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J'ai bien trouvé un mec de 60 ans avec un maillot Movistar, mais je ne crois pas que c'est lui : http://www.be-celt.com/wp-content/uploa ... quita-.jpgdolipr4ne a écrit : 19 juil. 2019, 12:29 Quelqu’un peut me retrouver les photos des cyclistes vieillis svp?
Il me faudrait celle de Valverde, c’est pour faire chier un pote
Si tu cherches toujours :dolipr4ne a écrit :Quelqu’un peut me retrouver les photos des cyclistes vieillis svp?
Il me faudrait celle de Valverde, c’est pour faire chier un pote
=> il a été dit (et confirmé par 2-3 coureurs) que Dennis attendait du changement sur le materiel et une nouvelle combi. Il a réclamé plusieurs fois et apparemment il n'a pas été écouté. Il aurait reçu une nouvelle combi non satisfaisante le matin de son abandon. (Après, il semble aussi assez capricieux comme gars).Un cycliste a disparu du Tour de France, et personne n’a compris pourquoi. L’Australien Rohan Dennis a mis pied à terre au 93e kilomètre de la douzième étape entre Toulouse et Bagnères-de-Bigorre (Hautes-Pyrénées), jeudi 18 juillet, alors qu’il était en forme, qu’il n’avait pas chuté, et que se profilait, le lendemain à Pau, un contre-la-montre qu’il avait des chances de remporter, lui, le champion du monde de la discipline. Un abandon rarissime, et bien mystérieux.
Les jours ont passé, sans que n’émerge d’explication plus claire que celle du coureur le soir même : « Je suis très déçu de quitter la course, mais étant donné mon sentiment actuel, c’était la bonne décision. » « C’est une situation très compliquée et très sensible, il n’y a pas qu’une raison, il s’agit plutôt d’une accumulation de choses, précise un dirigeant de son équipe, Bahrain-Merida, le lendemain. J’ai passé du temps avec Rohan hier soir, il souhaite avant tout se retrouver et se remettre. »
Ah oui en effet, je me rends compte qu'il faut un abonnement pour lire l'article en intégralité, dsl.Nopik a écrit : 25 juil. 2019, 10:07 Peut être mais c'est bloqué.
Et le début me laisse dubitatif=> il a été dit (et confirmé par 2-3 coureurs) que Dennis attendait du changement sur le materiel et une nouvelle combi. Il a réclamé plusieurs fois et apparemment il n'a pas été écouté. Il aurait reçu une nouvelle combi non satisfaisante le matin de son abandon. (Après, il semble aussi assez capricieux comme gars).Un cycliste a disparu du Tour de France, et personne n’a compris pourquoi. L’Australien Rohan Dennis a mis pied à terre au 93e kilomètre de la douzième étape entre Toulouse et Bagnères-de-Bigorre (Hautes-Pyrénées), jeudi 18 juillet, alors qu’il était en forme, qu’il n’avait pas chuté, et que se profilait, le lendemain à Pau, un contre-la-montre qu’il avait des chances de remporter, lui, le champion du monde de la discipline. Un abandon rarissime, et bien mystérieux.
Les jours ont passé, sans que n’émerge d’explication plus claire que celle du coureur le soir même : « Je suis très déçu de quitter la course, mais étant donné mon sentiment actuel, c’était la bonne décision. » « C’est une situation très compliquée et très sensible, il n’y a pas qu’une raison, il s’agit plutôt d’une accumulation de choses, précise un dirigeant de son équipe, Bahrain-Merida, le lendemain. J’ai passé du temps avec Rohan hier soir, il souhaite avant tout se retrouver et se remettre. »
Mais en tout cas, je ne vois pas trop ce que son nom vient faire dans une histoire de burn out...
Pour G. Martin :« Maintenant, tu t’entraînes avec un capteur de puissance qui enregistre ta cadence de pédalage, ton rythme cardiaque, tes watts, etc. Les mecs pèsent leurs carbohydrates [glucides] et leurs lipides, ils font des stages d’un mois en altitude en Sierra Nevada où y a que dalle, même pas le Wi-Fi, ils dorment dans des tentes hypoxiques, on dirait des mecs en phase terminale d’un cancer. Et pendant ce temps, tu loupes les premiers pas de ton gamin. Si c’est pour améliorer la performance, très bien. Mais l’équilibre, et le bonheur ? Beaucoup de coureurs, même parmi l’élite, sont mal dans leur peau. J’en connais, y compris dans le Top 20 mondial, qui sont obligés de prendre des somnifères pour dormir, mais aussi des trucs type Prozac »
« Certains ont un sentiment de perte de sens. Quand on est dans le truc, on a l’impression que gagner une étape sur le Tour de France, c’est une question de vie ou de mort. Au bout du compte, si on remet les choses en perspective, on peut se dire : à quoi bon ? La majorité du peloton s’accommode volontiers de la dureté du métier, mais « plein de coureurs sont sur un fil. Certains sont à la limite de l’alcoolisme, certains ont besoin de plein de caféine le matin pour se réveiller, sans parler de choses un peu plus fortes – qui ne sont pas faites pour améliorer les performances. » Le snus par exemple, tabac à chiquer qu’on se met sous la lèvre, et qui met dans un état de bien-être somnolent. « Beaucoup prennent ça après l’étape. »
Un gars qui claque la porte de son boulot la veille d'une échéance très importante pour lui en estimant que son employeur ne lui donne pas les moyens de réaliser les objectifs qu'il lui a fixé. Je pense au contraire qu'on n'est pas si loin du burn out.Nopik a écrit : 25 juil. 2019, 10:07 Peut être mais c'est bloqué.
Et le début me laisse dubitatif=> il a été dit (et confirmé par 2-3 coureurs) que Dennis attendait du changement sur le materiel et une nouvelle combi. Il a réclamé plusieurs fois et apparemment il n'a pas été écouté. Il aurait reçu une nouvelle combi non satisfaisante le matin de son abandon. (Après, il semble aussi assez capricieux comme gars).Un cycliste a disparu du Tour de France, et personne n’a compris pourquoi. L’Australien Rohan Dennis a mis pied à terre au 93e kilomètre de la douzième étape entre Toulouse et Bagnères-de-Bigorre (Hautes-Pyrénées), jeudi 18 juillet, alors qu’il était en forme, qu’il n’avait pas chuté, et que se profilait, le lendemain à Pau, un contre-la-montre qu’il avait des chances de remporter, lui, le champion du monde de la discipline. Un abandon rarissime, et bien mystérieux.
Les jours ont passé, sans que n’émerge d’explication plus claire que celle du coureur le soir même : « Je suis très déçu de quitter la course, mais étant donné mon sentiment actuel, c’était la bonne décision. » « C’est une situation très compliquée et très sensible, il n’y a pas qu’une raison, il s’agit plutôt d’une accumulation de choses, précise un dirigeant de son équipe, Bahrain-Merida, le lendemain. J’ai passé du temps avec Rohan hier soir, il souhaite avant tout se retrouver et se remettre. »
Mais en tout cas, je ne vois pas trop ce que son nom vient faire dans une histoire de burn out...
C'est juste une variante un peu fun du triathlon : Tu commences en vélo, tu continues à la nage puis tu essaies de poursuivre à pied si tu peux.mc-enroe31 a écrit : 29 juil. 2019, 19:22 En Catalogne, ils n'annulent pas quand il y a le déluge!
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J'ai vu que Tonton Johan avait réagi...
