Chavaloin a écrit : 28 févr. 2018, 15:21
tuco a écrit : 28 févr. 2018, 15:12
Oui, opour en faire un monument, il faut 250 bornes, minimum. Pour la concurrence avec Nice, suffirait de faire partir PN le lundi ou le mardi. De toute façon, les SSR d'une semaine prennent trop de place dans le calendrier pour si peu de prestige.
Vous en connaissez,vous, des coureurs qui rêvent de Romandie au lieu de Roubaix, de Nice au lieu de San Rémo, de Catalogne au lieu de Tour, etc ? (1)
Et puis bon, ça serait pas la mort, en partant le mardi, ça ferait tout de même 6 jours de course pour ces CPE.
(1) edit : à part simon spilak
Paris-Nice a perdu de son prestige depuis longtemps, à part les GT les courses d'une semaine souffres de servir de courses de prépa pour les GT justement.
Je ne suis pas vraiment d'accord. Paris-Nice, Tirreno, le Tour de Catalogne et le Tour de Romandie sont encore de belles courses et restent de vrais objectifs pour beaucoup de coureurs. Pinot a souvent répété qu'il adorerait remporter la Romandie, par exemple, et entre Froome, Porte ou Quintana, on peut pas dire que le palmarès soit dévalué, ces dernières saisons. Désormais, la VRAIE course de prépa pour le Giro, c'est le Tour des Alpes, pas la Romandie.
Idem pour la Catalogne. Certes, on s'emmerde sec devant cette épreuve, mais c'est aussi parce qu'elle est très prisée par bcp de spécialistes de GT. Là, on rentre dans la haute-montagne, la vraie, et il ne s'agit pas encore de s'affuter pour bien passer les bosses explosives des Ardennes.
C'est plutôt au Pays-Basque que bon nombre de coureurs (pas tous, et notamment pas les espagnols) ont déjà la tête en Wallonnie, et pas en dépassant les 2000m du côté de Walter 2000. Même chose pour le Dauphiné et le Tour de Suisse, 2 très belles épreuves qui servent essentiellement de dernier réglage avant le Tour. A la sortie de ces épreuves, les coureurs savent s'ils sont au top ou s'ils doivent encore affiner leur condition.