"Ça été douloureux de quitter le Giro. Être tout seul à l'aéroport, c'était difficile à gérer. Heureusement, j'ai reçu le soutien de ma famille à mon retour. Mais quand je vois la course à la télévision, je me dis que ma place est là-bas", dit-il emprunt de nostalgie.


