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principe simple sur chaque GT, on prend dans l'ordre du CG les trois meilleurs nationaux et les trois meilleurs étrangers

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Il y a des périodes où les commentaires sont très rares même si le sujet est intéressant et celui que tu présente dans une forme impeccable est magnifique, j'aime bien voir les champions qui ont fait de belles performances sur les différents GT avec régularité. Ce que j'ai aimé aussi c'est la démonstration qu'avant l'époque moderne le Giro était surtout italo-italien.
Bravo pour ton idée.

runnz a écrit : 25 juin 2018, 08:08 Il y a des périodes où les commentaires sont très rares même si le sujet est intéressant et celui que tu présente dans une forme impeccable est magnifique, j'aime bien voir les champions qui ont fait de belles performances sur les différents GT avec régularité. Ce que j'ai aimé aussi c'est la démonstration qu'avant l'époque moderne le Giro était surtout italo-italien.
Bravo pour ton idée.

J'ai même pas eu l'idée d'additionner les "victoires" et les "podiums" sur les 3 GT. Bien sûr, ça ne dit rien de la vraie histoire des GT, par contre, ça met quand même en avant les spécialistes.

Super boulot et vraiment intéressant, c' est carrément un résume de l' histoire des GT en chiffre.

Quel champion jan Ullrich, 6 podiums en 7 participations et une quatrième place.

Seul le blaireau fait mieux avec 7 podium en 8 participation et un DNS avec le maillot jaune.

Dommage que LA soit passé par là, Ullrich aurait peut etre eu un autre destin, enfin on peut pas refaire l' histoire malheureusement...

En passant je suis satisfait de voir que Contador conserve ses victoires (Giro 2011 et Tour 2010).

Sa place est avec les plus dominant pour les GT. Aucun doute là-dessus.

runnz a écrit : 25 juin 2018, 20:23 En passant je suis satisfait de voir que Contador conserve ses victoires (Giro 2011 et Tour 2010).

même pas, ta passion t'as fait mal lire, j'ai appliqué avec la plus extrême rigueur la jurisprudence Cornet. Mais même avec ça, il est très bien placé dans les classements, le bougre

(bon faut dire aussi que son bilan sur les classiques est pitoyable)

L'immense Claus-Michael Moller devant l'énorme Tomas Konecny... Purée, dans l'avant-Puerto, les Espagnols n'avaient même pas besoin de saucer la poêle pour enfiler les Vueltas.