




Modérateur : Modos VCN
Tu veux nous faire partager tes différents futiles avec le sus-nommé sur tweeter?charlix a écrit : 31 mai 2018, 22:31Celui qui twitte sur ce compte c'est Renaud Breban, donc peut-être qu'il a juste rêver ça la nuit dernière au milieu de son calcul de "combien de chèvres La Chaine Lequipe a donné à Pinot pour prendre le départ du Giro"![]()
Il a raison, Breban est un bip qui passe son temps a cracher sur Pinot ou tout ce qui a un rapport avec PinotWald a écrit : 01 juin 2018, 01:46Tu veux nous faire partager tes différents futiles avec le sus-nommé sur tweeter?charlix a écrit : 31 mai 2018, 22:31
Celui qui twitte sur ce compte c'est Renaud Breban, donc peut-être qu'il a juste rêver ça la nuit dernière au milieu de son calcul de "combien de chèvres La Chaine Lequipe a donné à Pinot pour prendre le départ du Giro"![]()
Je suis un peu provocateur, mais bon, est ce opportun de te répandre à ce sujet sur ton forum ?
mais on ne sait pas trop quelles sont ces "autres compétitions" en fait.Lorsque le coureur démontre qu’il n’a commis aucune faute ou négligence en
relation avec la violation, ses résultats individuels dans d’autres compétitions
ne seront pas annulés, à moins que les résultats obtenus dans d’autres
compétitions que celle au cours de laquelle la violation des Règles antidopage
est intervenue n’aient été vraisemblablement influencés par cette violation
antidopage
Ulissi n'a pas plaidé d'entrée de jeu la négligence non significative.Richard a écrit : 01 juin 2018, 12:55 - Froome a peut-être fini par plaider la "négligence à la Ulissi" (en gros "ok j'en ai pris trop mais c'était pas pour tricher") mais ce n'est pas du tout la teneur de ce qu'en ont dit les journaux pour l'instant. Il a plutôt tout fait pour ne pas avoir à plaider ça...
Qu'il l'avance en dernier ressort, quitte à contredire toutes les défenses précédentes, n'a pas tout à fait la même portée qu'Ulissi qui avait visiblement plaidé la négligence d'entrée de jeu.
L'avocat d'Ulissi avait pointé cette différence d'approche, et le "risque plus gros" qu'ils prenaient à jouer "à quitte ou double".
La négligence c'est pas la version qu'il défend depuis le début.... L'audition d'Ulissi n'a pas été publié c'est donc difficile de ne pas partir en conjecture mais je suppose qu'il à reconnu avoir pris un cacheton de salbu.Bradounet_ a écrit : 01 juin 2018, 04:56
Donc, si négligence retenue pour Froome, ce qui devrait être le cas maintenant avec la jurisprudence Ulissi,
En résumé, il me parait improbable que Froome perde son Giro, vu qu'il a du plaider la négligence.
« Au-delà d’un certain seuil, la Ventoline est un anabolisant, c’est-à-dire que le produit augmente la masse musculaire et diminue la graisse corporelle », justifie Jean-Pierre de Mondenard, médecin spécialiste du dopage.
Ces produits ont donc certains de ces effets : accélérer le cœur, augmenter l’apport d’oxygène, libérer les substances qui fournissent l’énergie et faciliter leur utilisation rapide (action sur le glycogène et les graisses)
Ces deux médicaments ont comme effet sur les fibres musculaires lisses de diminuer leur tension, ce qui provoque une augmentation du diamètre des bronches permettant d’apporter davantage d’air aux poumons, donc d’oxygène aux muscles. On augmente la capacité aérobie.
Stupeur dans le monde de la lutte anti-dopage. L’AMA (Agence mondiale antidopage) vient de faire un grand pas en arrière sur l’une des méthodes de dopage les plus anciennes et courantes: l’usage du salbutamol, une substance présente dans la ventoline et qui, consommée à haute dose, aide au développement musculaire.
Bien connu des asthmatiques, le salbutamol aide à mieux respirer quand il est consommé par inhalation. Un effet déjà pas négligeable pour un sportif, mais les dopés se sont vite aperçus que cette substance, consommée sous forme de cachets, a des effets anabolisants (elle renforce les muscles). D’où un beau succès dans le peloton et ailleurs (33% des 238 cas positifs recensés en France sur l'année 1998).
Pour comprendre cette reculade de l’AMA, il faut comprendre que le dopage évolue très vite et que les sportifs de haut niveau utilisent sans doute beaucoup moins le salbutamol, un dopage finalement archaïque comparée au dopage sanguin type EPO. Du coup l’AMA a décidé de lâcher du lest pour désengorger les fédérations sportives qui doivent contrôler le suivi médical.
Aucune idée, mais détail intrigant, Miguel Indurain avait été contrôlé positif au salbutamol aussi en 1995.tuco a écrit : 02 juin 2018, 11:20 ça a du être dit dans les 139 pages d'avant, mais le salbutamol peut-il cacher une autre substance dopante bien plus efficace?
car bon, le salbutamol, ça me semble du dopage des années 70, pas de quoi crier au scandale ni enlever la victoire à l'Anglais.
Par contre, si ça permet de cacher un truc genre CERA ou EPO, alors là oui.