Forum cyclisme de Velo-Club du Net

_AlbatorConterdo a écrit :

brunobasto a écrit :

_Ginobartali a écrit :et après Festina, les seuls ayatollahs de l'antidopage (Bassons, Moncoutié). Depuis que je croyais le peloton un peu plus propre (et Moncoutié retraité), b].

un peu pareil, dans la même [i:1q9acxgy]thématique[/i:1q9acxgy], j'aimais bien Delion

Ah oui, je l'aimais bien lui aussi, un des premiers à se plaindre ouvertement de ne plus "lutter à armes égales" il me semble, non ? Pendant un TdF, il donnait l'impression d'être perdu, le pauvre...j'ai eu un peu mal à mon sport le jour là...

Booze a écrit :Coureur préféré : Pedro Delgado

Coureur détesté : Pedro Delgado

Pedro Delgado, le Janus de mon univers cycliste.....une idole dont j'ai découvert par la suite les nombreux méfaits.....le modèle d'un petit garçon breton pédalant sans relâche et le responsable de ses premières désillusions cyclistes.

Pedro Delgado, le rêve et la trahison. La vie, en somme.

gradouble a écrit :Actuellement j'aime bien Pinot; il faut juste qu'il s'affirme un peu plus niveau caractère, et aussi Bouhanni et Démare, 2 coureurs de déjà grande classe malgré leur âge; ça promet beaucoup.
Chez les étrangers : Kwiat, Dan Martin, Van Avermaet, de vrais attaquants un peu à l'ancienne.

Chez les retraités : Mes 2 préférés de tous les temps Criquélion et Jeff Bernard, des durs au mal, un peu taciturnes qui ne la ramènent pas.
J'aimais beaucoup aussi étant gosse Delgado, Lemond et Kelly.


Sinon je n'aime pas Rui Costa et sa face de murène, Horner le joker, Evans (style horrible, mec qui semble détestable) et Péraud (l'Evans français, type bizarre, perso, précieux, moche sur le vélo).
J'ai beaucoup détesté Voeckler sur un vélo, car en dehors il semble plus vivable. D'ailleurs je le vois bien commentateur sportif, il aurai une bonne analyse, une bonne élocution.
Un peu comme Virenque que je n'aimais pas du tout en tant que coureur (fanfaron, merdeux, soi-disant "chouchou") et que j'apprécie beaucoup plus maintenant (déconneur, marrant à écouter).

sinon j'ai détesté Rominger, Ugrumov, Riis, toutes ces pharmacies ambulantes devenues cabri en montagne les 30 ans passés. Ils sont associés à mes pires souvenirs de vélo.
Parce que quand la génération de mon enfance des Lemond, Fignon, Delgado, Indurain, Bugno, Chiappucci se fait surpasser par des plus jeunes ça passe; mais par des plus vieux, pas sympas et chauves en plus ; non merci.

Edith pour [b:3hrc7o1y]Moncoutié[/b:3hrc7o1y] que j'aime bien, j'ai vraiment vibré lors de ses victoires d'étape en plein règne de la pègre texane. J'aime son côté "je fais du vélo pour le plaisir, regarder les paysages, pour l'effort, pas pour risquer sa vie, fanfaronner et se charger à mort"; bref un mec qui aime vraiment le cyclisme.

Comme [b:3hrc7o1y]Casar[/b:3hrc7o1y] d'ailleurs qui est pour moi un des cyclistes le plus exemplaire qu'il n'y ai jamais eu. Exemplaire, car véritablement un exemple pour les plus jeunes : travailleur infatigable, dur au mal, sérieux, ne se plaignant jamais, ne se la pétant jamais, modeste, humble, droit, discret.
D'ailleurs il continue de rouler; il a même repris une licence amateur pour faire des cyclocross. Il y va comme n'importe quel petit amateur avec sa bagnole et reste toujours super modeste et respectueux de ses adversaires.
Voilà des gars qui aime le vélo pour le vélo, l'effort, le plaisir

gradouble a écrit :Evans (style horrible, mec qui semble détestable)

Hibou-Venimeux-Asexué-Glauque a écrit :Coureur préféré: [b:3ppdt622]JC Péraud[/b:3ppdt622] l'envoyeur de rêve christique.
Cavendish et ses SSR j'aime bien, bizarrement. Cancellara sur son vélo (moins en parrain du peloton). Alexandre Pliuschin, le mec qui roule à l'eau claire. Nibali, Sagan, Contador, Kwiatkowski, Dan Martin...

Coureur détesté: Le Milanais Jérôme FC Nantes Pineau.
D'autres que je n'aime pas des masses: JRB et l'équipe Europcar dans son discours. Marc Madiot parfois attachant mais souvent peu aimable. La * Kazakhstanaise (Vino et Kash notamment). Rui Costa.


Chez les anciens j'aimais bien Erik Dekker, Jens Voigt pré-Tonton Riis, Laurent Madouas (ici c'est Brest hein ), [b:3ppdt622]Marcel Wüst (qui parlait mieux français que 95% du peloton tricolore[/b:3ppdt622]), Jack Durand, [b:3ppdt622]Andy Hampsten[/b:3ppdt622], Andrea Tafi (surtout après PR96), Frédéric Guesdon bien sûr, Jaan Kirsipuu, Alturas Kasputis, Johan Museeuw aussi... Des types à la trajectoire originale comme Ludo Dierckxsens m'étaient plutôt sympathiques. Les mecs reconnus comme propres par le milieu comme [b:3ppdt622]Moncoutié, Bassons,[/b:3ppdt622] Santi Blanco, [b:3ppdt622]Janek Tombak[/b:3ppdt622] de même. Les anti-LA comme [b:3ppdt622]Simeoni [/b:3ppdt622]et LeMond. J'aimais bien Bruno Roussel, les Simon... J'ai toujours trouvé Hincapie très sympa, aux antipodes de son ex-BFF....

Je n'ai jamais été fan des donneurs de leçons type David Millar ou de tous ces mecs qui se défoulaient contre Bassons ([b:3ppdt622]Chanteur, Lino[/b:3ppdt622], Da Cruz, les Nazon). Virenque et les ex-Festina, vraiment bof bof aussi... Vasseur de même. Et que dire de la [b:3ppdt622]mafia USPDSC qu'on ne présente plus, dont Monocouille[/b:3ppdt622]...

Mel* a écrit :Contrairement à plusieurs d’entre vous qui ont mis Voeckler parmi leurs coureurs les moins aimés, Voeckler fait partie pour moi des coureurs que j’apprécie particulièrement. Tout simplement parce qu’il représente ce que j’aime dans le cyclisme.

-Déjà, il court toute l’année de février à octobre. Il aime et respecte toutes les courses, joue aussi bien dans les classiques (ardennaises, flandriennes…) que dans les Grands Tours.

-l’attaque, le panache : un attaquant qui joue aussi bien les échappés, que les attaques à 100 bornes de l’arrivée ou dans le dernier kilomètre.

-la gagne et rien que la gagne : Un de ces rares coureurs à ne jamais se satisfaire d’une 2ème place, à ne jamais jouer la place, le top quelque-chose dans une course. Prendre le risque de tout perdre pour gagner.

-un coureur à l’instinct : contre les oreillettes, les capteurs de puissance ou autre outil technologique, Voeckler court selon les sensations du moment, les jambes et les circonstances de course. Ce qui est en fait un coureur imprévisible et rend les courses intéressantes.

-sens tactique, science de la course, mental, bluff, erreur, faiblesse : pas de directeurs sportifs pour dicter sa conduite. Il fait des choix, prend des décisions, les assume … ce qui ne l’empêche pas de se planter parfois. Un peu un coureur à l'ancienne quoi!

-ses valeurs : le fait qu’il soit fidèle à une équipe, qu’il soit resté avec Bernaudeau, qu’il parle de l’équipe comme d’une famille, son rôle de capitaine de route. J’ai particulièrement aimé ce qu’il a fait en 2010 : des coureurs qui refusent de l’argent pour sauver une équipe dans le monde sportif / professionnel c’est assez rare. Et il est toujours très respectueux de ses coéquipiers, a toujours un mot pour eux et sait les remercier.

Fusagasuga2 a écrit :

gradouble a écrit :Evans (style horrible, mec qui semble détestable)

Qu'est ce qui te fait dire qu'Evan semble détestable? Je n'ai jamais eu ce sentiment, au contraire, mais j'ai peut être raté quelques épisodes.

gradouble a écrit :

Fusagasuga2 a écrit :

gradouble a écrit :Evans (style horrible, mec qui semble détestable)

Qu'est ce qui te fait dire qu'Evan semble détestable? Je n'ai jamais eu ce sentiment, au contraire, mais j'ai peut être raté quelques épisodes.

Tout ça est totalement subjectif. D'ailleurs je mets "il semble" et pas "il est". Toujours est-il que j'aime pas sa gueule. Il a l'air d'avoir une haute opinion de lui-même. Je le trouve pleurnichard et parfois il a eu des accès qui l'ont fait ressembler à une petite mamie en colère. Je me trompe sûrement mais c'est comme ça.
Bien content qu'il prenne sa retraite.

Mel* a écrit :Contrairement à plusieurs d’entre vous qui ont mis Voeckler parmi leurs coureurs les moins aimés, Voeckler fait partie pour moi des coureurs que j’apprécie particulièrement. Tout simplement parce qu’il représente ce que j’aime dans le cyclisme.

-Déjà, il court toute l’année de février à octobre. Il aime et respecte toutes les courses, joue aussi bien dans les classiques (ardennaises, flandriennes…) que dans les Grands Tours.

-l’attaque, le panache : un attaquant qui joue aussi bien les échappés, que les attaques à 100 bornes de l’arrivée ou dans le dernier kilomètre.

-la gagne et rien que la gagne : Un de ces rares coureurs à ne jamais se satisfaire d’une 2ème place, à ne jamais jouer la place, le top quelque-chose dans une course. Prendre le risque de tout perdre pour gagner.

-un coureur à l’instinct : contre les oreillettes, les capteurs de puissance ou autre outil technologique, Voeckler court selon les sensations du moment, les jambes et les circonstances de course. Ce qui est en fait un coureur imprévisible et rend les courses intéressantes.

-sens tactique, science de la course, mental, bluff, erreur, faiblesse : pas de directeurs sportifs pour dicter sa conduite. Il fait des choix, prend des décisions, les assume … ce qui ne l’empêche pas de se planter parfois. Un peu un coureur à l'ancienne quoi!

-ses valeurs : le fait qu’il soit fidèle à une équipe, qu’il soit resté avec Bernaudeau, qu’il parle de l’équipe comme d’une famille, son rôle de capitaine de route. J’ai particulièrement aimé ce qu’il a fait en 2010 : des coureurs qui refusent de l’argent pour sauver une équipe dans le monde sportif / professionnel c’est assez rare. Et il est toujours très respectueux de ses coéquipiers, a toujours un mot pour eux et sait les remercier.

Mel* a écrit :Contrairement à plusieurs d’entre vous qui ont mis Voeckler parmi leurs coureurs les moins aimés, Voeckler fait partie pour moi des coureurs que j’apprécie particulièrement. Tout simplement parce qu’il représente ce que j’aime dans le cyclisme.

-Déjà, il court toute l’année de février à octobre. Il aime et respecte toutes les courses, joue aussi bien dans les classiques (ardennaises, flandriennes…) que dans les Grands Tours.

-l’attaque, le panache : un attaquant qui joue aussi bien les échappés, que les attaques à 100 bornes de l’arrivée ou dans le dernier kilomètre.

-la gagne et rien que la gagne : Un de ces rares coureurs à ne jamais se satisfaire d’une 2ème place, à ne jamais jouer la place, le top quelque-chose dans une course. Prendre le risque de tout perdre pour gagner.

-un coureur à l’instinct : contre les oreillettes, les capteurs de puissance ou autre outil technologique, Voeckler court selon les sensations du moment, les jambes et les circonstances de course. Ce qui est en fait un coureur imprévisible et rend les courses intéressantes.

-sens tactique, science de la course, mental, bluff, erreur, faiblesse : pas de directeurs sportifs pour dicter sa conduite. Il fait des choix, prend des décisions, les assume … ce qui ne l’empêche pas de se planter parfois. Un peu un coureur à l'ancienne quoi!

-ses valeurs : le fait qu’il soit fidèle à une équipe, qu’il soit resté avec Bernaudeau, qu’il parle de l’équipe comme d’une famille, son rôle de capitaine de route. J’ai particulièrement aimé ce qu’il a fait en 2010 : des coureurs qui refusent de l’argent pour sauver une équipe dans le monde sportif / professionnel c’est assez rare. Et il est toujours très respectueux de ses coéquipiers, a toujours un mot pour eux et sait les remercier.