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Vos nouvelles courses et cyclosportives racontées
Publié : 18 juil. 2014, 23:42
par Alexstru
Voila, je relance le sujet après le bug du forum.
On attend avec impatience vos récits de l'étape du Tour 2014.
Boudj, ta Marmotte s'est bien passée?
Vos nouvelles courses et cyclosportives racontées
Publié : 19 juil. 2014, 09:23
par loloherrera
L'edt risque d'être épique, d'après les prévisions...bon courage aux participants
Vos nouvelles courses et cyclosportives racontées
Publié : 20 juil. 2014, 16:07
par ***Milanello***
Des podiums dernièrement dans la catégorie reine/supérieure en FSGT.
La semaine passée (le jeudi 10), 3ème sur la piste \"semi-nocturne\" de Cannes la Bocca (50 tours de 800m > sprint tous les 5), en remportant un en solo, 2 au sprint alors que nous étions un groupe de 6-7 échappés.
Ce jeudi par contre j'ai joué la carte d'un collègue pistard/sprinteur, étant un peu fatigué de toute façon.
Et aujourd'hui je termine 2ème du Critérium Culture Vélo autour de l'Allianz Riviera de Nice (33 X 1,6km = 55km), devancé par l'ancien champion du monde/France, figurant au sein d'un groupe de 7, parti dans le premier tiers (nous étions 5 en poursuite derrière 2 mecs) avec des éléments parmi les meilleurs de France, dont le tout nouveau champion FSGT du pays (depuis le 6).
D'autres résultats depuis fin juin, début juillet, mais des places de 5è sur une Pass'Cyclisme à Pégomas (ne pouvant jouer la gagne/titre de champion départemental à cause d'une chute juste devant moi) ou encore 9è sur une Ufolep à Lambesc (13) en ce 14 juillet...
Vos nouvelles courses et cyclosportives racontées
Publié : 20 juil. 2014, 22:50
par Mancebo82
Hier sur un circuit vallonné où ça a écrémé de l'arrière à chaque tour et où finalement 2 échappés vont au bout je termine 4ème, à une demi roue du 3ème à l'issue d'un sprint en bosse, aux 500 mètres la porte ne s'ouvre pas je suis obligé de déboîter dans l'herbe sur la gauche pour m'ouvrir la porte, grappillant mètre par mètre mais échouant de peu au pied du podium, dommage mais j'ai beaucoup donné sur ce circuit exigeant de presque 10kms, m'échappant d'entrée avec 2 autres hommes pendant 1 tour et sautant sur tout ce qui bouge, j'avais des fourmies dans les jambes.
Cela me rassure sur ma forme j'ai enchainé 3 courses en 7 puisque j'ai couru dimanche dernier sur un circuit aussi difficile, 5 échappés vont au bout j'arrive dans un second groupe pour la 6eme place en haut de la bosse je ne fais pas le sprint puisqu'il n'y avait plus de point a prendre et fait 11ème, mais en ayant animé la course et terminant usé avec la pluie et le vent.
Le lendemain le lundi je suis allé sur un circuit tout plat près de chez moi, j'ai senti d'entrée que j'avais pas les jambes, fatigué de la veille, déjà ça commence bien je crève a l'échauffement, adieu les roues carbones pour la course on va rouler avec les alus. 2 gars font le départ, machinalement sans réfléchir je les suis, on est rejoints par un 4ème homme, on se fera reprendre 3 kms plus loin. Derrière j'ai beaucoup de mal a récupérer de cet effort violent d'entrée, et au bout de même pas 15kms de course avec un rythme élevé j'explose, pas de force, pas de possibilité de tirer du braquet, c'est rude surtout que ma copine est là et qu'elle vient pas souvent je suis frustré mais c'est ainsi...j'attends le paquet des GS avec 2 autres gars ayant pété en même temps que moi et on terminera avec eux la course. Gros jour sans, j'ai rarement été aussi mal sur le vélo, mais logique vu la débauche d'énergie la veille et la fatigue du boulot ces dernières semaines, en plus depuis début juillet j'ai moins roulé a cause du temps.
Vos nouvelles courses et cyclosportives racontées
Publié : 21 juil. 2014, 02:12
par Alexstru
Il y a deux semaines, je participais à la Marmotte (174km, 5000m de D+ et 7000 participants). Au programme, Glandon, Télégraphe, Galibier et Alpe-d'Huez.
Les +:
- un parcours mythique.
- des cols magnifiques.
- une superbe organisation.
- les ravitos sucré/salé.
- un peloton très international.
- l'ambiance.
Les -:
- Les bagnoles dans l'Alpe-d'Huez. (des dizaines et des dizaines)
- Les bagnoles dans le Galibier (alors que le col était sensé être fermé à la circulation).
- Les très très nombreux ravitos pirates des tour-opérateur pour leur client (où est l'équité?)
Mon résumé:
Grâce à la Vaujany le week-end précédent puis à mes 6 jours de récupération/repos j'abordais la Marmotte dans des conditions idéales. Je suis arrivé sur place la veille pour aller chercher mon dossard, ce qui m'a permis de découvrir la montée de l'Alpe d'Huez pour la première fois. Impressionnant...
Le jour J, levé un peu tardif et donc arrivée un peu tardive à Bourg d'Oisans. Je suis donc très mal placé dans le sas de départ (alors que je partais déjà dans la dernière vague) et pars dans les 500 derniers. Lors des 12 kilomètres de plat qui mènent vers le pied du Glandon, je suis déjà obligé d'effectuer une grosse remontée car cela part vraiment trop tranquillement au fond de mon sas. Même si c'est très long, j'ai pas envie de musarder en chemin.
Je monte le Glandon (côté barrage du Verney) à mon rythme, sans m'exciter. Les passages difficiles du bas (9-10%) sont l'occasion de me rendre compte que je suis dans une bonne journée. Les jambes tournent bien et je continue à remonter les gens partis dans la même vague que moi. Je prends beaucoup de plaisir, d'autant que le col me convient parfaitement (il est en pallier) et que le paysage est absolument somptueux. J'ai envie d'accélérer un peu, mais me force à rester calme vu la suite du programme. Au sommet, course neutralisée jusqu'au pied de la descente vu les risques. C'est l'occasion de se ravitailler en prenant son temps. La descente vers Saint-Etienne-de-Cuines est vraiment très amusante. Vraiment dommage qu'elle soit neutralisée car comme dans la descente du Col de Sarenne la semaine avant, je suis vraiment en phase avec mon vélo et prend un pied d'enfer.
La longue transition dans la vallée de la Maurienne (22km de faux plats montants) est un enfer. J'accroche un groupe où je dois me faire violence pour rester dans les roues. Point positif, on roule vite et vu la taille du groupe, je ne dois pas rouler devant. Puis à la faveur d'un long faux plat, le groupe explose en plusieurs parties. Je fais l'effort dans le vent pour boucher un gros trou, puis un deuxième. Je serais le dernier à rentrer sur la première partie du peloton. Mais mes pulsations sont aussi rapide que dans un col. Pas la meilleure façon de s'économiser tout ça... Je vois arriver le pied du Télégraphe avec un très grand soulagement. Je déteste vraiment ces transitions.
Après 80km de course, on entame alors le Télégraphe (12km à 7,3%). Je profite du premier kilomètre pour récupérer un peu de mon effort dans la vallée. Ensuite, je prends mon rythme de croisière. C'est dur malgré tout. Je sens vraiment que la vallée m'a fait du mal. De plus, la route a été raclée sur 5 kilomètres en vue de remplacer le tarmac, ce qui est vraiment très désagréable pour un cycliste. A environ 5 kilomètres du sommet, mon pédalier commence à émettre un couinement désagréable. Un peu, puis beaucoup. Ça m'énerve et me perturbe dans mon effort. Kilomètre près kilomètre, j'arrive au sommet. Petite descente vers Valloire puis on attaque directement le Galibier et ses 18km à 7,2%. Dès la sortie de Valloire, on aborde une longue ligne droite interminable et difficile. C'est pénible et en plus, je suis dans l'incertitude avec mon vélo. Deux kilomètres plus haut, c'est le ravito. Je m'arrête à l'assistance Mavic où l'on me confirme que se sont les roulement du pédalier qui sont foutus, qu'ils ne peuvent rien faire pour moi, mais que je peux néanmoins terminer la course sans risque. C'est déjà ça. Je me ravitaille correctement avec du salé et un peu de sucré. Puis c'est reparti vers les 2645 mètres d'altitude du monstre.
C'est dur, très dur. Impossible d'aller plus vite. Tout le monde est à la limite. Je contrôle mes pulsations, mais je sens que le rendement diminue au fur et à mesure que l'on monte. Mon vélo fait de plus en plus de bruit, cela rajoute encore à la pénibilité. Mais qu'est ce que c'est beau !!! En regardant au loin, on distingue souvent la suite du col et on se dit \"non, c'est pas possible, c'est raide, on va vraiment là bas? \". C'est un peu décourageant, mais cela permet d'avoir des points de repère pour se voir avancer. Finalement, j'atteins le tunnel que nous ne pouvons bien sur pas emprunter. La dernière partie vers le sommet est vraiment très difficile. Mais ça passe. Je suis au sommet du Galibier et je l'altitude ne me rend pas malade. J'avais pourtant très peur vu mon expérience en haut de la Croix de fer il y a deux ans (j'avais été incapable de m'y ravitailler tellement je me sentais mal). Ici, aucun problème pour boire et manger. Parfait.
La descente vers le Lautaret est magnifique. Des épingles, des courbes rapides. Quel pied d'enfer ! Ces deux courses de montagne en France auront vraiment été une révélation au sujet des descentes. Une fois le col du Lautaret atteint, la route est plus large, moins technique et il faut pousser plus souvent sur les pédales. On reforme un petit groupe d'une 15aine de coureurs et l'on se relaie bien jusqu'au pied de l'Alpe d'Huez, ultime difficulté du jour. A noter les passages dans les tunnels et plus particulièrement celui de 700 mètres où je ne voyais absolument rien du tout (dans un petit groupe, à vive allure, c'est quand même un peu casse gueule, mais amusant aussi quand on est en confiance).
Au pied de l'Alpe d'Huez, grosse hésitation entre l'abandon et la montée. Je suis un peu cramé. Il fait très chaud. Mon vélo fait un bruit horrible. Et je sais que je vais rater le début du match entre la Belgique et l'Argentine si je monte. Néanmoins, après une longue discutions avec moi même (oui oui...) je choisi de monter en me disant que si j'abandonne, je serais obligé de recommencer l'année prochaine. Et franchement, à ce moment là de la course, je n'avais aucune envie de recommencer cette folie une deuxième fois dans ma vie. Bref, j'attaque le col aux 21 virages.
Le bas met tout de suite dans le vif du sujet. C'est dur, très dur. Mon vélo fait maintenant un bruit épouvantable. Tout le monde me regarde et chaque cycliste que je dépasse (ou qui me dépasse) jette un oeuil effrayé en direction de mon pédalier avec l'air de dire \"putain, c'est quoi ce cyclo de merde incapable d'entretenir son vélo\". Moi, je passe en mode survie. Je décompte chaque hectomètre (c'est long quand on commence à 140...) et chaque virage (21, c'est long aussi...). Il fait chaud, beaucoup trop chaud (plus de 30°). N'ayant pas pris la peine de m'arrêter au ravito du pied de l'Alpe, je suis finalement obligé de m'arrêter un première fois en totale surchauffe pour enlever tout ce que je pouvais encore enlever comme vêtement. Puis c'est reparti en enfer, et toujours en mode survie. Je suis obligé de m'arrêter une deuxième fois à une source pour me vider de l'eau sur la tête. Ca fait un bien fou. Je m'arrêterais encore une troisième fois au ravito d'eau pour me vider deux grandes gourdes sur la tête. Je suis vraiment victime d'une surchauffe. C'est con car je n'ai même pas mal aux jambes. La deuxième partie d'ascension se passera nettement mieux (la température diminuant) et c'est avec un grand plaisir que j'arrive à la station de l'Alpe d'Huez.
Quel bonheur d'en avoir fini !!!! C'est un très grand jour pour moi. Ma première Marmotte. Je suis très ému et vraiment fier d'avoir réussi mon deuxième objectif de l'année après le Liège-Bastogne-Liège complet.
Mais je n'ai pas le temps de profiter. Je dois descendre à fond et rouler jusqu'à ma voiture pour rater le moins possible du match des diables rouges. C'est l'occasion de constater que je ne suis pas vidé et que j'ai encore la capacité de rouler vite sur le plat malgré tous les efforts effectués.
Mon bilan:
-8h08 de temps officiel (descente glandon neutralisée)
-1942ème sur 6381 finishers et 7000 partants.
-Roulement de pédalier morts alors qu'ils étaient nouveaux (merci la météo atroce sur la Vaujany)
-Un bonheur absolu et l'envie de déjà recommencer des ascensions de cols.
-Deux pics de forme placé parfaitement le jour de mes deux objectifs de l'année.
-Un pied jamais atteint dans les descentes avec un coup de coeur absolu pour la descente du Col de Sarenne sur une route humide (et un super temps Strava)
Vos nouvelles courses et cyclosportives racontées
Publié : 21 juil. 2014, 03:07
par ***Milanello***
Cet hiver en février, j avais fait les ascensions de Vaujany puis de l' Alpe d Huez à allure cyclo, alors pour enchaîner les 3 HC, mieux vaut-il être en bonne condition ou encore résistant/endurant.
Vos nouvelles courses et cyclosportives racontées
Publié : 21 juil. 2014, 07:11
par On3
Bravo Alexstru ! Très fort comme d'hab. Et vraiment mdr pour le passage sur les cyclos qui regardent ton pédalier, j'avoue que c'est un sentiment que j'ai régulièrement quand je vois des types avec de superbes machines, roues carbones, etc. mais dont tout l'ensemble semble grincer !
Bravo M82, tu deviens vraiment un cador de ta catégorie. Je vois que tu apprecies les sprints de costauds. On va pouvoir t'appeler Gerrans. ^^
C'est \"con\" car avec toutes ces places, c'est la cat. 2 l'an prochain non ? :)
Vos nouvelles courses et cyclosportives racontées
Publié : 21 juil. 2014, 10:04
par gradouble
Beau récit Alextru, on ne s'ennuie pas en te lisant, ça donne envie de la faire cette Marmotte.
Bravo Mancebo pour toutes ces courses.
Vos nouvelles courses et cyclosportives racontées
Publié : 21 juil. 2014, 10:26
par Mancebo82
Merci les gars. ;)
Non Alex j'ai encore de la marge car tu marques que quand tu termines dans les 5 premiers, or j'ai une petite collection de 6eme place cette saison.
Là je suis content cette saison c'est que j'ai trouvé mon terrain de prédilection, les courses exigeantes, après une première saison l'an dernier d'apprentissage, certes j'apprends sur toutes les courses mais petit à petit l'expérience vient, le placement ect...
L'an prochain sera plus prolifique encore je l'espère.
Mais vu que les 1ère et 2ème cat partent ensemble assez régulièrement car peloton pas assez consistant dans ces 2 catégories, je dois avouer qu'il ne me tarde pas pour le moment de monter mais plutôt de rester avec les potes en 3.
Affaire à suivre...
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Publié : 21 juil. 2014, 10:37
par _Socrates_
Chapeau Alex! Tu donnes envie
Vos nouvelles courses et cyclosportives racontées
Publié : 21 juil. 2014, 12:39
par Mancebo82
Encore bravo Alex pour la Marmotte, perso l'an dernier j'ai fait la Mi-Marmotte l'an dernier (76 kms pour 2200 de D+), on part de Valloire on fait Galibier + l'Alpe donc, et à partir de Valloire ton récit est très juste,l'an dernier dans l'Alpe il faisait 35° en plus c'était vraiment affreux.
Quand je vois comment j'en avais chié sur la Mi-Marmotte, j'imagine ce que ça doit être sur la grand parcours, ça me paraît juste impossible personnellement !
Quand aux ravitos sauvages difficile de dire quelque chose, des cycliste hollandais ou italiens pour la plupart payent des tour-operator pour bénéficier de ces prestations là il n'y a rien de mal dans l'absolu, c'est comme si ta femme te suivait en voiture et te ravitaillait tout au long de la course, sauf que là c'est à plus grand echelle. ;)
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Publié : 21 juil. 2014, 13:18
par Allobroges
je suis inquiet à propos de notre leader guigui qui me semble t il était bien placé à un intermédiaire de l'EDT et que je trouve pas dans le classement final... :dry:
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Publié : 21 juil. 2014, 13:58
par Alexstru
Mancebo82 a écrit :
Quand aux ravitos sauvages difficile de dire quelque chose, des cycliste hollandais ou italiens pour la plupart payent des tour-operator pour bénéficier de ces prestations là il n'y a rien de mal dans l'absolu, c'est comme si ta femme te suivait en voiture et te ravitaillait tout au long de la course, sauf que là c'est à plus grand echelle.
En fait, dans l'absolu, je m'en fou clairement.
Je m'interroge juste sur l'équité sachant qu'il s'agit d'une cyclosportive chronométrée où tout le monde ne bénéficie pas des mêmes conditions.
Sinon, dans le règlement, il est spécifié qu'il est interdit d'avoir une voiture suiveuse et donc que normalement, ma femme ne peut me suivre en voiture. Dans les faits, il y a bien quelques voitures suiveuses qui sont bien casse couille dans les cols puisque lorsqu'elles suivent un type qui roule plus ou moins avec toi, elle te dépasse 10 fois sur le col.
Vos nouvelles courses et cyclosportives racontées
Publié : 21 juil. 2014, 23:27
par On3
_Allobroges a écrit :je suis inquiet à propos de notre leader guigui qui me semble t il était bien placé à un intermédiaire de l'EDT et que je trouve pas dans le classement final... :dry:
Selon Strava, il a mis la flèche au pied d'Hautacam (également emplacement du village arrivée), comme une grande partie des abandons.
Vos nouvelles courses et cyclosportives racontées
Publié : 21 juil. 2014, 23:30
par On3
Alex.stru a écrit :Mancebo82 a écrit :
Quand aux ravitos sauvages difficile de dire quelque chose, des cycliste hollandais ou italiens pour la plupart payent des tour-operator pour bénéficier de ces prestations là il n'y a rien de mal dans l'absolu, c'est comme si ta femme te suivait en voiture et te ravitaillait tout au long de la course, sauf que là c'est à plus grand echelle.
En fait, dans l'absolu, je m'en fou clairement.
Je m'interroge juste sur l'équité sachant qu'il s'agit d'une cyclosportive chronométrée où tout le monde ne bénéficie pas des mêmes conditions.
Sinon, dans le règlement, il est spécifié qu'il est interdit d'avoir une voiture suiveuse et donc que normalement, ma femme ne peut me suivre en voiture. Dans les faits, il y a bien quelques voitures suiveuses qui sont bien casse couille dans les cols puisque lorsqu'elles suivent un type qui roule plus ou moins avec toi, elle te dépasse 10 fois sur le col.
Idem sur l'EDT, si on excepte les voitures suiveuses. Dans l'absolu je m'en fous, mais putain j'aurais aimé être à la place de ces types qui avaient des vêtements secs à des points stratégiques ...
Enfin, juste avant le Tourmalet c'était pas stratégique pour le coup, et pourtant j'en ai vu. :cheer: :cheer: :cheer:
Pour les voitures suiveuses, c'est abusé par contre. C'est trop dur de faire 3 ou 4 bornes, d'attendre sur le bas côté pour filer les bidons si nécessaire et basta ? C'est ce que la voiture du club à fait dans le Ventoux, et c'était bien suffisant.
Vos nouvelles courses et cyclosportives racontées
Publié : 22 juil. 2014, 20:52
par On3
J'apprends, à regret, que la Jacques Anquetil (cyclo dans la Vallée de Chevreuse, chère au grand Jacques) n'aura pas lieu cette année. La faute aux travaux dans Rambouillet qui ne seront pas réalisés en temps et en heure.
Dommage, je brûlais d'envie de finir ma saison sur une telle cyclo.
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Publié : 24 juil. 2014, 13:18
par kentinmania_
Une question.
Dans le résumé de la Marotte, j'ai lu que la descente était neutralisé. Qu'est-ce que ça signifie concrètement?
Je vois pas comment on peut neutraliser la course d'autant de coureurs qui se trouvent probablement éparpillés en petits groupes
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Publié : 24 juil. 2014, 13:39
par Mancebo82
kentinmania_ a écrit :Une question.
Dans le résumé de la Marotte, j'ai lu que la descente était neutralisé. Qu'est-ce que ça signifie concrètement?
Je vois pas comment on peut neutraliser la course d'autant de coureurs qui se trouvent probablement éparpillés en petits groupes
C'est la descente du Glandon qui est neutralisée seulement si je dis pas de bêtises.
Bah avec le transpondeur tu passes sur un tapis au sommet du Glandon ils prennent ton temps et ils le redémarrent quand tu passes sur un autre tapis en bas de la descente.
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Publié : 24 juil. 2014, 13:43
par kentinmania_
Mancebo82 a écrit :kentinmania_ a écrit :Une question.
Dans le résumé de la Marotte, j'ai lu que la descente était neutralisé. Qu'est-ce que ça signifie concrètement?
Je vois pas comment on peut neutraliser la course d'autant de coureurs qui se trouvent probablement éparpillés en petits groupes
C'est la descente du Glandon qui est neutralisée seulement si je dis pas de bêtises.
Bah avec le transpondeur tu passes sur un tapis au sommet du Glandon ils prennent ton temps et ils le redémarrent quand tu passes sur un autre tapis en bas de la descente.
Le classement au temps est donc différent de celui "sur la route". C'est un peu bizarre même si je suppose que les groupes restent plus ou moins ensemble.
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Publié : 24 juil. 2014, 13:47
par Mancebo82
kentinmania_ a écrit :Mancebo82 a écrit :kentinmania_ a écrit :Une question.
Dans le résumé de la Marotte, j'ai lu que la descente était neutralisé. Qu'est-ce que ça signifie concrètement?
Je vois pas comment on peut neutraliser la course d'autant de coureurs qui se trouvent probablement éparpillés en petits groupes
C'est la descente du Glandon qui est neutralisée seulement si je dis pas de bêtises.
Bah avec le transpondeur tu passes sur un tapis au sommet du Glandon ils prennent ton temps et ils le redémarrent quand tu passes sur un autre tapis en bas de la descente.
Le classement au temps est donc différent de celui "sur la route". C'est un peu bizarre même si je suppose que les groupes restent plus ou moins ensemble.
Sur toutes les cyclos c'est comme ça tu peux arriver en 50eme position à l'arrivée mais faire le 30eme temps, ça dépend de quand tu pars et que tu passes sur le tapis au départ et aux différents points donc, d'où le fait que sur les grosses cyclos ils fonctionnent par différents sas avec des départs échelonnés.