
Plus globalement comme Veji, la doublette Virenque-Jalabert pré-98, c'était des moments de transe totale!
Modérateur : Modos VCN
veji2 a écrit : 05 juin 2018, 10:57 Le tour 97 en somme comme dit par beaucoup. Une sorte d'apothéose droguée. Le Las Vegas Parano du vélo quoi...
Nopik a écrit : 05 juin 2018, 11:11 J'ai jamais vu le Tour 97 mais je crois que ca vaudrait le coup de se le remater en entier pour le fun
Faudrait faire une chaine youtube dédiée à ces plaisirs coupables![]()
Je pense qu'Ullrich a marqué tous ceux qui ont vu le Tour 97. Celui qui aurait affirmé après ce Tour qu'il n'en gagnerait plus aucun autre aurait été traité de fouNopik a écrit : 05 juin 2018, 13:02 Ullrich j'ai jamais compris la hype autour de ce bonhomme.
Peut être existe t'il un schisme entre ceux qui ont vu ses bonnes années et ceux qui ne l'ont vu que durant les années amstrong, lorsqu'il n'était qu'un faire valoir sans aucun intérêt.
Non ton temps n'est pas bon pour Froome :levrai-dufaux a écrit : 05 juin 2018, 10:41Je sais qu'on a dit de ne pas en parler, mais cette liste de climbing record je pense n'a pas été actualisée. Il manque les temps de 2013 et notamment celui de Froome en 57'30 qui avait battu le record de Pantani 94 sur une étape en ligne doncBold Uccello a écrit : 04 juin 2018, 22:36
Merci![]()
Ouai c'est tout Clean![]()
Pour Pantani 1994 l'étape fesait + de 200 klm et l'arrivée été à Carpentras donc la perf paraît très impressionnante vue sous cet angle là![]()
(les 57'59 de Nairo sont pas mal non plus).
Pour revenir au sujet, je suis un peu étonné que beaucoup répondent par des coureurs dopés des années 90 pré-Festina. Pour moi un plaisir coupable, c'est le fait de prendre son pied dans une étape tout en se disant qu'il y a quelque chose de louche là dedans. L'exemple type c'est Ricco dans l'Aspin sur le Tour 2008![]()
J'avoue qu'avant 1998, je ne me rendais absolument pas compte de l'importance du dopage sanguin dans les résultats et la remise en cause de toute logique sportive. Que les mecs prennent des trucs, ok, mais de cette ampleur, je ne l'imaginais vraiment pas.
Bien que ce soit assez gros, j'avoue avoir aussi eu un faible pour Rujano, notamment sur le Giro 2011 où il est presque au niveau de Contador en montagne![]()
En pur grimpeur, j'aimais bien aussi le style de Piepoli![]()
Et puis Froome Bardonnechia 2018, on y revient, mais cette montée de Finestre, je n'avais rien vu de tel.
Merci de me remémorer cela, il me semble avoir lu ça aussi. Pour ma défense on a tendance à mettre plus ou moins tout le monde dans le même panier à cette époqueBooze a écrit : 05 juin 2018, 13:44 Mejia, c'est tout sauf un plaisir coupable si on en croit divers témoignages de coureurs de l'EPOque. Le gars se serait irrémédiablement et définitivement fait péter le caisson à suivre les barjots confiturés. Salvodelli () avait dit un jour avoir laissé 10 ans de vie dans sa défense du maillot rose sur les pentes du Finestre. Mejia, lui, a laissé sa carrière sur ce Tour de France.
Ralphspiegel a écrit : 05 juin 2018, 13:00 La Carrera quand j'étais gamin en général, Pantani, Chiappucci, les exploits en montagne.
Indurain et la Banesto.