Le classement de l'étape de jeudi avec les écarts, qui sont moins importants que quand la montée vers Villavicencio était disputée en chrono :
1 - Juan Pablo Dotti (SEP San Juan)
2 - Laureano Rosas (Puertas de Cuyo) mt
3 - Sergio Fredes (Virgen de Fatima) à 11"
4 - Alejandro Duran (SEP San Juan) à 13"
5 - Emiliano Ibarra (Puertas de Cuyo) à 1'01"
6 - Marcos Rodríguez (Ureña Construcciones) à 1'01"
7 - Leonardo Cobarrubia (SEP San Juan) à 1'09"
8 - Nicolás Traico (SEP San Juan) à 1'09"
9 - Nahuel Mendez (Guaymallen) à 1'22"
10 - Pablo Brun (Puertas de Cuyo) à 1'27"
...
45 - Nicolas Naranjo (Virgen de Fatima) à 8'12"
Le général :
1 - Cobarrubia
2 - Brun à 28"
3 - Dotti à 4'41"
4 - Fredes à 4'43"
5 - Ruben Ramos (Pocito) à 4'43"
6 - Rosas à 4'49"
7 - Carlos Cogo (M y G -Servicios Petrolero) à 5'01"
8 - Duran à 5'14"
9 - José Martin Reyes (Pocito) à 5'24"
10 - Traico à 5'58"
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14 - Naranjo à 6'44"
Fredes est leader au classement des grimpeurs. Mais il faut noter que les principales difficultés, notamment les arrivées au sommet, ne comptent pas pour le GPM.
Naranjo reste en tête du classement des sprints (il n'y a pas de classement par points prenant en compte les classements aux étapes).
Rien n'est joué et tout dépendra sans doute de la stratégie d'équipe de SEP, chercher à préserver Cobarrubia ou tout faire péter pour Dotti.
Sur l'étape du Cristo Redentor, ces deux dernières années (victoires d'Alexandre Cepeda et de Dotti), l'écart entre le 1er et le 5e était de 4 minutes et le 10e était à 6 ou 7 minutes.
En 2018, c'était plus serré, le 10e était à 1'30". C'était un jour où Najar était un peu mou.
