Re: La Doyenne des Classiques Liège Bastogne Liège [UCI 1.WT][22 avril 2018]
Publié : 22 avr. 2018, 15:52
On prépare le sprint massif au sein du peloton
les trains sont en place et occupent toute la largeur de la route.

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Oui avec les arbres en fleurs, la région est magnifiqueLe sucre sportif a écrit : 22 avr. 2018, 15:50 Merci pour les précisions géographiques, c'est pas évident de s'y repérer avec toutes ces côtes, mais les paysages verts sont appréciables![]()
Pas de soucis Tucotuco a écrit : 22 avr. 2018, 15:46Alexstru a écrit : 22 avr. 2018, 15:35
Vous mélangez un peu tout !
-Difficultées condensées dans la finale: Bah non, LBL a des sacrés morceau bien avant. A la limite, on peut dire finale trop difficile.
-Comparaisons ridicules avec les flandriennes. Sur les flandriennes, les favoris peuvent faire des différences n'importe où. Et les plus fort dans les monts sont également les plus forts sur le plat. Ce qui leur permet de conserver et d'augmenter leur avance. Sur les Ardenaises, un trio magique Bardet/Nibali/Wellens qui attaque à 100km de l'arrivée n'a pas la moindre chance contre les équipiers rouleurs des autres leaders.
-Enfin, combien de courses se jouent a plus de 50km de l'arrivée? Probablement moins de 10%.
mais, Alex, je suis d'accord avec toi, mais dans ce cas, qu'on arrête avec "le peloton est super fort", quoi.
Dans velo mag, je lisais une itv de Valverde (ou, au passage,il cite Rebellin comme son adversaire le plus coriace sur les ardennaises) disait que le matos n'avait (je le cite) "plus rien à voir avec ses débuts".
Ses débuts, c'est 2002 ou 2003, c'est pas si loin. Donc voilà bon. Moi je suis prêt à accepter tout à fait que le peloton est plus dense de nos jours que dans les 70 ou 80, mais dénier le rôle du matos et tout foutre sur le dos de l'attentisme ou de la densité, je suis pas d'accord.
Il me semble que mon discours est nuancé puisque j'accepte les arguments adverses, donc voilà![]()
Alexstru a écrit : 22 avr. 2018, 15:54Pas de soucis Tucotuco a écrit : 22 avr. 2018, 15:46
mais, Alex, je suis d'accord avec toi, mais dans ce cas, qu'on arrête avec "le peloton est super fort", quoi.
Dans velo mag, je lisais une itv de Valverde (ou, au passage,il cite Rebellin comme son adversaire le plus coriace sur les ardennaises) disait que le matos n'avait (je le cite) "plus rien à voir avec ses débuts".
Ses débuts, c'est 2002 ou 2003, c'est pas si loin. Donc voilà bon. Moi je suis prêt à accepter tout à fait que le peloton est plus dense de nos jours que dans les 70 ou 80, mais dénier le rôle du matos et tout foutre sur le dos de l'attentisme ou de la densité, je suis pas d'accord.
Il me semble que mon discours est nuancé puisque j'accepte les arguments adverses, donc voilà![]()
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Mais je répète, pour moi, la plus grosse différence, c'est la capacité des leaders à rouler sur le plat et donc à entretenir leur échappée vu que les équipiers sont tellement plus fort qu'il y a 20 ou 30 ans.
Sagan/GVA/Terpstra, quand ils roulent à fond à plat, aucun groupe d'équipiers ne peut revenir sur eux.
Bernal sur le Giro, ça devient presque acté.
Je ne comprends pas pourquoi la redoute est autant escamoté chaque année.