
En si c est Pinot alors là aucun doute n est possible il est français

Modérateur : Modos VCN
Pour moi ça fait plusieurs années que ça re-grimpe à nouveau plus vite (pas toujours, cependant). Bardet avait déjà réalisé une trés grosse perf au Bettex, en 2016. Il y avait atteint les 444W pour 27'40 (et là, on était vraiment en 3è semaine) au terme d'une vraie étape de montagne, avec notamment la montée de La Bisanne. A l'époque, on râlait parce que ça n'attaquait pas. Mais si les gars ne bougeaient pas, c'est parce qu'ils ne pouvaient pas !! Ca montait trop vite.AlbatorConterdo a écrit : 10 août 2020, 18:51 Ok...donc on retrouve à nouveau depuis l'année dernière des valeurs pantano-armstrongiennes, y compris chez un coureur censé avoir une bonne réputation, mais tout va bien, en somme.![]()
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Ce serait quoi ta solution pour être certain de l'honnêteté de tous les coureurs ?AlbatorConterdo a écrit : 10 août 2020, 18:51 Ok...donc on retrouve à nouveau depuis l'année dernière des valeurs pantano-armstrongiennes, y compris chez un coureur censé avoir une bonne réputation, mais tout va bien, en somme.![]()
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Oui ou alors c'est pas du tout ça l'explication logique...AlbatorConterdo a écrit : 10 août 2020, 19:44 Si elle était simple à trouver, elle serait déjà appliquée, Runnz![]()
Par contre, voir ces chiffres revenir doucement aux seuils des années EPO, sans que finalement cela ne soulève beaucoup de questions dans le milieu, je ne trouve pas cela rassurant, voilà tout.
On n'a même pas de justifications - bidons ou pas - pour expliquer ce qu'il se passe, on n'en parle tout simplement pas.
En plus, ils ne sont pas 1 ou 2 coureurs à arriver à ces valeurs - et l'on pourrait dire alors que ce sont des exceptions, des phénomènes comme on en voit peu, non, ils sont plus nombreux...
en résumé : ça pue.
Hehe j'aime cette théoriebigdams38 a écrit : 10 août 2020, 19:55 Pour en revenir au tdf à venir, vous semble t il possible que Froome bluffe sur son niveau ?
Hypothèse farfelue mais supposons qu il pense que Dave B n osera pas l écarter compte tenu de son statut et de tout ce qu il a apporté.
Pourrait il faire le minimum syndical pour montrer qu il peut servir tout en représentant aucun danger pour Bernal, dans l idée de surprendre une fois la course lancée ?
Ça semble peut probable, il est certainement en retrait tout simplement mais s il avait perdu confiance dans le staff (ou/et le contraire), ça pourrait se concevoir![]()
La solution n'existe tout simplement pas à mon humble avis. Je souhaite simplement qu'il n'y ai pas un coureur de pointe qui profite plus que les autres.AlbatorConterdo a écrit : 10 août 2020, 19:44 Si elle était simple à trouver, elle serait déjà appliquée, Runnz![]()
Par contre, voir ces chiffres revenir doucement aux seuils des années EPO, sans que finalement cela ne soulève beaucoup de questions dans le milieu, je ne trouve pas cela rassurant, voilà tout.
On n'a même pas de justifications - bidons ou pas - pour expliquer ce qu'il se passe, on n'en parle tout simplement pas.
En plus, ils ne sont pas 1 ou 2 coureurs à arriver à ces valeurs - et l'on pourrait dire alors que ce sont des exceptions, des phénomènes comme on en voit peu, non, ils sont plus nombreux...
en résumé : ça pue.
Le final de l'étape du Pas de Peyrol est tellement dur qu'on verra forcément des écarts. Ce sera aussi l'étape du Tour avec le plus de dénivelé.biquet a écrit : 10 août 2020, 19:43 Une chose est certaine, pour moi: les meilleurs peuvent "sur-performer" 1 ou 2 fois au cours d'un GT, mais pas à chaque fois, contrairement à la période Armstrong. En 2016, par exemple, un Tour qui me rappelle un peu celui de cette année par l'étalement de ses difficultés, les coureurs ne s'étaient vraiment expliqué que lors de 2 étapes de montagne (je compte pas le Ventoux, qui était une simple CC perturbée par le vent): celle de Finhaut-Emosson et celle du Bettex. C'est lors de ces 2 montées qu'ils ont ouvert complètement la boite à Watts.
Et cette année, on peut se demander OU vont-ils la réouvrir. Y a que 2 étapes dont je suis à peu prés certain que les gars vont tout lâcher: l'étape de La Loze et le chrono de la Planche. Pour le reste, j'ai peur que tout le monde soit sur la retenue, même sur le Marie-Blanque et le Grand Colombier. Espérant me tromper, encore une fois. Mais ayant lu un Bernal affirmer que le podium ne se jouerait probablement que lors du chrono..![]()
L'hyperspécialisation, ou le fait que les coureurs aujourd'hui courent au millimètre, et font parfois plus de stages en montagne que de courses, ne peut pas expliquer en partie qu'ils puissent sortir de beaux chiffres ? Sans parler de l'hygiène de vie et des méthodes d'entrainement qui ont forcément augmenté en 25 ans. Et il y a quelques jours je me suis amusé à regarder certaines saisons de certains coureurs des années 90 sur PCS. La plupart des mecs n'arrêtaient jamais de courir, c'est à se demander parfois quand ils refaisaient du jus quand ils avaient une grande course en objectif.Nopik a écrit : 10 août 2020, 20:00Oui ou alors c'est pas du tout ça l'explication logique...AlbatorConterdo a écrit : 10 août 2020, 19:44 Si elle était simple à trouver, elle serait déjà appliquée, Runnz![]()
Par contre, voir ces chiffres revenir doucement aux seuils des années EPO, sans que finalement cela ne soulève beaucoup de questions dans le milieu, je ne trouve pas cela rassurant, voilà tout.
On n'a même pas de justifications - bidons ou pas - pour expliquer ce qu'il se passe, on n'en parle tout simplement pas.
En plus, ils ne sont pas 1 ou 2 coureurs à arriver à ces valeurs - et l'on pourrait dire alors que ce sont des exceptions, des phénomènes comme on en voit peu, non, ils sont plus nombreux...
en résumé : ça pue.
Si tous les leaders y arrivent, près de 20 ans après les autres, c'est peut être tout simplement qu'il y a eu une progression.
Mais le Pas de Peyrol, c'est court. C'est d'ailleurs l'avantage des arrivées en Muritos, avec 2 ou 3 bornes trés pentus: les gars sont obligés de "s'envoyer" pratiquement dès le pied du Mur, y a beaucoup moins de calcul et parfois plus d'écart qu'au terme d'un col "classique".marooned a écrit : 10 août 2020, 20:18Le final de l'étape du Pas de Peyrol est tellement dur qu'on verra forcément des écarts. Ce sera aussi l'étape du Tour avec le plus de dénivelé.biquet a écrit : 10 août 2020, 19:43 Une chose est certaine, pour moi: les meilleurs peuvent "sur-performer" 1 ou 2 fois au cours d'un GT, mais pas à chaque fois, contrairement à la période Armstrong. En 2016, par exemple, un Tour qui me rappelle un peu celui de cette année par l'étalement de ses difficultés, les coureurs ne s'étaient vraiment expliqué que lors de 2 étapes de montagne (je compte pas le Ventoux, qui était une simple CC perturbée par le vent): celle de Finhaut-Emosson et celle du Bettex. C'est lors de ces 2 montées qu'ils ont ouvert complètement la boite à Watts.
Et cette année, on peut se demander OU vont-ils la réouvrir. Y a que 2 étapes dont je suis à peu prés certain que les gars vont tout lâcher: l'étape de La Loze et le chrono de la Planche. Pour le reste, j'ai peur que tout le monde soit sur la retenue, même sur le Marie-Blanque et le Grand Colombier. Espérant me tromper, encore une fois. Mais ayant lu un Bernal affirmer que le podium ne se jouerait probablement que lors du chrono..![]()
Le Grand Colombier, c'est la veille d'une journée de repos donc on peut aussi espérer que les coureurs lâchent les chevaux à ce moment là.
Le col de la Loze, bon ben là c'est clair.
Et je crois beaucoup au potentiel de l'étape de La-Roche-sur-Foron. Belle étape toboggan en fin de Tour avec un col très dur dans le final. Certains tenteront sans doute le tout pour le tout.
Le Pas de Peyrol est court mais il est précédé du col de Neronne (court mais difficile lui aussi). C'est donc un final avec deux montées pentues séparées d'un petit replat.biquet a écrit : 10 août 2020, 21:08Mais le Pas de Peyrol, c'est court. C'est d'ailleurs l'avantage des arrivées en Muritos, avec 2 ou 3 bornes trés pentus: les gars sont obligés de "s'envoyer" pratiquement dès le pied du Mur, y a beaucoup moins de calcul et parfois plus d'écart qu'au terme d'un col "classique".marooned a écrit : 10 août 2020, 20:18
Le final de l'étape du Pas de Peyrol est tellement dur qu'on verra forcément des écarts. Ce sera aussi l'étape du Tour avec le plus de dénivelé.
Le Grand Colombier, c'est la veille d'une journée de repos donc on peut aussi espérer que les coureurs lâchent les chevaux à ce moment là.
Le col de la Loze, bon ben là c'est clair.
Et je crois beaucoup au potentiel de l'étape de La-Roche-sur-Foron. Belle étape toboggan en fin de Tour avec un col très dur dans le final. Certains tenteront sans doute le tout pour le tout.
Pour moi c'est le premier rendez-vous du Tour.marooned a écrit : 10 août 2020, 22:07Le Pas de Peyrol est court mais il est précédé du col de Neronne (court mais difficile lui aussi). C'est donc un final avec deux montées pentues séparées d'un petit replat.biquet a écrit : 10 août 2020, 21:08
Mais le Pas de Peyrol, c'est court. C'est d'ailleurs l'avantage des arrivées en Muritos, avec 2 ou 3 bornes trés pentus: les gars sont obligés de "s'envoyer" pratiquement dès le pied du Mur, y a beaucoup moins de calcul et parfois plus d'écart qu'au terme d'un col "classique".
Col de Ceyssat : 10,2km à 6,1%
Col de Guéry : 7,8km à 5%
Côte de la Stèle : 6,8km à 5,7%
Côte de l'Estiade : 3,7km à 6,9%
Côte d'Anglards-de-Salers : 3,5km à 6,9%
Col de Neronne : 3,8km à 9,1%
Pas de Peyrol : 5,4km à 8,1%
C'est une très belle étape de moyenne montagne. Les coureurs seront en prise toute la journée. C'est un peu la même étape que celle de Saint-Etienne l'année dernière mais avec un final beaucoup plus difficile. C'est sûr que certains leaders perdront du temps.
interdire la compétitionrunnz a écrit : 10 août 2020, 19:13Ce serait quoi ta solution pour être certain de l'honnêteté de tous les coureurs ?AlbatorConterdo a écrit : 10 août 2020, 18:51 Ok...donc on retrouve à nouveau depuis l'année dernière des valeurs pantano-armstrongiennes, y compris chez un coureur censé avoir une bonne réputation, mais tout va bien, en somme.![]()
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