Ahhhh, merci !
Toujours fiables, ces Alsaciens !


Modérateur : Modos VCN
Ahhhh, merci !
On a toujours l impression qu' il a frein à mainblouss_ a écrit : 09 sept. 2018, 23:13 Ce qui m'agace chez Quintana, c'est son manque de combativité au moment de franchir la ligne, qui lui coûte quelques secondes. Et ce n'est pas la première fois, qu'il fait ça.
Le plus choquant c est Valverde a 38 ans c est le dernier coureur de sa génération ou presque ...tous les autres ont raccroché et lui il rivalise avec des coureur qui ont 10 ans de moins ( Pinot, quintana...) ....moi il faut qu' on m explique ce phénomène. .....son niveau est anormal ....-Vélomen- a écrit : 09 sept. 2018, 19:18 Si même lorsqu'on vous met les chiffres devant les yeux, vous ne voyez pas alors...
Pour une fois on a eu une attaque à 8 km de l arrivée. ....dans ce cyclisme moderne aseptisé c est déjà pas mal ....je pense que certains fans sont déçus car les leaders n arrivent pas à se départager même sur une pente à 10 pour cent aussi longue. ...Le sucre sportif a écrit : 09 sept. 2018, 18:22 Pourtant, il y a eu une belle bagarre entre les leaders. Je ne vois pas en quoi c'est décevant, il y a eu du spectacle, des retours de l'arrière, du bluff, de la tactique, de l'attaque dans toutes les configurations possibles et imaginables, donc je pense que s'il on est déçu sur une étape pareil, on est déçu quelque soit l'étape et son dénouement![]()
Pour le coup Lopez c est quand même solide sur ce genre d arrivé.mazinho93 a écrit : 10 sept. 2018, 00:00On a toujours l impression qu' il a frein à mainblouss_ a écrit : 09 sept. 2018, 23:13 Ce qui m'agace chez Quintana, c'est son manque de combativité au moment de franchir la ligne, qui lui coûte quelques secondes. Et ce n'est pas la première fois, qu'il fait ça.
...au delà de ce style je trouve qu il régresse depuis deux ans ...il est passe de super crack à coureur qui bataille avec Lopez, yates, Pinot, etc....or il y a deux ans il les dominait easy en haute montagne
Mais il est cramé de chez cramé, Quintana là à l’arrivée, il fait ce qu’il peut surtout. Quand il peut sprinter il le fait hein.mazinho93 a écrit : 10 sept. 2018, 00:00On a toujours l impression qu' il a frein à mainblouss_ a écrit : 09 sept. 2018, 23:13 Ce qui m'agace chez Quintana, c'est son manque de combativité au moment de franchir la ligne, qui lui coûte quelques secondes. Et ce n'est pas la première fois, qu'il fait ça.
...au delà de ce style je trouve qu il régresse depuis deux ans ...il est passe de super crack à coureur qui bataille avec Lopez, yates, Pinot, etc....or il y a deux ans il les dominait easy en haute montagne
Mais lui aussi est susceptible de craquer un jour ou l'autre. Ca marche dans les deux sens. Et tu oublies Kruijswijk parmi les coureurs qui doublent Tour/Vuelta à un très bon niveau jusqu'à présent. Il me surprend sur cette Vuelta.Richard a écrit : 10 sept. 2018, 01:36Mais il est cramé de chez cramé, Quintana là à l’arrivée, il fait ce qu’il peut surtout. Quand il peut sprinter il le fait hein.mazinho93 a écrit : 10 sept. 2018, 00:00
On a toujours l impression qu' il a frein à main
...au delà de ce style je trouve qu il régresse depuis deux ans ...il est passe de super crack à coureur qui bataille avec Lopez, yates, Pinot, etc....or il y a deux ans il les dominait easy en haute montagne
Et faut pas se fier à sa mine impassible, il se met dans des états pas possibles aussi (cf. l’assistance respiratoire au Ventoux 2013, ou d’autres images de lui prostré après une arrivée au sommet, peinant à récupérer...)
Pour son niveau, il bataille surtout avec des coureurs qui n’ont pas le Tour dans les pattes, ne l’oublions pas. À part son Valverde chéri mais qui avait visiblement programmé d’être au top pour Vuelta -> Mondiaux plus que pour juillet !
Beaucoup de conclusions définitives et d’enterrements prématurés mais la Vuelta est loin d’etre finie, pour les autres mais aussi pour Quintana : je le crois capable de faire un bon chrono, une grosse dernière semaine, voire un feu d’artifice en Andorre et tous ses adversaires directs sont susceptibles de craquer un jour ou l’autre...
Mais bien sûr que Quintana est dans le dur à la fin de l'ascension. Mais il ne fait pas l'effort jusqu'à la ligne. Et on ne va pas me faire croire que s'il y avait eu 500m de plus, il n'arrivait pas au sommet.Richard a écrit : 10 sept. 2018, 01:36Mais il est cramé de chez cramé, Quintana là à l’arrivée, il fait ce qu’il peut surtout. Quand il peut sprinter il le fait hein.mazinho93 a écrit : 10 sept. 2018, 00:00
On a toujours l impression qu' il a frein à main
...au delà de ce style je trouve qu il régresse depuis deux ans ...il est passe de super crack à coureur qui bataille avec Lopez, yates, Pinot, etc....or il y a deux ans il les dominait easy en haute montagne
Et faut pas se fier à sa mine impassible, il se met dans des états pas possibles aussi (cf. l’assistance respiratoire au Ventoux 2013, ou d’autres images de lui prostré après une arrivée au sommet, peinant à récupérer...)
Pour son niveau, il bataille surtout avec des coureurs qui n’ont pas le Tour dans les pattes, ne l’oublions pas. À part son Valverde chéri mais qui avait visiblement programmé d’être au top pour Vuelta -> Mondiaux plus que pour juillet !
Beaucoup de conclusions définitives et d’enterrements prématurés mais la Vuelta est loin d’etre finie, pour les autres mais aussi pour Quintana : je le crois capable de faire un bon chrono, une grosse dernière semaine, voire un feu d’artifice en Andorre et tous ses adversaires directs sont susceptibles de craquer un jour ou l’autre...
.veji2 a écrit : 10 sept. 2018, 09:10 J'ai pas pu voir l'étape, j'ai regardé l'ascension finale et les itw d'arrivée plus tard, quelques marqueurs en ce qui me concerne :
- sur la vitesse de montée, Pinot dit que c'était vent de dos, ce qui l'a aidé une fois qu'il avait pu prendre ses 15 secondes. ça vaut ce que ça vaut mais ça ne change pas les observations que l'on a depuis le tour 2016 : de plus en plus de coureurs atteignent une sorte de plafond de verre de vitesse très haute sans pouvoir faire de différence. Perso je pense vraiment qu'il ya des choses à faire sur le matos... mais c'est un autre sujet.
- sur Gallopin, il est l'exemple typique de pourquoi des mecs se battent à mort y compris en faisant rouler leurs équipes, pour un top 10 : il a gagné une étape, il a jamais fait top 10 d'un GT, il sait qu'il ne peut pas jouer plus haut mais ce top 10 qui nous parait à nous un peu anecdotique serait presque un baton de maréchal pour lui.
- Quintana, plus les années passent moins je le comprends. Il est dur à lire déjà, mais alors quand il court comme ça... Le mec il ne doit avoir qu'un seul rival, qu'un seul but : passer devant Yates. Point le reste viendra si ça doit venir, mais s'il ne se concentre pas sur ce but il ne gagnera pas sa Vuelta.