Ineos a été bien embêté par les chutes de ses leaders cette année. S’ils ont moins la guigne, le train risque de nous rappeler rapidement à notre « bon » souvenir. Certes, on aura la Jumbo desormais en seconde mega-armada.Quef a écrit : 01 sept. 2019, 11:15L’absence d’équipe apte à maîtriser seule la course s’est aussi vue sur le Giro et le Tour. On en avait eu les prémices l’an passé, cela se confirme. Je crois qu’on peut d’ailleurs étendre cela à toute la saison WT, qui est plus intéressante cette année.gradouble a écrit : 01 sept. 2019, 09:17 C'est quand même bien sympathique à regarder la Vuelta.
Aucune équipe ne peut vraiment tout contrôler, on a l'impression que tout est plus ou moins possible.
La course manque un peu de prestige mais elle est très agréable, elle me fait penser un peu aux TdF des années 80. Niveau moyen plus faible, moins de pression, des leaders peu nombreux et vite isolés, des étapes très ouvertes.
En tout cas, je rejoins gradouble sur le plaisir toujours renouvelé de suivre la Vuelta. C’est clairement pas le standing du Tour, mais les tracés offrent presque toujours un petit suspense à se mettre sous la dent. Et puis, il y a toujours des ecarts dans leurs murs de dingue.
