Dopage Version 3.1 (Bug Free)
Publié : 30 mai 2016, 11:42
C'est parce qu'en italien, \"dissenteria\" signifie gastro/problèmes intestinaux/chiasse. :jap:
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Il va quand même falloir que tu digères le truc, hein, j'espère que tu t'en remettras. Toi aussi fais gaffe à la dysentery.Nopik a écrit :Je ne reproche rien à personne![]()
Et en plus je parle de la théorie, à la limite un gars malade peut retrouver la santé, je le conçois. :brave-bete:
Calme, souviens-toi....Nopik a écrit :J'ai l'intestin [i:jxj3rcsq]irritable [/i:jxj3rcsq]en ce moment :moqueur:
Déjà, entre les AUT de complaisance et la libéralisation des corticoïdes, on est quasiment dans le dopage légalisé.Mister_Nobody a écrit :Oui et non. Mon avis est que le dopage continue à être généralisé, même et surtout au haut niveau MAIS par rapport à un passé récent disons que des normes ont été instaurées afin d'éviter les abus, les dangers et tout le monde s'entend là-dessus. Un dopage modéré, toléré même en quelque sorte, mais dopage quand même. Après rien ne dit que certains ne franchissent pas plus ou moins individuellement et occasionnellement la ligne jaune. Donc se réjouir d'une baisse des abus flagrants et des mises en danger oui, mais croire que le dopage est quasi éradiqué j'ai plus de mal (donc se réjouir tout court non)._AlbatorConterdo a écrit :Là, nous sommes d'accord. :jap:
S'il y avait des règles dans ce domaines, je pense qu'on aurait plus de cas positifs.
Plus généralement, je ne sais même pas s'il faut se réjouir de la baisse de cas détectés ces dernières années... :hmm:
Les problèmes de gastros lors des étapes caniculaires, c'est un classique, par contre. Difficile de résister à la tentation, mais les conséquences peuvent être terribles.guizmo a écrit :Ben y a quand meme le Tour 94, avec enormement d'abandons dus à des gastros (on disait que c'était du à de l'eau trop fraiche bue pendant des étapes de canicule).
Pour moi le dopage d'aujourd'hui c'est l'équivalent de l'optimisation fiscale organisée par les cabinet Mossack et Fonseca quoi, au lieu d'être dans la société offshore, les écrans, les surfacturations entre filiales etc, on joue avec les trucs autorisés, les AUT, les délais de disparition de tel ou tel truc, etc.. et on optimise à mort. Ce n'est peut êter pas reconnu comme du dopage, mais quand ça implique x cachetons, y traitements, etc.. ben ça y ressemble.biquet a écrit :Déjà, entre les AUT de complaisance et la libéralisation des corticoïdes, on est quasiment dans le dopage légalisé.Mister_Nobody a écrit :Oui et non. Mon avis est que le dopage continue à être généralisé, même et surtout au haut niveau MAIS par rapport à un passé récent disons que des normes ont été instaurées afin d'éviter les abus, les dangers et tout le monde s'entend là-dessus. Un dopage modéré, toléré même en quelque sorte, mais dopage quand même. Après rien ne dit que certains ne franchissent pas plus ou moins individuellement et occasionnellement la ligne jaune. Donc se réjouir d'une baisse des abus flagrants et des mises en danger oui, mais croire que le dopage est quasi éradiqué j'ai plus de mal (donc se réjouir tout court non)._AlbatorConterdo a écrit :Là, nous sommes d'accord. :jap:
S'il y avait des règles dans ce domaines, je pense qu'on aurait plus de cas positifs.
Plus généralement, je ne sais même pas s'il faut se réjouir de la baisse de cas détectés ces dernières années... :hmm:
Les corticoïdes, je rappelle que c'était de dopage des années 70 (avec les amphétamines), et que des coureurs l'ont échappé belle ( Thévenet ). Maintenant, au niveau des grosses équipes, je me demande si on est pas surtout à la recherche des solutions qui utilisent jusqu'au dernier mm de légalité ( solution technologique, solution médicale), mais en faisant gaffe à ne pas dépasser le bout de la chaine, celui qui les ferait passer dans l'illégalité.
Autrefois, c'était: " On cherche le nouveau produit efficace et indétectable".
Maintenant, c'est plutôt :" On cherche tout ce qui est susceptible de faire aller plus vite et plus longtemps, en profitant des largesses de l'anti-dopage, mais en restant sur le territoire de la légalité."
Je vois ça comme ça. Toutes histoires de chiasses, qui ne sont pas nouvelles (déjà dans les années 80), c'est peut-être du à des médications un peu vintage qui sont désormais autorisées. Car je n'ai pas le souvenir de beaucoup d'histoires de cette sorte (gastros, problèmes intestinaux) lors des années EPO ou transfusions à la louche, lorsque les mecs qui tournaient à 54-55 étaient considérés comme des enfants de choeur. Sauf peut-être Ullrich, lors du Tour 2003, lorsqu'il était allé repeindre un coin de campagne. :moqueur:
Peut être que les cyclistes sont adeptes du [i:13lx6ac0]plugging[/i:13lx6ac0]Nopik a écrit :Le problème avec ces histoires de gastros, c'est qu'il faudrait encore que les "malades" aient vraiment la chiasse. Pourquoi les 2 seuls malades dont on se souvient sont Ullrich et Demare ? Les autres ont une gastro mais tiennent plusieurs en selle en mangeant, en buvant et sans chier pendant ce laps de temps.
En revanche, des fièvres ou des SRIS ne donnent pas de chiasse... :whistle:
Vaut mieux pas non... :choco:Nopik a écrit :Je préfère ne pas regarder ce que c'est...