal extrait et le pétrole associé sont expédiés depuis le port de Bayonne. Durant la seconde moitié du xxe siècle, de nombreux grands ensembles sont construits, formant de nouveaux quartiers en périphérie, et la ville s'étend jusqu'à constituer une conurbation avec Anglet et Biarritz ; cette agglomération devient le cœur d'une vaste aire urbaine basco-landaise.
Bayonne est, en 2016, une commune de plus de 50 000 habitants, la principale de l'aire urbaine de Bayonne où elle côtoie Anglet et Biarritz. Malgré ses influences métisses, elle est aujourd'hui reconnue comme la principale ville du Pays basque français. Important maillon de l'eurocité basque Bayonne - San Sebastián, elle joue le rôle de capitale commerciale et touristique du bassin de l'Adour (la capitale industrielle et administrative étant Pau). L'industrie moderne — métallurgie et produits chimiques — a pu s'y implanter, grâce aux possibilités d'approvisionnement et d’expéditions par mer de son port. Mais ce sont surtout les activités de services qui, aujourd’hui, représentent le plus grand gisement d’emplois. Bayonne est également une capitale culturelle, ville aux influences basques et gasconnes forte d’un riche passé historique. Son patrimoine réside dans son architecture, la diversité des collections de ses musées, mais aussi dans ses spécialités gastronomiques ou ses événements traditionnels comme les célèbres fêtes de Bayonne.
L'Aviron bayonnais rugby proNote 2 est la section rugby fondée en 1906 de l'Aviron bayonnais, club omnisports basé à Bayonne dans les Pyrénées-Atlantiques. Le club évoluera dans le championnat de Top 14 en 2022-2023 et est actuellement présidé par Philippe Tayeb. Le staff technique responsable de l'équipe première est, lui, composé du manager sportif Grégory Patat qui remplace Yannick Bru et des entraîneurs Jean-Frédéric Dubois et Joël Rey.
Le club basque a notamment été trois fois champion de France en 1913, 1934 et 1943, a remporté le challenge Yves du Manoir par deux fois, en 1936 et en 1980 et a remporté le championnat de Pro D2 en 2019 et en 2022.
Il entretient une rivalité historique avec son voisin du Biarritz olympique.
Les Fêtes de Bayonne (Baionako Bestak en basque, Las Hèstas de Baiona en gascon, graphie de l'IEO occitan) sont la période des fêtes dans la ville de Bayonne (Pyrénées-Atlantiques) qui commence le mercredi qui précède le premier week-end du mois d'août (normalement le premier mercredi du mois d'août mais le début a été avancé depuis quelques années en raison d'une affluence devenue trop importante) et se termine le dimanche suivant (en cas de week-end à cheval sur les deux mois, elles s'achèveront toujours le premier dimanche d'août).
En 2004, ces fêtes réunissaient entre 1,3 et 1,5 million de visiteurs, faisant de ces fêtes les plus importantes de France. La tenue de rigueur est blanche, accompagnée d'un foulard et d'une ceinture rouges (cinta, zinta ou faja). Cette tenue, non traditionnelle de la région, provient en fait de la province basque de Navarre en Espagne. La pratique festive des fêtes de Bayonne est inscrite à l'Inventaire du patrimoine culturel immatériel français1.
La ville est membre de l'Union des villes taurines françaises. Durant les fêtes, deux corridas ont lieu.
SPÉCIALITÉS GASTRONOMIQUES
Le jambon de Bayonne
https://www.sncf-connect.com/assets/styles/ratio_2_1_max_width_961/public/media/2018-11/istock-175412911.jpg?h=d684f4f9&itok=FWpdrkgP
Le piment d'Espelette :
https://www.acheter-au-pays-basque.com/174-large_default/piment-d-espelette-aop-frais-corde.jpg Poulet Basquaise :
https://www.macuisinesante.com/wp-content/uploads/2019/07/poulet_basquaise.jpg
La piperade :
https://assets.afcdn.com/recipe/20140920/41064_w1024h1024c1cx1224cy1632.webp
Le fromage Ossau-Iraty :
https://www.vercorslait-romans.fr/174-large_default/ossau-iraty-aop-au-lait-cru.jpg
Delgato a écrit : 02 juil. 2023, 21:06
À noter qu'à partir de demain et jusqu'au we prochain, vous aurez le droit à quelques petites surprises lors des prez !!
En effet comme certains le savent déja, je me rends dans le sud-ouest pour rejoindre FabioLullito, Batman, Nopik et Olivwax
Nous allons passer la semaine ensemble et voir à l'occasion 2 étapes : mardi et vendredi au départ de Mont-de-Marsan.
Donc petits RV spéciaux lors des prez, avec notamment le pronostic de chacun pour l'étape, ainsi que quelques photos à venir
Sam Welsford punaise le tuyau j'ai pas vu ce nom depuis le Tour de San Juan où on s'étonnait que DSM aussi avait le droit de gagner des courses.
Allez van der poel je suis à peu prêt certain qu'il peut passer les bosses là et la seule question c'est si Philipsen arrivera à déboîter de la roue de son poisson-pilote. Je m'en voudrais de ne pas avoir été là pour annoncer la victoire du batave après tant de paris foireux donc je vous l'annonce, Philipsen calera à hauteur du pédalier. Vers la troisième dent du gros plateau en partant de l'axe du bousin.
Delgato a écrit : 02 juil. 2023, 21:06
À noter qu'à partir de demain et jusqu'au we prochain, vous aurez le droit à quelques petites surprises lors des prez !!
En effet comme certains le savent déja, je me rends dans le sud-ouest pour rejoindre FabioLullito, Batman, Nopik et Olivwax
Nous allons passer la semaine ensemble et voir à l'occasion 2 étapes : mardi et vendredi au départ de Mont-de-Marsan.
Donc petits RV spéciaux lors des prez, avec notamment le pronostic de chacun pour l'étape, ainsi que quelques photos à venir
Je ne sais pas si c'est une bonne idée que Nopik se rende dans une région sensible aux incendies de forêt. Cela demande une surveillance de chaque instant
Moi c'est surtout pour Delgato que je m'inquiéterai ... Si le garçon passe sa semaine de vacance à bassiner la bande avec ses pronos et ses présentations à tenir dans les temps entre 2 coups de soleil, 2 tranches de sauciflard et une douzaine de bouteilles de rosé choisies spécialement par Fabio, il risquerait de finir nu attaché à un arbre dont la flamme de Nopik pourrait aisément venir flirter avec le tronc .
Blague à part, merci d'avance à Delgato et bonnes semaine à tous .
Allez puisque l'un de va pas sans l'autre dans une 3e mi temps parfaite, voici les fêtes de Mauléon !
Version classique ou en let it be, c'est à vous de choisir
Il y a 2 bosses non répertoriées dans la partie française, une en sortie d'Hendaye et surtout celle après Souraide. Si une équipe veut éliminer des gars comme Cav ou autres sprinteurs en difficulté en ce début de tour, c'est a mon humble avis très jouable .
elway22 a écrit : 02 juil. 2023, 23:36
Il y a 2 bosses non répertoriées dans la partie française, une en sortie d'Hendaye et surtout celle après Souraide. Si une équipe veut éliminer des gars comme Cav ou autres sprinteurs en difficulté en ce début de tour, c'est a mon humble avis très jouable .
Oui et Groenewegen et Jakobsen pouraient sauter également
elway22 a écrit : 02 juil. 2023, 23:36
Il y a 2 bosses non répertoriées dans la partie française, une en sortie d'Hendaye et surtout celle après Souraide.
Oui, la croix des bouquets : 4.1 km à 3%, last 1.2km à 5.8%
Je vous trouve bien pessimistes pour les sprinteurs concernant ces bosses...y'a 50 mètres de dénivelé sur une départementale large et en parfait état. Le KOM strava de la bosse à Souraide il a été fait à 35 de moyenne sur une course Élite, c'est deux minutes d'effort, un sprinteur du world tour il craint rien.
stcyrr a écrit : 03 juil. 2023, 00:04
Je pensais + au 3e caté
100km de l'arrivée mais si Alpecin, Lidl, Lotto et UnoX s'y mettent ça peut le faire. Voire même Intermarché pour Girmay
Oui là il y a une durée d'effort significative, mais si les sprinteurs l'abordent bien placé ça va être difficile de les lâcher.
J'attends pas grand chose de l'étape niveau spectacle, je pense plutôt au déroulement traditionnel.
Iguane a écrit : 03 juil. 2023, 00:00
Je vous trouve bien pessimistes pour les sprinteurs concernant ces bosses...y'a 50 mètres de dénivelé sur une départementale large et en parfait état. Le KOM strava de la bosse à Souraide il a été fait à 35 de moyenne sur une course Élite, c'est deux minutes d'effort, un sprinteur du world tour il craint rien.
Oui, et il reste 50 bornes pour s'en remettre.
Demain c'est pour les gros cuissots.
Jakobsen pour moi, malgré Philipsen qui est évidemment le favori logique (il a sans doute passé plus facilement mes deux premières étapes).