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AlbatorConterdo a écrit : 30 mai 2020, 14:09 Evans n'aurait pas gagné le TdF 2011 s'il était posé le même genre de question.
Si tu veux gagner, faut pas avoir peur de perdre.

Les deux situations sont quand même difficilement comparables. Je pense que Dumoulin aurait préféré se retrouver dans le haut du Lautaret à devoir faire l'effort avec des mecs dans la roue plutôt qu'au pied de Sestrières avec encore 60 bornes à faire. Dans ce genre de configuration, tu te livres plus facilement dans une montée finale proche de l'arrivée. En tout cas, tu as moins peur de te faire contrer

Lieuwe Westra à l'attaque à plus de 100 bornes de l'arrivée en ce moment sur la chaîne l'équipe

Je vois vbien Contador secouer le peloton dans Chevère !

Magnifique mise en abyme : Christophe Riblon commentant une course dans laquelle un des échappés est... Christophe Riblon.

Tremiti a écrit : 30 mai 2020, 15:42 Magnifique mise en abyme : Christophe Riblon commentant une course dans laquelle un des échappés est... Christophe Riblon.

C'est fort les oreillettes quand même...

Machado abandonne puis repart...

Oh putain Contador ai tombé... Il a morflé... Mais c'est pas vrai, quelle malédiction.

Bordel... J'y étais. Après le sommet du Platzerwasel. 5 minutes interminables à attendre un maillot Saxo après le passage du peloton maillot jaune. Et la rumeur qui monte autour de nous "Il est tombé !... " "Il a abandonné !..." "Il va abandonner... !"

En plus il était fort cette année... C'est dommage, le duel avec Nibali aurait été beau.

Ses gars quand même... Il doit avoir mal de partout et il roule quand même.

J'ai encore du mal a voir ça 6 ans après...

La blessure dans nos cœurs ne se refermera sans doute jamais totalement.

Quand même Kwiat c'était un sacré beau coureur avant de devenir équipier du train noir... Cette tentative était bien sympa !

biquet a écrit : 30 mai 2020, 11:09

Tremiti a écrit : 30 mai 2020, 10:49 Froome était ultra costaud, Reichenbach un fer-à-repasser, les deux sud-américains se reniflaient le cuissard, Dumoulin un peu court aussi, théorème du type seul contre un paquet de types qui ne se livrent pas à fond derrière aussi.
A part en roulant à fond dans la "vallée" vers Sestrières, jamais ils n'auraient pu revenir.

Na pas diminuer la perf de Froome cependant : après Landis, ce qui s'est fait de mieux en terme de panache

Juste aprés la course, Georges Bennett avait d'ailleurs eu l'audace (ou plutôt la lucidité ) d'établir un parallèle entre ces 2 "exploits", mais il a du vite faire amende honorable, loi du milieu oblige. Mais bon, y en a un qui s'est fait prendre, pas l'autre. Pas vu, pas pris.

Derrière Landis, y'avait quand même une organisation, T-Mobile, CSC et Caisse d'Epargne qui roulent, ils étaient autrement plus nombreux.

Tout s'est parfaitement goupillé pour Froome du début à la fin.
Les Mitchelton ont complètement disparu sur l'explosion de Yates, y'aurait sûrement fallu que Pozzovivo alors 3ème au général et devant Froome soit dans le bon groupe au lieu d'un des deux Sud Américains, il aurait sûrement collaboré. A la limite laisser Froome passer au sommet du Finestre avec beaucoup d'avance mais être plus nombreux par la suite pour la poursuite. Ils ont tous pris le pari de suivre le rythme infernal.
Yates et Pozzovivo éliminés de loin, le trio Pinot/Carapaz/Lopez se battait pour le podium et n'en avait pas grand chose à faire de Froome qui les devançait déjà au général. Seul Dumoulin jouait véritablement la victoire. C'était quasiment du un contre un.

Purito avait encore 1’15’’ à 3km du sommet

Thomas lâché...

Attaque de Nibali !

Thomas lâché...

Attaque de Nibali !

Trinite a écrit : 30 mai 2020, 18:22 Seul Dumoulin jouait véritablement la victoire. C'était quasiment du un contre un.

Pire que ça, Dumoulin ne voulant pas faire tout le boulot pour les autres, il y a eu du flottement, des à coups, au plus grand bénéfice de Froome qui restait régulier.
L'anglais à fait impression dans le Finestre, mais il a aussi eu la chance que les leaders ne s'entendent pas derrière, et qu'ils attendent un fer à repasser dans la descente, où ils ont perdu l'essentiel du temps final.

Geraint Thomas décramponné

Qu’est-ce qu’il était fort sur ce Tour Intouchable !

Là dessus, c'est Valverde dans sa roue, pas Perraud ou Pinot, c'est dommage car Pinot avait fait un gros retour après l'attaque du requin.

Rodriguez est rattrapé à la flamme rouge, avalé par le requin de Messine