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MeroveeG a écrit : ↑02 oct. 2023, 20:23
5min42 de retard aujourd'hui, dans l'anonymat. Groupama-FDJ ne participera pas aux autres semi-italiennes, donc il n'en reste qu'une.
Je pense qu'il est réaliste sur ses chances de l'emporter, tentera t-il une échappée, histoire de se faire plaisir et de donner encore quelques émotions à ses supporters?
Le MeroveeGien n’étant pas une langue facile, pour ceux qui comme moi on de la peine, je vous offre la traduction:
La Groupama-FDJ ne participant pas aux semi-classiques suivant les 3 Vallées Varésines, il n’en reste qu’une, celle de demain.
MeroveeG a écrit : ↑02 oct. 2023, 20:23
5min42 de retard aujourd'hui, dans l'anonymat. Groupama-FDJ ne participera pas aux autres semi-italiennes, donc il n'en reste qu'une.
Je pense qu'il est réaliste sur ses chances de l'emporter, tentera t-il une échappée, histoire de se faire plaisir et de donner encore quelques émotions à ses supporters?
Le MeroveeGien n’étant pas une langue facile, pour ceux qui comme moi on de la peine, je vous offre la traduction:
La Groupama-FDJ ne participant pas aux semi-classiques suivant les 3 Vallées Varésines, il n’en reste qu’une, celle de demain.
Tu choisis quel coureur pour après ? Tu n'aimes pas trop Gaudu, peut-être Grégoire ? à moins que tu quittes GFDJ...
Les meilleures phrases, certaines très légèrement sorties de leur contexte (sinon c'est pas drôle ), mais vraiment pas beaucoup :
Dire que ça va serait mentir.
Je suis un peu stressé quand même, plus que d'habitude.
C'est dur de trouver du plaisir.
Ça n'a pas été facile, j'aurais préféré être capable de jouer un rôle sur le Lombardie.
C'est toujours frustrant de ne pas pouvoir peser.
Mais sait-on jamais, dans une très belle journée, être là quand même... Question : Tu as peur de ne pas aller au bout ? Réponse : C'est vrai que j'y pense.
Au pied de l'avant-dernière montée, si tu lâches tu sais que tu finis, mais si tu lâches à la sortie de San Pellegrino tu sais que c'est mort.
Il y a la crainte d'un jour sans, mais j'essaye de ne pas trop y penser.
Certains viennent de très loin faire un week-end ici, pour me voir aussi. Ça rajoute de la pression.
Tu as beau mettre le cœur et les tripes, si tu n'as pas les jambes...
Cette journée est longue, hier elle était très longue déjà. Comme la nuit.
Entre le stress, le bruit, la chaleur, il y avait un bon mélange qui fait qu'on ne dort pas très bien.
Je n'avais jamais rien chopé au ventre et il faut que ça tombe trois semaines avant la fin.
J'ai tellement eu l'habitude de me battre contre tout ça que je me suis fait une raison. Concernant son après-carrière : Si je m'enferme dans ma ferme, on va vite m'oublier.
jeanfloch a écrit : ↑08 oct. 2023, 14:53
Extrait du Parisien du jour :
« Le collectif Ultras Pinot ne s’est pas trompé en choisissant cette épingle pavée surplombant la campagne toscane… »
Bon, y avait quelque chose de « pathétique » dans cette derniere course. Il savait tres bien qu’il ne pouvait pas y peser le moins du monde , et faire acte de présence n’a jamais été son truc, me semble-t-il. Fallait bien mettre le mot FIN, mais pas sûr que le faire de maniere concrete lui ait vraiment plu. C’etait gênant de voir Madiot pulvérisé par l’émotion (hyper sensible le Marco, on dirait; je ne me moque pas, suis un peu pareil) et Pinot plus ou moins incapable de répondre à l’expression de cette emotion, pudique et discret comme il est.
Bref, fallait bien le faire, mais finalement ça aurait peut-etre été mieux sur un crit’ alakon, où on aurait pu vraiment le célébrer, faire la fête, déconner, etc….
Pour ceux qui ont raté, un truc des ultras m’a fait beaucoup rire: ces cons avaient tracé sur la route à une intersection une fleche vers la bonne route marquée « Pinot » et une fleche vers le sens opposé marquée « Jumbo ».
Sinon, le Noé des Rois de la Pedale, c’etait notre Noé? Il cause bien dans le micro, le Noé.
Et pour un suiveur presque totalement blasé, il donne bien le change, l’escroc.
dolipr4ne a écrit : ↑08 oct. 2023, 21:05
Bon, y avait quelque chose de « pathétique » dans cette derniere course. Il savait tres bien qu’il ne pouvait pas y peser le moins du monde , et faire acte de présence n’a jamais été son truc, me semble-t-il. Fallait bien mettre le mot FIN, mais pas sûr que le faire de maniere concrete lui ait vraiment plu. C’etait gênant de voir Madiot pulvérisé par l’émotion (hyper sensible le Marco, on dirait; je ne me moque pas, suis un peu pareil) et Pinot plus ou moins incapable de répondre à l’expression de cette emotion, pudique et discret comme il est.
Bref, fallait bien le faire, mais finalement ça aurait peut-etre été mieux sur un crit’ alakon, où on aurait pu vraiment le célébrer, faire la fête, déconner, etc….
Pour ceux qui ont raté, un truc des ultras m’a fait beaucoup rire: ces cons avaient tracé sur la route à une intersection une fleche vers la bonne route marquée « Pinot » et une fleche vers le sens opposé marquée « Jumbo ».
Sinon, le Noé des Rois de la Pedale, c’etait notre Noé? Il cause bien dans le micro, le Noé.
Et pour un suiveur presque totalement blasé, il donne bien le change, l’escroc.
Pas vu, mais oui, c'était bien lui
Soyons magnanimes : Pour un arrêt de la pratique cycliste professionnelle en Italie
Thibaut Pinot : topic réservé aux esperts en Pinotologie
Va t-il arrêter à 33 ans , 5 mois et 9 jours, ou plutôt 34, 8 mois et 17 jours ?
Est-il plus à l'aise sur des montées de 17k à 8.9% ou des ascensions de 17.2km à 8.8%?
18.2° ou 19.7°, quelle est la température extérieure qui lui convient le mieux ?
Est-il plus à l'aise sur des efforts de 17'48" ou 16"38" ?
Doit-il débuter sa saison le 17 ou le 18 février ?
Privilégier le lait de chèvres ou le lait de vaches ?
Manger des Kinder Bueno ?
Vous avez une opinion sur ces questions ? Ce topic est fait pour vous
ps : de rien tous les fans de la FDJ qui veulent reprendre le fil normal de leurs conversations
Plus de 300 pages, pour un topic lancé sur le ton de la blague il y a 5 ans
Thibaut Pinot : topic réservé aux esperts en Pinotologie
Va t-il arrêter à 33 ans , 5 mois et 9 jours, ou plutôt 34, 8 mois et 17 jours ?
Est-il plus à l'aise sur des montées de 17k à 8.9% ou des ascensions de 17.2km à 8.8%?
18.2° ou 19.7°, quelle est la température extérieure qui lui convient le mieux ?
Est-il plus à l'aise sur des efforts de 17'48" ou 16"38" ?
Doit-il débuter sa saison le 17 ou le 18 février ?
Privilégier le lait de chèvres ou le lait de vaches ?
Manger des Kinder Bueno ?
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ps : de rien tous les fans de la FDJ qui veulent reprendre le fil normal de leurs conversations
Plus de 300 pages, pour un topic lancé sur le ton de la blague il y a 5 ans
Cette présentation est parfaite et à mon avis tout à fait représentative des débats autour de ce coureur, passionnées jusqu'à l'absurde.
Effectivement, il aurait dût s'arrêter de manière anonyme, comme sagan. Je pense qu'il s'est bien senti "pathétique" à ce moment.
Je crois que c'est du jamais vu dans le cyclisme moderne. Peut être Nibali, ou contador, mais je n'ai pas souvenir d'une pareille communion.
Ces images sont en effet tres jolies!
Je précise qu’il n’y avait rien de péjoratif dans le mot « pathétique », c’etait dans le sens décevant, bizarre, un peu gênant.
Mais tant mieux si je me plante et s’il a vraiment kiffé cette derniere sortie.
dolipr4ne a écrit : ↑08 oct. 2023, 21:05
Sinon, le Noé des Rois de la Pedale, c’etait notre Noé? Il cause bien dans le micro, le Noé.
Et pour un suiveur presque totalement blasé, il donne bien le change, l’escroc.
La grande escroquerie dans l'histoire, c'est que vu que j'ai quasiment pas vu de course de l'année, je suis venu parce qu'on m'a dit que j'allais raconter pourquoi et comment j'avais monté le Discord qui a lancé l'aventure en Lombardie. Du coup, je croyais que j'allais parler seulement de l'initiative et de pourquoi je voulais rendre un dernier hommage à Pinot.
Et au final, paf, première question et on me demande ce que j'ai pensé de la prestation de Pogacar
Je voulais dire que je ne l'aimais pas parce que j'avais de très gros soupçons sur lui et qu'il faisait partie de mon désamour pour le cyclisme, mais je me suis dit que ça allait faire mauvais genre à la télé, surtout en tout début d'interview, parce qu'ensuite ils n'oseraient plus me donner la parole (et puis mes parents et grands-parents me regardaient)
Du coup, j'ai dit qu'il devait la jouer finaude parce qu'à cause des armadas en face, il ne pouvait plus se reposer sur son talent. On ne pouvait pas faire plus désincarnée comme réponse mais au moins, je suis resté honnête.
Heureusement, après, GDG m'a demandé si Pinot ressemblait à Roglic et ça m'a permis de contrebalancer mon mensonge par omission en sous-entendant que le slovène n'était pas intéressant (j'aurais bien aimé dire que les 3/4 du peloton ne me paraissaient plus intéressants, mais je n'ai pas eu le temps ni osé)
En tout cas, c'était une chouette expérience, ils sont vraiment sympas à Eurosport (j'ai revu GDG le lendemain à Tours et il est très chouette et accessible). Et content que ça t'ait plu
"Apothéose émotionnelle", "journée de zinzin", "émotions folles"... Leurs mots ne sont pas assez forts pour raconter ce qu'ils ont vécu. Ils sont heureux, tout simplement. Cet article leur semblera certainement ridiculement tempéré, mais c'est parce que des phrases ne peuvent retranscrire le ton de leurs voix, émues et éreintées d'avoir tant crié.
Tous, ils ont le sentiment d'avoir assisté à une journée historique. "Je sais qu'il fallait que je le fasse ou j'aurais regretté toute ma vie" lâche Alain L'Vernon ("Manu" dans la vie, connu sur Twitter comme membre d'Antenne Vieux, un groupe de commentateurs parodiques du cyclisme amateurs de boissons enivrantes). A 47 ans, il avoue ne jamais s'être autant attaché à un coureur qu'à Thibaut Pinot. Il a aimé Bernard Hinault et Laurent Fignon, mais le franc-comtois "est différent, en tant que coureur et en tant qu'homme. Il transmet, dans les victoires et les défaites".
Julien (alias "Le Neum's" sur les réseaux sociaux) le rejoint : "il avait un truc un peu différent, c'était un coureur à émotions dans un vélo aseptisé". Lui a parcouru, depuis la Bretagne et avec deux autres supporters, près de 1200 kilomètres pour aller encourager son idole, en alternant la voiture, l'avion et une voiture de location. Ils n'ont dormi que quelques heures le samedi matin avant d'embarquer, direction Milan, pour une journée de folie à Bergame, mais ils ne sembleraient regretter ce périple pour rien au monde.
Il faut dire que tout avait été mis en œuvre pour que l'au-revoir des ultras à leur idole soit un moment d'anthologie. Près de 500 fans ont fait le déplacement depuis les six coins de l'Hexagone, après s'être organisés sur un groupe Discord (un réseau social). Ils avaient préparé des chants, des drapeaux, apporté des fumigènes et de la fondue savoyarde, et prévu de la bière sans modération ("Ils ont ainsi bien fait honneur à l'amour que porte "Antenne Vieux" pour Thibaut Pinot", s'amuse Alain L'Vernon).
Mais, comme lors de la victoire de Thibaut Pinot sur l'Alpe d'Huez en 2015, c'est l'inattendu qui a créé une alchimie particulière et qui aura le plus marqué les suiveurs : Alain L'Vernon se souviendra longtemps de la venue de Marc Madiot dans la Curva. "Quand il est arrivé, on l'a porté en triomphe et pris des bières ensemble. Il est resté très longtemps, plus d'une heure et demi, il se moquait de la course, il semblait heureux". "C'était incroyable : il ne pouvait sortir de sa voiture parce qu'il y avait trop de fans autour", rapporte Hugo (alias "Cactus sur un vélo" sur Twitter), 21 ans, venu de Chambéry avec Arnaud (surnommé 53x12 sur ce même réseau social), 48 ans, originaire de la Drôme. Ce dernier rejoint ses propos, lui qui a apprécié un "esprit foot" dépouillé de tout ce qui peut le rendre détestable. C'est cette ambiance bon enfant qui lui a permis de faire de nombreuses rencontres et d'approcher des gens qu'il n'aurait jamais croisés dans d'autres contextes, comme par exemple le journaliste Pierre Carrey.
La longue attente a été l'occasion également de moments d'amusement. Les supporters acclamant les amateurs qui faisaient une partie du parcours à vélo avant les coureurs, Julien a lui aussi emprunté un vélo pour fendre la foule: "je me croyais à l'Alpe d'Huez !".
Les membres ou proches de la Groupama-FDJ, présents en nombre durant la journée pour accompagner les ultras (on peut citer notamment Antoine Duchesne, Jérémy Roy ou les sœurs Madiot) ou pour entourer Pinot, ont également pu profiter du moment. Matthieu Ladagnous, coureur de l'équipe qui a pris sa retraite quelques jours plus tôt sur la Coppa Bernocchi, s'est rendu à plusieurs endroits du parcours pour aider au ravitaillement avant de rejoindre la Curva : "C'était un moment spécial, on m'a reconnu et remercié".
Et puis, il y a eu le moment que tous attendaient. Celui pour lequel ils étaient venus. Préparé par Warren Barguil et Valentin Madouas, qui se sont appliqués à chauffer la foule par de grands gestes pour prévenir de son arrivée.
Lorsque Thibaut Pinot a franchi la foule (l'expression "franchir une foule" a rarement été aussi appropriée), la Curva s'est enflammée. "C'était comme une équipe de foot qui marque à la 93e minute" raconte Julien, filant la métaphore footballistique chère au Collectif Ultras Pinot (les organisateurs de l'événement). "La foule était si dense qu'il était au ralenti dans le virage" s'amuse Hugo. Le champion affichait un sourire radieux, tapant dans les mains des ultras qui l'entouraient, faisant des clins d'œil à certains.
Même après la course, la fête était loin d'être terminée. Signe de cette ambiance joyeuse, Hugo a réussi à taper dans la main de Romain Bardet qui repartait. Les coureurs se montraient détendus.
Après la course, les fans ont rejoint leur idole près du bus de son équipe. Parce qu'il avait tant donné en émotions à son public, parce que son public lui avait tant procuré d'affection, les deux se sont longuement retrouvés. "Il est resté plus d'une heure, a chanté, fait des discours, signé des autographes, fait des photos avec tous… C'était plus que ce qu'on pouvait prévoir" explique Alain L'Vernon.
Matthieu Ladagnous confirme : "Thibaut n'est pas expansif, il est plus gêné qu'autre chose d'avoir tant de monde autour de lui mais il a bien savouré." Cycliste professionnel durant 18 ans, il a été impressionné par tant de monde et de ferveur autour de Thibaut Pinot : "Je n'ai jamais vu ça, sur aucune des autres retraites, et j'en ai vécues beaucoup".
Comment expliquer une telle popularité ? Du côté du coureur béarnais, la réponse est claire : "Avec ses résultats et ses défaillances, beaucoup peuvent s'identifier à lui. Ce n'est pas une machine à tout gagner. Il sort d'une famille de la terre, d'un petit patelin. Il est resté "nature", il a eu ses moments durs.". En effet, beaucoup peuvent s'identifier à lui. Si Arnaud s'est pris de passion pour ce coureur, c'est avant tout par l'intermédiaire de son fils qui, a 7 ans et devant la victoire de l'Alpe d'Huez, a eu un coup de cœur et a voulu faire des tours du jardin à vélo pour ressembler à son idole . Alain L'Vernon, de son côté, explique qu'il le voit comme "un mec normal, qui préfère aller s'occuper de ses chèvres et à la pêche que supporter la pression des courses, même si il ne fait pas semblant à l'entraînement.".
Et ce "mec normal" a su garder les pieds sur terre. Matthieu Ladagnous l'affirme, pour lui, ses coéquipiers n'étaient pas des "pions". "Il a apporté beaucoup à l'équipe. Il ne s'est jamais engueulé avec personne. Quand des trucs n'allaient pas, il le disait mais il n'y avait jamais d'arrière-pensée". Cela l'a logiquement poussé à donner le meilleur de lui-même : "Je me suis transcendé pour Pinot. […] De bons résultats ont été faits. J'étais présent sur le Tour de Lombardie l'année de sa victoire et je m'en souviendrai longtemps".
A ces moments intenses ayant jalonné la carrière de Thibaut Pinot s'ajoute désormais la dernière course de sa vie en tant que coureur. En tant que coureur, car son histoire avec le cyclisme n'est pas terminée, comme le pointe Alain L'Vernon : "Aujourd'hui, Pinot n'est plus coureur mais éleveur de chèvres. Mais il a promis qu'il serait encore là, à suivre les courses de l'autre côté, avec le Collectif Ultras Pinot".
C'est également le souhait de Matthieu Ladagnous : "J'espère que le groupe des supporters va continuer à soutenir l'équipe sur les courses, et même avec Thibaut parmi eux. Il y avait beaucoup de jeunes donc c'est cool, ils ont appris à aimer le vélo grâce à lui."
La dolce vita des Ultras ne semble pas prête de s'arrêter, pour leur plus grand bonheur.
Allobroges a écrit : ↑10 oct. 2023, 09:03
Merci Noé pour ton compte rendu de la Curva Pinot (bien meilleur que ton article de dépressif sur le cyclisme actuel... )
J'aurai bien aimé voir la réaction des autres coureurs (largués évidemment) en passant le virage...
Je t'en prie.
L'article étant déjà long, ça aurait fait vraiment trop pour le coup (et mon temps n'est pas extensible ). Mais ça aurait été intéressant, oui.
Ce qui est remarquable chez tous ces gens c'est d'être venu juste pour le voir, sans attente particulière.
Celui qui compare avec le but de foot à la 93eme il y a quand même la joie de gagner, la ils ont fait ce moment comme ça, juste pour fêter la dernière course. Ils sont fantastiques.
J'ai montré la photo et les vidéos à ma femme, elle s'est excusée de pas m'avoir laissé y aller
MeroveeG a écrit : ↑02 oct. 2023, 20:23
5min42 de retard aujourd'hui, dans l'anonymat. Groupama-FDJ ne participera pas aux autres semi-italiennes, donc il n'en reste qu'une.
Je pense qu'il est réaliste sur ses chances de l'emporter, tentera t-il une échappée, histoire de se faire plaisir et de donner encore quelques émotions à ses supporters?
Le MeroveeGien n’étant pas une langue facile, pour ceux qui comme moi on de la peine, je vous offre la traduction:
La Groupama-FDJ ne participant pas aux semi-classiques suivant les 3 Vallées Varésines, il n’en reste qu’une, celle de demain.
Qu'est-ce? De la moquerie? J'ai oublié un mot, "classique", ça arrive. Je ne relis pas forcément ce que j'écris.
Alors une chose, quand on se permet de reprendre la syntaxe des autres, on essaie de ne pas faire de fautes dignes du cours élémentaire!