Scheldeprijs / GP de l'Escaut - 1.HC - 04-04-2018

[OctaveLapize]

J'ai envie de dire, un mal pour un bien, Demare reste en un seul morceau pour PR qui est le vrai objectif, car faire les 20 derniers kms de l'Escaut en peloton dans ces conditions la, c'est jouer avec le feu.

Ils ont été exclus à 100 bornes de la fin. J'imagine qu'ils ont dû rallonger leur sortie par un entrainement...

[Orodreth]

C'etait pas plutôt les U23 sur Liège-Baston ?

Si. D'ailleurs le dernier coureur passe 5 secondes avant que le train arrive.

[Kivolanov_Volabov]

[samu_64]

Quelle puissance ce Jakobsen !!

[rbl85]

Voila une itv de Corentin Ermenault ou il parle (entre autre) du fameux passage a niveau
https://www.directvelo.com/actualite/65 ... vec-ma-vie

Voila ce qu'il dit par rapport a Demare ''Dans le groupe devant moi, j’ai vu quelques coureurs dont Arnaud Démare passer. Je le comprends : il n’allait quand même pas piler alors que ça s’est mis au rouge au moment où il s’engageait !''

[Richard]

Tony Martin

[_Rimini]

Merci pour l'interview d'Ermenault.
Du coup si je comprends bien ce qu'il explique le groupe Kittel était en tête et a passé sans encombre le passage à niveau. Ce sont donc ces 54 coureurs que l'on retrouve ensuite sur le direct télé.
Le groupe Demare / Groenewegen est arrivé au moment où ça passait au rouge et les coureurs ont été disqualifiés.
Et les autres groupes ont été bloqué et ont abandonné car ils se retrouvaient trop loin de la tête.

[Beobachter]

Voila une itv de Corentin Ermenault ou il parle (entre autre) du fameux passage a niveau
https://www.directvelo.com/actualite/65 ... vec-ma-vie

Voila ce qu'il dit par rapport a Demare ''Dans le groupe devant moi, j’ai vu quelques coureurs dont Arnaud Démare passer. Je le comprends : il n’allait quand même pas piler alors que ça s’est mis au rouge au moment où il s’engageait !''

C'est marrant ça, mais à un moment tous ces coureurs, ce serait sympa s'ils accordaient leurs versions. Là dans un tribunal, je ne vois pas comment ils pourraient s'en sortir.
Entre Démare qui dit qu'il ne pouvait pas deviner que le feu passait au rouge au moment où il était sur les rails et la version de Groenewegen pourtant dans le même groupe, il y a un monde

Groenewegen asserted that the leaders passed through as the lights began to flash and should have been removed from the race as well.

"We saw the lights flashing at the train crossing. There were about 10 to 15 seconds between us and the first group, and they were riding through it. Then it's hard to say, hey we'll stop because they rode through the flashing lights. Then the jury drove by to take us out of the race. It's a good call but it should've been the case for the first group, too."

[Lemon-Curry]

Non mais concrètement y'a une réglementation claire concernant ce type d'événements où c'est à la guise de la direction de course ? Je parle pas de traverser un passage à niveau fermé, ce qui mérite à mon avis disqualification... Non, je parle de ce qui arrive pour ceux qui ont respecté l'interdiction... mais qui apparemment se sont retrouvés hors-jeu malgré tout puisqu'il n'était pas question de les attendre. Ce qui d'une certaine manière, et malheureusement, donne raison à ceux qui ont transgressé le règlement, puisque hors-course pour hors-course autant tenté le coup.

Y'a nulle part un bout de règlement qui régit précisément ce genre de situation somme toute assez courante ? J'ai en souvenir un Cancellara gagnant Paris-Roubaix sur un passage à niveau en 2006 (pour être tout à fait honnête, il l'avait certainement déjà gagné mais ce genre de considération n'a pas à être prise en compte dans l'hypothétique règle dont il est question) et à contrario d'un directeur du tour arrêtant tout un peloton après que les échappés (Durand et Oriol) aient perdu une partie de leur avance au passage d'un train. (En 2001)

Alors okay on est dans deux cas de figure complètement différent, mais si le règlement ne spécifie pas à quel moment on arrête ou non tu m'étonne que certains préfèrent passer.

[Tony09*]

Il y avait les images et elles sont assez parlantes https://www.lequipe.fr/Cyclisme-sur-rou ... ite/889644
En effet Demare était en téte de ce second groupe, semble passer alors que le feu clignotait puis se retourne alors que les barrières retombent et scinde le groupe en deux.
Une fois encore ce n'est pas une affaire d'état, il a du finir sa journée avec 1h30 derrière voiture et l'essentiel c'est qu'il soit en bonne santé pour dimanche (ou on revient en france, et les passages à niveau ne risquent pas de nous embêter...)

[DanielH]

Se faire pincer par l'UCI à Krabbendijke, ça ne s'invente pas...

[davi]

Non mais concrètement y'a une réglementation claire concernant ce type d'événements où c'est à la guise de la direction de course ? Je parle pas de traverser un passage à niveau fermé, ce qui mérite à mon avis disqualification... Non, je parle de ce qui arrive pour ceux qui ont respecté l'interdiction... mais qui apparemment se sont retrouvés hors-jeu malgré tout puisqu'il n'était pas question de les attendre. Ce qui d'une certaine manière, et malheureusement, donne raison à ceux qui ont transgressé le règlement, puisque hors-course pour hors-course autant tenté le coup.

Y'a nulle part un bout de règlement qui régit précisément ce genre de situation somme toute assez courante ? J'ai en souvenir un Cancellara gagnant Paris-Roubaix sur un passage à niveau en 2006 (pour être tout à fait honnête, il l'avait certainement déjà gagné mais ce genre de considération n'a pas à être prise en compte dans l'hypothétique règle dont il est question) et à contrario d'un directeur du tour arrêtant tout un peloton après que les échappés (Durand et Oriol) aient perdu une partie de leur avance au passage d'un train. (En 2001)

Alors okay on est dans deux cas de figure complètement différent, mais si le règlement ne spécifie pas à quel moment on arrête ou non tu m'étonne que certains préfèrent passer.

Ce règlement existe bien sûr:
C'est priorité à l'offensive, donc en gros, si le groupe de tête est arrêté par le train et perd son avance, on la lui rend après ouverture des barrières.
Si c'est un groupe de poursuivants, quel qu'il soit, on ne fait pas arrêter le groupe précédent et ils perdent donc tout le temps passé derrière barrière.

[DanielH]

"Pour moi, cela peut continuer encore longtemps comme ça", a ironisé le patron des Quick-Step Floors Patrick Lefevere après la 24e victoire de son équipe signée Fabio Jakobsen, mercredi à l'arrivée du GP de l'Escaut (1. HC) à Schoten.
"Notre série est à la fois magnifique et sans concurrence mais en plus, ce sont de très belles victoires. La manière est chaque fois à la hauteur du résultat..."
La suite ?
"Je vous l'ai déjà dit, cela peut continuer comme ça. Maintenant, plus sérieusement, on ne voit jamais tellement plus loin que la prochaine course. Et justement, Paris-Roubaix s'annonce grandiose dimanche. Je me réjouis d'y être et de plus, sans aucun stress, vu qu'avec le tableau de chasse qui est le nôtre, on peut désormais voir venir. Il n'y a plus aucune obligation de victoire. Juste celle de se faire plaisir, même s'il s'agit bien sûr d'une course importante..."
Un regret, quand même ?
"Oui, le pneu crevé de Marcel Kittel (le roi du GP de l'Escaut avec cinq victoires, ndlr)", déplore Patrick Lefevere. "J'aurais vraiment aimé assister à un duel entre lui et notre jeune Fabio (Jakobsen) avenue Churchill. Cela aurait été fabuleux..."
Un petit mot sur le "débutant" danois Kasper Asgreen, enfin ?
"Il a déjà montré qu'il n'est pas n'importe qui", commente Lefevere, "plus d'une fois, même. C'est clair qu'il va nous apporter beaucoup de plaisir. Il s'intègre parfaitement à l'équipe et vice versa..."
Source: Belga

[DanielH]

Tiens, j'ignorais que Jakobsen se prénommait Fabio en hommage à Casartelli, décédé quelques jours avant sa naissance...

Fabio Jakobsen a remporté la classique des sprinters à 21 ans, comme le Britannique.
"Nos jeunes ont bien compris notre esprit d’équipe collectif", nous expliquait Rik Van Slycke, le directeur sportif de Quick Step, pour présenter ce Grand Prix de L’Escaut. Fabio Jakobsen en a apporté une nouvelle preuve, ce mercredi, en remportant l’épreuve. Au terme d’une course marquée par l’exclusion de 35 coureurs, dont des favoris comme Démare et Groenewegen, pour avoir franchi un passage à niveau en train de se fermer.
"J’avais vu avant le départ que j’étais placé en quatrième position sur un site de pari sportif : avec Démare et Groenewegen en moins, je me disais dès lors que je devais finir sur le podium !", sourit celui qui a remporté la classique des sprinters à 21 ans à peine, lors de sa première saison chez les pros. Comme un certain Mark Cavendish… "Oh, cela fait une fameuse comparaison", poursuit le Néerlandais. "Mark est un super-sprinter. J’espère gagner autant que lui. Et même faire mieux !"
Des propos qui montrent la grande ambition de celui qui vient de décrocher sa deuxième victoire en un mois, après s’être imposé à Nokere. "Je vis un rêve actuellement, je gagnais beaucoup chez les espoirs, mais de là à le faire si vite chez les pros, à ce niveau, c’est incroyable", explique-t-il. "Mais je suis dans une super-équipe. Elle a un énorme esprit collectif. C’était fort de voir dans le final Keisse ou Stybar bosser pour moi. Je ne dis pas que cela a été tout seul avec eux, surtout avec ce froid, mais j’étais vraiment bien lancé. Normalement, c’est Alvaro Hodeg qui devait me lancer, mais il a été victime d’un ennui mécanique dans le final. Chez Quick Step, nous roulons les uns pour les autres. J’avais lancé Alvaro lors de sa victoire à Handzame. Cette fois, c’était pour moi."
Jusqu’où ce jeune Néerlandais, dont le prénom Fabio vient de celui de Casartelli ("décédé juste avant ma naissance", précise-t-il), peut-il aller ? "Gagner l’Escaut, qui est le Championnat du Monde officieux des sprinters, est vraiment idéal pour la confiance", répond-il. "Je veux continuer à progresser, à franchir chaque année un nouveau pas. J’aime les pavés, les courses flamandes, mais je sais aussi que j’ai un atout avec mes jambes de sprinter. Je rêve donc de parvenir à gagner des étapes sur les Grands Tours. Y compris celui de France."
Lauréat de la 25e victoire de la saison déjà pour son équipe, il espère évidemment voir un de ses coéquipiers décrocher un nouveau succès, dimanche, sur les routes de Paris-Roubaix. "Ce serait magnifique si Stybar parvient à la décrocher", précise-t-il.

"Jakobsen est très ambitieux"
Dans le giron de la Quick-Step Floors, c’était encore une fois avec le sourire aux lèvres que le staff est venu parler à la presse. C’est peu dire que les hommes de Patrick Lefevere survolent le printemps.
Cette fois-ci, c’est la petite pépite Fabio Jakobsen qui s’est illustrée. "C’est un coureur qui connaît les polders et la région", glisse son directeur sportif, Wilfried Peeters. "Jakobsen est un jeune coureur très talentueux et qui avait envie de se montrer rapidement dans le peloton. Il est très ambitieux. Il s’est vite acclimaté à notre équipe et n’a pas hésité à faire la course ce mercredi."
Après Groenewegen, les Pays-Bas tiennent avec Jakobsen un autre coureur rapide de grand talent. Leur duel risque de faire saliver les supporters bataves dans les années à venir. "On avait convenu que sur l’Escaut, l’équipe allait jouer sa carte", renchérit Peeters. "Je ne sais pas si on peut le comparer à Groenewegen. Il est encore jeune et va progresser mais il ne passe pas trop mal les bosses. Puis, honnêtement, je savais qu’il avait de grandes qualités, mais le fait qu’il gagne si vite me surprend."

Julien Gillebert, DH

[Lemon-Curry]

Non mais concrètement y'a une réglementation claire concernant ce type d'événements où c'est à la guise de la direction de course ? Je parle pas de traverser un passage à niveau fermé, ce qui mérite à mon avis disqualification... Non, je parle de ce qui arrive pour ceux qui ont respecté l'interdiction... mais qui apparemment se sont retrouvés hors-jeu malgré tout puisqu'il n'était pas question de les attendre. Ce qui d'une certaine manière, et malheureusement, donne raison à ceux qui ont transgressé le règlement, puisque hors-course pour hors-course autant tenté le coup.

Y'a nulle part un bout de règlement qui régit précisément ce genre de situation somme toute assez courante ? J'ai en souvenir un Cancellara gagnant Paris-Roubaix sur un passage à niveau en 2006 (pour être tout à fait honnête, il l'avait certainement déjà gagné mais ce genre de considération n'a pas à être prise en compte dans l'hypothétique règle dont il est question) et à contrario d'un directeur du tour arrêtant tout un peloton après que les échappés (Durand et Oriol) aient perdu une partie de leur avance au passage d'un train. (En 2001)

Alors okay on est dans deux cas de figure complètement différent, mais si le règlement ne spécifie pas à quel moment on arrête ou non tu m'étonne que certains préfèrent passer.

Ce règlement existe bien sûr:
C'est priorité à l'offensive, donc en gros, si le groupe de tête est arrêté par le train et perd son avance, on la lui rend après ouverture des barrières.
Si c'est un groupe de poursuivants, quel qu'il soit, on ne fait pas arrêter le groupe précédent et ils perdent donc tout le temps passé derrière barrière.

Okay merci.

[CrocoboyMr0]

On comprend pourquoi Viviani était en larme pour une 2e place

[Nopik]

Il est descendu au 8e rang des sprinteurs de l'équipe

[CrocoboyMr0]

Et ce pauvre Gaviria qui fera une Vermote à son retour car il ne sera plus le leader passant derrière les 3 autres