Mais c'est un cercle vicieux. Moins tu mets de CLM, moins tu as d'écart, moins les mecs prennent de risques puisqu'ils sont dans le jeu plus longtemps.veji2 a écrit : 27 oct. 2022, 15:52Des écarts en montagne il y en a oui, mais une fois de temps en temps. le CLM tu as des écarts à chaque fois. à chaque fois. 10 sur 10. Tu mets 2 CLMs de 50 bornes et tu as des écarts énormes comparables uniquement avec ceux d'une étape monstre et rare. Donc on rabote les CLMs.papou06 a écrit : 27 oct. 2022, 15:45
On a vu sur le dernier Tour que c'était faux, et que quand les coureurs se livraient de loin, on avait tjrs de vrais écarts.
Edit :
Et pas que sur le dernier Tour d'ailleurs. En 2021 aussi.
Sur le Giro 2022 Hindley a fait d'énormes écarts quand il a bien voulu se livrer.
Sur le Giro 2021 les écarts étaient conséquent aussi. En 2020 idem.
Sur les Vuelta 2021 et 2022 aussi.
Bref, des écarts en montagne, il y en a ces dernières années, avec des coureurs qui osent partir de loin et faire exploser la course.
Le problème est pris totalement à l'envers. On nous a dit pendant des années que c'était à cause des trains qu'il n'y avait plus d'écarts. Or les trains, ils explosent quand ça part de loin, parce que les équipes, à de très rares exceptions, ne sont pas au niveau des leaders. Et on le voit quasi à chaque grande course et GT ces dernières années.
Qu'on foute un CLM de 50 kms. Et si les mecs à 6mn veulent jouer quelque chose, ils attaqueront de loin. Et ils ne seront peut-être pas en mesure de gagner le Tour, mais ça a été comme ça pendant 100 ans, et c'est tant mieux. C'est le TDF, ça doit sacrer le meilleur.
Pas un mec incapable de rouler seul et qui n'arrive pas à compenser sa faiblesse en montagne. Celui-là, il n'a qu'à viser le Mont Ventoux Challenge s'il n'est pas content.