Championnats d'Europe de Cyclisme sur Route Hommes (mercredi 8 et dimanche 12 août 2018)

[Psyonix76]

Oui voila merci Croco , l'équipe l'avait même annoncé sur les réseaux sociaux au soir de l'étape tellement ils étaient content de ne pas avoir crevé 1 seule fois. Cofidis à coté :malaise: ...

[On3]

Ils roulent sur quoi Cofidis ?

[Psyonix76]

Michelin Pro 4 Tubular service course. Pas du dégueu pourtant

J'ai les même en version pneu et j'en suis pleinement satisfait.

Problème de gonflage ?

[BikeChm]

En lisant les déclarations d'après course de Guimard et Pierre Luc Perichon, je pense que les français se son fait piéger en beauté. Guimard a déclaré que la première moitié de course a été bien maîtrisée, et je suis assez d'accord avec lui sur ce point car en effet Angelo Tulik a fait un gros travail en tête de peloton pendant plus de 100 bornes, les français étaient bien placés et l'échappée a été bien maîtrisée (même si elle ne semblait pas très dangereuse). Hugo Hoffstetter a ensuite bien embrayé au lancement des hostilités, il semblait très fort et il a loupé de peu la bonne échappée . Jusque là, on peut dire que tout allait bien.

Malheureusement, c'est à partir de ce moment que, à mon avis, l'équipe de France a joué perdante (tout comme d'autres nations à l'arrière d'ailleurs).

Tout d'abord Perichon qui part dans le bon coup mais sans trop y croire de son propre aveu car il était malade. Il a déclaré qu'à ce moment de la course il voulait simplement se porter à l'avant pour soulager ses coéquipiers. C'est une bonne initiative de sa part. Mais alors dans ce cas, il ne devait pas collaborer dans l'échappée, surtout avec son état de forme, au risque peut-être de se prendre un tir de ses compagnons d'échappée à trop ratoner, mais cela aurait eu au moins le mérite de les désorganiser un peu devant. Mais surtout, les autres français devaient immédiatement se mettre en ordre de bataille pour maintenir l'échappée à portée de tir. Coquard et les autres ont été trop attentistes et n'ont pas entamé la chasse suffisamment rapidement et avec suffisamment d'énergie. Placer Damien Touzé tout seul en tête ça ne pouvait pas fonctionner, le pauvre il s'est d'ailleurs pris à un moment les remarques des italiens car s'en était presque risible. Alors oui, les français ont essayé de jouer au poker menteur avec les autres équipes qui devaient également lancer la chasse (les norvégiens, les allemands à mon avis malgré la présence de N. Denz à l'avant, et aussi les britanniques qui jouaient à domicile, voire les danois, mais je crois que M. CORT était distancé). Enfin bref, ça s'est enterré à l'arrière sans vraiment avoir combattu et les français n'ont pas su renverser cette situation de course. Peut-être que l'abandon prématuré de Sagan a eu beaucoup d'effet sur le déroulé de la course car personne ne s'attendait à prendre la course à sa charge parmi les nations non représentées efficacement à l'avant. Dommage, car j'ai bien aimé l'état d'esprit initial de l'EDF, bien concentrée et bien organisée.

[El_Pistolero_07]

Non, c'était dans la fameuse interview où il règle ses comptes avec son coureur préféré, celui-ci lui avait demandé des conti je crois...
Bon c'était pour polémiquer, si ça se trouve ils auront un autre fournisseur l'an prochain.

C'était pas AG2R qui était en Conti sur l'étape pavée ?

@Psyonix : Pour info, quelle équipe française n'a pas eu de crevaison sur l'étape pavée ? Et ils roulent sur quoi ?
Merci.

Je crois que Trek n'a connu aucun souci de crevaison sur cette étape, et ils sont sur du Veloflex (à vérifier).

C'est marrant, les Conti (en pneus) sont hyper bien réputés pour les crevaisons... Et Trek, ils étaient pas avec des boyaux Bontrager ? Sauf si cette marque n'en fait pas, ce serait étonnant.

[marcella]

En lisant les déclarations d'après course de Guimard et Pierre Luc Perichon, je pense que les français se son fait piéger en beauté. Guimard a déclaré que la première moitié de course a été bien maîtrisée, et je suis assez d'accord avec lui sur ce point car en effet Angelo Tulik a fait un gros travail en tête de peloton pendant plus de 100 bornes, les français étaient bien placés et l'échappée a été bien maîtrisée (même si elle ne semblait pas très dangereuse). Hugo Hoffstetter a ensuite bien embrayé au lancement des hostilités, il semblait très fort et il a loupé de peu la bonne échappée . Jusque là, on peut dire que tout allait bien.

Malheureusement, c'est à partir de ce moment que, à mon avis, l'équipe de France a joué perdante (tout comme d'autres nations à l'arrière d'ailleurs).

Tout d'abord Perichon qui part dans le bon coup mais sans trop y croire de son propre aveu car il était malade. Il a déclaré qu'à ce moment de la course il voulait simplement se porter à l'avant pour soulager ses coéquipiers. C'est une bonne initiative de sa part. Mais alors dans ce cas, il ne devait pas collaborer dans l'échappée, surtout avec son état de forme, au risque peut-être de se prendre un tir de ses compagnons d'échappée à trop ratoner, mais cela aurait eu au moins le mérite de les désorganiser un peu devant. Mais surtout, les autres français devaient immédiatement se mettre en ordre de bataille pour maintenir l'échappée à portée de tir. Coquard et les autres ont été trop attentistes et n'ont pas entamé la chasse suffisamment rapidement et avec suffisamment d'énergie. Placer Damien Touzé tout seul en tête ça ne pouvait pas fonctionner, le pauvre il s'est d'ailleurs pris à un moment les remarques des italiens car s'en était presque risible. Alors oui, les français ont essayé de jouer au poker menteur avec les autres équipes qui devaient également lancer la chasse (les norvégiens, les allemands à mon avis malgré la présence de N. Denz à l'avant, et aussi les britanniques qui jouaient à domicile, voire les danois, mais je crois que M. CORT était distancé). Enfin bref, ça s'est enterré à l'arrière sans vraiment avoir combattu et les français n'ont pas su renverser cette situation de course. Peut-être que l'abandon prématuré de Sagan a eu beaucoup d'effet sur le déroulé de la course car personne ne s'attendait à prendre la course à sa charge parmi les nations non représentées efficacement à l'avant. Dommage, car j'ai bien aimé l'état d'esprit initial de l'EDF, bien concentrée et bien organisée.

Les britons n'avaient aucune raison de rouler avec les seuls Rowe et Thwaites encore présent dans la course.
Pour le reste, je suis d'accord avec toi.

[Le sucre sportif]

C'était pas AG2R qui était en Conti sur l'étape pavée ?

@Psyonix : Pour info, quelle équipe française n'a pas eu de crevaison sur l'étape pavée ? Et ils roulent sur quoi ?
Merci.

Je crois que Trek n'a connu aucun souci de crevaison sur cette étape, et ils sont sur du Veloflex (à vérifier).

C'est marrant, les Conti (en pneus) sont hyper bien réputés pour les crevaisons... Et Trek, ils étaient pas avec des boyaux Bontrager ? Sauf si cette marque n'en fait pas, ce serait étonnant.

Au delà du matériel qui doit être de qualité, on peut imaginer que des équipes ont pris des risques sur les pavés : il faut que les pneus soient sous-gonflés pour éviter les crevaison, or sous-gonfler les pneus faire perdre en rendement. Le savant dosage entre rapidité et fiabilité Ag2r a peut-être surgonfler ses pneus en espérant que ça passe alors que d'autres avec un matériel moins bon mais mieux régler sont passés à travers les gouttes