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Le top 10 sur PCS: http://www.procyclingstats.com/race/Vol ... 17_Stage_5

Cort Nielsen était hyper mal placé, étonnant qu'il arrive même à faire 7e.

Bouhanni était fort, mais il me semble qu'il avait peu d'équipiers dans le final et du coup il part de vraiment trop loin.

Sympa l'écart de Coquard.

Petit écart sur Nacer pour une fois.... :whistle:

Original le sprint en solo de Cort, premier de ceux qui n'ont pas anticipé :D

Keisse joue mal le coup je trouve, trop attentiste dans les derniers mètres.

Déjà fini...
Un replay ?

Coen Vermeltfoort a failli faire un gros coup en sortant dans les 500(?) derniers mètres.

Pour la petite histoire, c'est tout de même la première victoire de Coquard sur une épreuve européenne hors de France. A part ses victoire en 2013 sur l'exotique Tour de Langkawi, ses victoire sur routes étaient uniquement en France jusque là.

Pas d'accord avec ceux qui voient un écart du Coq. Malgré la faible qualité de la prise de vue sur la ligne, on voit une fois de plus Bouhanni sprinter sur la droite de la route puis se rapprocher du centre et donc de Coquard.

Bouhanni va-t-il gagner une course en 2017?

Si une âme charitable a le replay du dernier km, je suis preneur :jap:

plutôt positif de voir que 2 des 3 sprinteurs français ont ouvert le compteur sur leur première course......A voir sur la suite de la saison avec uen concurrence plus importante

Bon filmé n'importe comment, mais au vu du peu dont on dispose, il semble que Bouhanni joue très mal le coup, s'il ne revient pas vers le centre de la route (et donc du coup sur Coquard) , il gagne car il était beaucoup plus vite...

bullomaniak a écrit :Non mais même dans les années 50 personne n'aurait mis pied à terre sur une course de côte un peu raide. :S

Ah si, détrompe-toi. Même dans le Ventoux ou le Tourmalet, les mecs pouvaient descendre de vélo s'ils étaient cuits. 2 exemples me viennent à l'esprit: Diederich sur le Ventoux 51, et Forestier sur le Tourmalet 54. Si tu vas sur le site de l'INA et que tu visionnes le résumé de l'étape remportée par Bobet, tu vois le luxembourgeois courir sur la route avec son vélo à la main. Et le groupe de tête ( Lazaridès, Bartali, Geminiani, Koblet, Bobet ) semble être scotché sur la pente. Et pourtant, c'était le versant Malaucène qui était emprunté.

Alors j'imagine sur des pentes à 20°/°... :whistle:

Les deux premières victoires de Movistar
:ton:

Extrait signé Pierre Chany:

\"Avec le mur de Sormano, l'organisateur choisissait la monstruosité: une route large de 2,5m, longue de 2km, creusée sur des à-pic, des passages à 22°/° et un pourcentage moyen de 14°/° !!... Les journalistes gagnèrent Milan en étant persuadés que Torriani renoncerait à cette extravagance. Il ne renonca pas, malgré toutes les protestations, dont celle de Jacques Anquetil..Les coureurs, inquiets et bougons, se présentèrent au départ avec des gammes de braquet inhabituelles: 42X27 pour Anquetil. Le mécanicien de l'équipe Ignis avait soudé une 6è couronne sur les roues libres de 5 vitesses, et ce travail lui avait réclamé une semaine..En fait, la montagne accoucha d'une souris, parce que les coureurs, gravissant la pente à l'allure du piéton épuisé, ne pouvaient réaliser de grandes différences, parce que les lâchés étaient aussitôt catapultés par un régiment de pousseurs apitoyés, et parce que..ceux qui montaient à pied allaient plus vite que ceux qui tentaient désespérément de rester sur leurs bicyclettes !! Ainsi vîmes-nous Van Looy, alors champion du monde, passer une vingtaine de concurrents en poussant son vélo par la selle.\"

Une autre époque. :green:

biquet a écrit :

bullomaniak a écrit :Non mais même dans les années 50 personne n'aurait mis pied à terre sur une course de côte un peu raide. :S

Ah si, détrompe-toi. Même dans le Ventoux ou le Tourmalet, les mecs pouvaient descendre de vélo s'ils étaient cuits. 2 exemples me viennent à l'esprit: Diederich sur le Ventoux 51, et Forestier sur le Tourmalet 54. Si tu vas sur le site de l'INA et que tu visionnes le résumé de l'étape remportée par Bobet, tu vois le luxembourgeois courir sur la route avec son vélo à la main. Et le groupe de tête ( Lazaridès, Bartali, Geminiani, Koblet, Bobet ) semble être scotché sur la pente. [b:aqingmv6]Et pourtant, c'était le versant Malaucène qui était emprunté.[/b:aqingmv6]

Alors j'imagine sur des pentes à 20°/°... :whistle:

Le Ventoux par Malaucène est moins prestigieux que par Bédoin mais tout aussi dur avec notamment une portion de 5km à 10% à mi-pente avant un petit replat d'1km puis ça remonte sévère sur 1km à 11% et ça se finit à 8% sur les 5 derniers km. C'est du très lourd.

Comme beaucoup je retiens, outre le show Quintana, la belle performance de Kudus. On l'avait effectivement déjà vu à son avantage en début de saison l'année dernière mais peut être pas aussi haut. J'espère surtout pour lui qu'il va maintenir ce niveau de forme!

marooned2 a écrit :

biquet a écrit :

bullomaniak a écrit :Non mais même dans les années 50 personne n'aurait mis pied à terre sur une course de côte un peu raide. :S

Ah si, détrompe-toi. Même dans le Ventoux ou le Tourmalet, les mecs pouvaient descendre de vélo s'ils étaient cuits. 2 exemples me viennent à l'esprit: Diederich sur le Ventoux 51, et Forestier sur le Tourmalet 54. Si tu vas sur le site de l'INA et que tu visionnes le résumé de l'étape remportée par Bobet, tu vois le luxembourgeois courir sur la route avec son vélo à la main. Et le groupe de tête ( Lazaridès, Bartali, Geminiani, Koblet, Bobet ) semble être scotché sur la pente. [b:3ucztngq]Et pourtant, c'était le versant Malaucène qui était emprunté.[/b:3ucztngq]

Alors j'imagine sur des pentes à 20°/°... :whistle:

Le Ventoux par Malaucène est moins prestigieux que par Bédoin mais tout aussi dur avec notamment une portion de 5km à 10% à mi-pente avant un petit replat d'1km puis ça remonte sévère sur 1km à 11% et ça se finit à 8% sur les 5 derniers km. C'est du très lourd.

Oui, j'ai toujours trouvé bizarre d'entendre dire, notamment par des coureurs, que le côté le plus dur du Ventoux était celui de Bédoin. Il me semble que le versant Malaucène est largement aussi redoutable. Les frères Dries avaient réalisé un magnifique document sur l'histoire du Tour dans le Ventoux, il y une vingtaine d'années. Et étonnament, on y voyait Lucien Lazaridès dire qu'il ne trouvait pas le Ventoux si dur que ça, bcp moins que le Tourmalet, par exemple. La difficulté des cols, c'est vraiment une affaire individuelle.