Rio 2016 : La course en ligne. (06/08/2016)
Publié : 06 août 2016, 07:22
TOUT SAUF UN IBERATON
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Mais là, y aurait rien à redire, c'est la course qui devrait imposer cette tactique. A partir du moment ou les espagnols seront en surnombre (ils devraient être 3) et qu'ils ont le coureur le plus rapide dans leur équipe (Valverde), les 2 autres auront seulement 2 possibilités:chrisroyer a écrit :TOUT SAUF UN IBERATON
La réputation de piètre rouleur de Rodriguez dans le final de courses difficiles, j'ai l'impression que tu la surestimes grandement. Quand il était encore équipier de Valverde à la Caisse d'Epargne, il était largement capable de tenir les attaquants en respect dans le final de la Flèche ou de LBL.biquet a écrit :Mais là, y aurait rien à redire, c'est la course qui devrait imposer cette tactique. A partir du moment ou les espagnols seront en surnombre (ils devraient être 3) et qu'ils ont le coureur le plus rapide dans leur équipe (Valverde), les 2 autres auront seulement 2 possibilités:chrisroyer a écrit :TOUT SAUF UN IBERATON
1 Tenter de contrôler toutes les attaques en imposant un train ultra-rapide dans les 15 derniers km, à la manière des équipes de sprinters, ce qui me parait totalement impossible (surtout avec un piètre rouleur comme Purito)
2 Ou alors prendre les coups et ratonner pour enterrer ces tentatives , ce qui me parait, et de loin, la meilleure tactique
Comme ils l'avaient fait en 2008, en fait. Et si les autres ne veulent pas rouler en emmenant un Izagirre ou un Rodriguez dans leurs roues, ça pourrait favoriser le sprint final de Valverde.
C'est la course, quoi.
Rien à voir. Le final de la Flèche et Liège ne proposaient pas 12km de plat, le terrain était bien différent. Et surtout, avant les montées finales ( côte d'Ans et Mur de Huy), ça sortait pas dans tous les sens, les coureurs se réservant pour l'ascension emmenant jusqu'à l'arrivée.papou06 a écrit :La réputation de piètre rouleur de Rodriguez dans le final de courses difficiles, j'ai l'impression que tu la surestimes grandement. Quand il était encore équipier de Valverde à la Caisse d'Epargne, il était largement capable de tenir les attaquants en respect dans le final de la Flèche ou de LBL.biquet a écrit :Mais là, y aurait rien à redire, c'est la course qui devrait imposer cette tactique. A partir du moment ou les espagnols seront en surnombre (ils devraient être 3) et qu'ils ont le coureur le plus rapide dans leur équipe (Valverde), les 2 autres auront seulement 2 possibilités:chrisroyer a écrit :TOUT SAUF UN IBERATON
1 Tenter de contrôler toutes les attaques en imposant un train ultra-rapide dans les 15 derniers km, à la manière des équipes de sprinters, ce qui me parait totalement impossible (surtout avec un piètre rouleur comme Purito)
2 Ou alors prendre les coups et ratonner pour enterrer ces tentatives , ce qui me parait, et de loin, la meilleure tactique
Comme ils l'avaient fait en 2008, en fait. Et si les autres ne veulent pas rouler en emmenant un Izagirre ou un Rodriguez dans leurs roues, ça pourrait favoriser le sprint final de Valverde.
C'est la course, quoi.
20h30 - 21hMickaelKael11 a écrit :Arrivé prévue pour ?
Merci
Je n'ai jamais dit que les 2 espagnols arriveraient à tout contrôler. Je dis juste qu'à la fin d'une course longue et difficile, Purito est loin d'être le coureur que tu nous décris, qui perdrait du temps sur Mollema au moindre relais et qui serait un boulet plus qu'un atout pour chasser une échappée.biquet a écrit :Rien à voir. Le final de la Flèche et Liège ne proposaient pas 12km de plat, le terrain était bien différent. Et surtout, avant les montées finales ( côte d'Ans et Mur de Huy), ça sortait pas dans tous les sens, les coureurs se réservant pour l'ascension emmenant jusqu'à l'arrivée.papou06 a écrit :La réputation de piètre rouleur de Rodriguez dans le final de courses difficiles, j'ai l'impression que tu la surestimes grandement. Quand il était encore équipier de Valverde à la Caisse d'Epargne, il était largement capable de tenir les attaquants en respect dans le final de la Flèche ou de LBL.biquet a écrit : Mais là, y aurait rien à redire, c'est la course qui devrait imposer cette tactique. A partir du moment ou les espagnols seront en surnombre (ils devraient être 3) et qu'ils ont le coureur le plus rapide dans leur équipe (Valverde), les 2 autres auront seulement 2 possibilités:
1 Tenter de contrôler toutes les attaques en imposant un train ultra-rapide dans les 15 derniers km, à la manière des équipes de sprinters, ce qui me parait totalement impossible (surtout avec un piètre rouleur comme Purito)
2 Ou alors prendre les coups et ratonner pour enterrer ces tentatives , ce qui me parait, et de loin, la meilleure tactique
Comme ils l'avaient fait en 2008, en fait. Et si les autres ne veulent pas rouler en emmenant un Izagirre ou un Rodriguez dans leurs roues, ça pourrait favoriser le sprint final de Valverde.
C'est la course, quoi.
Jamais Izagirre et Purito ne pourront tout régenter dans la longue partie plane d'arrivée, si des échappés parviennent à s'entendre à un moment ou un autre.