Il y avait moyen de faire bien mieux. J'ai renoncé à déchiffrer les calculs de Runns en faisant au pif un mix entre carrières courtes et longues. Et ça marche... Quelle escroquerie

Merci à tous!!
Modérateur : Modos VCN
Non, c'est en Serbie, j'ai respecté au mieux un tracé sur des routes au sud de Belgrade où il y avait une grosse colline, les parties sombres sont les 2,6 kms de pavé.
Valverde a d'ailleurs bien profité de la multiplication des étapes se terminant au sommet des cols ou des muros, quand les grimpeurs ne se livrent pas à fond, il profite de son finish pour s’adjuger des victoires faciles ou du moins de belles places au sommet.biquet a écrit : 12 janv. 2021, 11:14 Il y a un autre truc qu'il faudrait souligner pour relativiser les chiffres: l'évolution des parcours et le caractère des difficultés au fil des décennies. Le Tour d'Espagne, par exemple, fut pendant trés longtemps le Tour le moins difficile des 3, chose assez étonnante au vu de la place des grimpeurs espagnols dans l'histoire. Les Bahamontès, Lorono (autre fameux grimpeur), Jimenez, même Fuente ou Ocana, devaient se contenter des Orduna, El Fito, Arrate, Pajarès ou Formigal sur leur Tour national. Ils n'ont même pas pu se mettre les Lacs de Covadonga sous la dent, cette montée n'étant apparue qu'en 1983. .
J'imagine à peine ce que ces gars auraient pu réaliser (surtout Bahamontès) si on leur avait présenté les tracés de ces 25 dernières années.
Voilà ce que j'ai écrit dans le message au-dessus du tien, comme quoi, mon classement est d'abord un jeu de statistique et non une vérité absolue. D’ailleurs il n’y a pas vérité absolue, du moins je n’y crois pas.Je vous laisse juger, et ceux qui sont trop bas dans ma liste c’est qu’une question de quelques points d’étapes, mais démontre une nouvelle fois qu’avec simplement des chiffres on ne peut obtenir un résultat aussi bien qu’une liste basée sur des faits de courses, des anecdotes et les commentaires de ceux ayant suivi les coureurs en vrai.