Oui mais il aurait aussi pu prendre une décision différente avec une décla genre "pour la sérénité des courses et de l'étude de mon cas, je m'abstiens, souhaitant que ce soit résolu le plus vite possible pour que je puisse courir quand même en prépa en vue du Giro, j'ai toute confiance dans l'UCI etc. pour que mon innocence soit reconnue etc.".On3 a écrit : 05 févr. 2018, 15:22 Faut pas oublier que toute la défense de Froome est basée sur l'innocence.
Il n'a rien fait de mal, son corps a mal métabolisé un produit qu'il prend pour se soigner, c'est un exemple pour tous les asthmatiques du monde ...
Du coup, il n'a aucune raison de s'auto-suspendre, il est blanc comme neige et vertueux. Donc je pense qu'il est bien au-delà de l'insulte ou de l'irrespect (je ne pense même pas que ça l'ait effleuré), il ne peut pas ne pas courir.![]()
Et il continuait à s'entraîner comme un débile en attendant.
Là tout le monde a bien compris qu'il est enfermé dans son jusqu'auboutisme, on peut juger que c'est presque en sa défaveur de continuer à recourir, (dans l'opinion et même aux yeux des enquêteurs), ça donne l'image du gars prêt à tout pour gratter ce qu'il peut, n'ayant aucune décence ni conscience des enjeux, alors qu'il est anormal que depuis 4 mois et demi il n'ait pu donner aucune raison convaincante pour être blanchi de ce dont on l'accuse.
Vous me direz que ç'aurait été interprété comme un aveu, peut-être, mais il aurait pu faire ce pari qu'on lui en fasse crédit, à la fois dans l'opinion et dans sa bataille judiciaire.
Sans que ce soit forcément établi comme une auto-suspension, (il a d'ailleurs techniquement recouru depuis la notification de son contrôle puisqu'il en a été informé le matin même du chrono de Bergen, mais si j'ai bien compris c'était possiblement seulement l'échantillon A, le B ayant confirmé par la suite - l'auto-suspension doit prendre effet à partir de la phase post-confirmation par l'échantillon B j'imagine) il aurait aussi pu envisager de s'abstenir tout simplement...