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luckywinner a écrit : 14 sept. 2020, 13:58

Nopik a écrit : 14 sept. 2020, 11:06 Qué sappellorio l'étape inutile

Je préfère largement ce tracé à celui de dimanche.
Beaucoup plus de dénivelé, départ casse patte qui va mettre en plus de l'enjeu au maillot vert, et permettre de faire une échappée de grimpeur.

Et une Jumbo qui pourrait se mettre dans le dur pour filtrer l'échappée comme sur l'étape de Laruns.

Le final est certe moyennement difficile mais si Gesink et WVA ont du tapper dedans dans Porte, ben ça laissera des ouvertures aux leaders, sachant que c'est une étape courte et donc moins de temps mort sur la journée.

Après les coureurs font la course, mais demain le scénario est tout sauf écrit d'avance.

À noter que les , organisateurs auraient pu ajouter le col de chamrousse sans trop de soucis s ils l avaient voulu. On passera demain au pied de la montée de chamrousse et aussi en bas de sa descente !

En effet, on arrive à Saint Martin d uriage et sur 2 km on emprunte le bas de le descennte du col chamrousse jusqu à uriage les bains.

À Saint Martin d uriage si on bifurque à gauche au lieu de descendre vers uriage, on entamé directement le col chamrousse 18 km à 6%.

On arrive au pied de la montée de chamrousse sans l emprunter, mais aussi au pied de la descente qq kilomètre plus tard à vaulnaeys le haut.

C aurait rajouté 40 km à l étape ! Bon pas nécessaire sans doute, mais à l avenir il y a de beaux parcours à faire pour aso sur la région de Grenoble

après sa déconvenue de dimanche, bernal a le couteau entre les dents et veut prendre sa revanche, ou du moins peser sur la course :
"Je vais essayer de récupérer et d'aider mes coéquipiers en remontant des bidons, en faisant des choses que je n'ai jamais faites. Je veux aussi apprécier la course, prendre du plaisir. J'essayerai peut-être également de me glisser dans des échappées si mon dos est moins douloureux", conclut le coureur de Zipaquira

ou pas

on voit aussi qu'il souffre encore de sa blessure psychologique du dauphiné (mal de dos)

attention car on a un colombien qui se dit très ambitieux pour le coup, extrait : "Je fais ce que je peux, je fais des choses au jour le jour et je me sens très ambitieux", affirme-t-il.






la mauvaise nouvelle c'est que c'est une décla d'uran

Bradounet_ a écrit : 14 sept. 2020, 23:12 J'ai vécu toute une partie de mon enfance à 650 km de là donc je sais de quoi je parle. C'étaient mes routes d'entrainement.

Nous avons maurice Garin sur le forum oO

Landa et MAL ont de grosses équipes pour faire des coups tactiques .
et les deux adorent les longs col..
s'il ne tente pas des coups Trafalgar là c'est qu'il la joue trop petit . (quand sait la gestion toujours catastrophique chez la Jumbo des moments délicats ces derniers années )
bon en même temps les deux gars n'ont jamais fait de podium sur le TDF donc faudra pas trop attendre d'eux pour une course de mouvement .

fred30 a écrit : 14 sept. 2020, 22:33

khannooniensingh a écrit : 14 sept. 2020, 17:48 C'est quand même la seule arrivée dans l'histoire du Tour où Ullrich a essayé de surprendre Armstrong en partant de loin même si il a perdu quelques secondes sur le Texan. Pourquoi pas des attaques de mecs qui sont pas trop loin ?

Ullrich, sa seule attaque de loin, c'est le Tourmalet 2003 dans l'étape qui arrive à Luz-Ardiden.
Celle dont tu parles, je ne m'en rappelle pas. Ca devait être un tour où il fait 3 ou 4, c'est ça ? 2005 ?

J'ai décroché un peu dans ces années-là. De manière générale, l'ère Armstrong c'était affreux. Les seuls tours qui m'ont intéressé, c'était 2003 et un peu 1999.

C'est la première étapes des Alpes en 2004, Ullrich fait 4 de ce Tour. Pendant cette étape, il part dans un com situé à plus de 50 km de l'arrivée mais se fait reprendre 30 km plus tard après avoir pris une minute il me semble. Pour être complet, a part le Tourmalet et cette étape de 2004, tu dois aussi ajouter l'étape de St Lary Soulan en 2001

Aujourd'hui, pas de gros écarts à prévoir normalement. Si le favoris se jouent la victoire, je mets un billet sur Valverde qui semble monter en régime.

Celui qui n'a rien à perdre, c'est MAL.
Il sait qu'il est foutu sur le dernier contre-la-montre et perdra automatiquement du temps sur les trois qui sont devant lui (Roglic, Pogi et Uran). Il a trois jours pour tout faire péter et semble être de mieux en mieux chaque jour. Il a une équipe costaude avec Tejada, Sanchez, Gorka, Lutsenko ou encore Fraile, tu en balances deux dans l'échappée, tu te barres dans la Moucherotte, Sanchez et Lutsenko à bloc sur le plateau jusqu'au pied de Villars et il termine le travail.
J'ai pas pris en compte le fait qu'ils seront encore 8 chez Jumbo en haut du col

Je pense qu'aucun gros favori tentera quelque chose. Hormis Pogacar et Yates, les coureurs les mieux classés au général n'attaquent pas.
J'ai entendu parler de Fuente De mais faut pas comparer la Katusha et la Jumbo. Même le Bahreïn avec Caruso et Bilbao n'ont pas assez de force de frappe pour faire dérailler la jumbo.
Astana j'en parle même pas. Ils ont une équipe assez homogène finalement mais je vois mal Izagirre, fraile et Lutsenko faire mal à Dumoulin et Kuss. De toute façon y a pas de mystère, un grand tour est chiant lorsque le coureur le plus fort de l'épreuve est leader ET possède la meilleure équipe.
Si ça avait été Pogacar le leader à ce moment là de la course, nulle doute que l'étape aurait été un feu d'artifice

trevorphilips a écrit : 15 sept. 2020, 01:46 Après sa déconvenue de dimanche, bernal a le couteau entre les dents et veut prendre sa revanche, ou du moins peser sur la course :
"Je vais essayer de récupérer et d'aider mes coéquipiers en remontant des bidons, en faisant des choses que je n'ai jamais faites. Je veux aussi apprécier la course, prendre du plaisir. J'essayerai peut-être également de me glisser dans des échappées si mon dos est moins douloureux", conclut le coureur de Zipaquira

ou pas

on voit aussi qu'il souffre encore de sa blessure psychologique du dauphiné (mal de dos)

Je te rappelle, que pour lui, il s'agit plutôt d'une blessure de management.

Dumoulox a écrit : 15 sept. 2020, 08:08 Celui qui n'a rien à perdre, c'est MAL.
Il sait qu'il est foutu sur le dernier contre-la-montre et perdra automatiquement du temps sur les trois qui sont devant lui (Roglic, Pogi et Uran). Il a trois jours pour tout faire péter et semble être de mieux en mieux chaque jour. Il a une équipe costaude avec Tejada, Sanchez, Gorka, Lutsenko ou encore Fraile, tu en balances deux dans l'échappée, tu te barres dans la Moucherotte, Sanchez et Lutsenko à bloc sur le plateau jusqu'au pied de Villars et il termine le travail.
J'ai pas pris en compte le fait qu'ils seront encore 8 chez Jumbo en haut du col

pfff, comment peut on encore se faire berner aussi naivement???

Bah nan, ils seront pas 8 mais bien 12 avec les EF voire 16 avec les Mitch et et Trek...

Momo, épicier

Il y a un risque d'averses sur les sommets durant l'après-midi, possiblement quelques surprises dans les descentes...

A part ça probablement une échappée fournie qui ira au bout meme si ça risque de batailler pour le vert en début d'étape

Concernant Bernal, je pense tout simplement qu'il est moins fort que Roglic et Pogacar, excepté sans doute en trés haute altitude. On dit qu'il a foiré sa préparation, lui avance que ses chiffres de puissance sont meilleurs que jamais, ou se situe la vérité ?

Avant le départ de ce Tour, je ne voyais qu'une seule étape favorable à Bernal dans son éventuelle confrontation avec Roglic: celle de La Loze. Point. Pour le reste, franchement, y a quelqu'un qui l'imaginait dominer Roglic sur des cols comme La Luzette, le Puy Mary, le Peyresourde, le Marie Blanque ou le Grand Colombier, sans parler du chrono de La Planche ?

Le Tour 2019 était spécifique dans la mesure ou la haute altitude y était omniprésente, et Bernal a saisi l'occasion qui se présentait. Mais le Tour 2020 est plus proche d'une Vuelta que d'un Giro. Tout le monde semble oublier que c'est Ineos qui a obligé le colombien à se préparer pour le Tour, alors que celui-ci désirait s'aligner sur le Giro. Hormis la haute altitude et les grands cols mythiques qui dépassent les 2000m, je vois pas d'endroit ou Bernal peut prendre la mesure d'un Roglic.

D'ailleurs, une question: Bernal a-t-il déjà devancé Roglic, dans une course par étapes ?

Par contre, je fais de Bernal mon favori pour la victoire d'étape à La Loze. Libéré du problème insoluble du classement général, il va tenter de chercher une victoire d'étape. Et celle de mercredi serait la plus prestigieuse.

Effectivement, Bernal n'a jamais battu Roglic sur un CG de course à étapes.

Aujourd'hui elle est pour Benoot

biquet a écrit : 15 sept. 2020, 09:16 Concernant Bernal, je pense tout simplement qu'il est moins fort que Roglic et Pogacar, excepté sans doute en trés haute altitude. On dit qu'il a foiré sa préparation, lui avance que ses chiffres de puissance sont meilleurs que jamais, ou se situe la vérité ?

Avant le départ de ce Tour, je ne voyais qu'une seule étape favorable à Bernal dans son éventuelle confrontation avec Roglic: celle de La Loze. Point. Pour le reste, franchement, y a quelqu'un qui l'imaginait dominer Roglic sur des cols comme La Luzette, le Puy Mary, le Peyresourde, le Marie Blanque ou le Grand Colombier, sans parler du chrono de La Planche ?

Le Tour 2019 était spécifique dans la mesure ou la haute altitude y était omniprésente, et Bernal a saisi l'occasion qui se présentait. Mais le Tour 2020 est plus proche d'une Vuelta que d'un Giro. Tout le monde semble oublier que c'est Ineos qui a obligé le colombien à se préparer pour le Tour, alors que celui-ci désirait s'aligner sur le Giro. Hormis la haute altitude et les grands cols mythiques qui dépassent les 2000m, je vois pas d'endroit ou Bernal peut prendre la mesure d'un Roglic.

D'ailleurs, une question: Bernal a-t-il déjà devancé Roglic, dans une course par étapes ?

c'est pas faux ton interprétaiton, notamment la question liée au parcours.
Moi, je reste convaincu qu'il y a un problème de préparation pour Bernal, et que ça peut arriver à n'importe qui, encore plus cette année.

Le match bernal-Roglic, pour moi, je ne vois que ce fameux tour de romandie 2018 où j'ai eu l'impression de voir deux gars voler à l'époque autour de Sion! sentiment de malaise partagé ici d'ailleurs, mais qu'importe.
Roglic avait gagné de 8" car il avait été meilleur sur le prologue, mais sur le chrono en cote, Bernal l'avait devancé, et ils avaient explosé littéralement les autres (Porte entre autres).
Ce moment précis rétroactivement où on a tous vu ces deux gars comme de potentiels vainqueurs de GT.
chose faites l'année suivante, et quoiqu'on en dise, Bernal a gagné le plus difficile des 3, Roglic avait bien moins de concurrence y compris sur le giro où il n'a fait que 3.

Bernal "devait" avoir encore une marge de progression, chez le slovène, elle était moins évidente en toute logique!
ça ne se passe pas comme ça cette année, mais pour moi, à aucun moment, ça ne veut dire qu'il faille désormais sousestimer le colombien (si elle a lieu faudrait ptet qu'il aille faire la vueltaz d'ailleurs pour remmetre les pendules à l'heure)

Je serai à l'arrivée normalement !

Je serai à l'arrivée normalement !

un grand tour est chiant lorsque le coureur le plus fort de l'épreuve est leader ET possède la meilleure équipe.

Sauf que là ce n'est pas le cas, le plus fort c'est Pogacar qui n'est pas en tête à cause de la bordure. C'est mon favori pour la victoire et je pense qu'il va faire péter Roglic demain et qu'il sera capable de conserver le jaune au CLM.

Bon, c'est l'anniversaire de van Aert. Après avoir raté le cadeau à Kuss, ça m'étonnerait que la Jumbo laisse passer la chance une deuxième fois. Donc ça ne sert à rien de vouloir s'échapper, on connait le vainqueur