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La grande dépression du cyclisme italien

Publié : 01 oct. 2016, 18:42
par pascualito
Perso moi je dirais Moscon et pour un neo pro c'est vachement inquiétant, que ce soit qui porte les espoirs des tifosi...

La grande dépression du cyclisme italien

Publié : 01 oct. 2016, 18:49
par papou06
Ulissi et Colbrelli font également une très bonne saison à leur niveau.

La grande dépression du cyclisme italien

Publié : 01 oct. 2016, 19:02
par _AlbatorConterdo
papou06 a écrit :Ulissi et Colbrelli font également une très bonne saison[b:6vezvpcc] à leur niveau[/b:6vezvpcc].
Nous sommes d'accord. :jap:

La grande dépression du cyclisme italien

Publié : 01 oct. 2016, 19:04
par pascualito
D'ailleurs Ulissi en finissant 22ème, réalise son meilleur résultat sur le Lombardia :blink:

La grande dépression du cyclisme italien

Publié : 01 oct. 2016, 19:16
par pascualito
Rosa est fait pour la classique Paris Bordeaux.

La grande dépression du cyclisme italien

Publié : 01 oct. 2016, 19:34
par pascualito
Villella un talent avec la tète de Balotelli...

La grande dépression du cyclisme italien

Publié : 01 oct. 2016, 22:54
par pascualito
Bon après la petite déception de la fin d'après-midi, que retenir de la saison des coureurs italiens ? :hmm:

La première chose pour moi se situe au niveau des jeunes qui contrairement à d'autre pays, n'arrivent pas à devenir compétitif assez vite, ce qui peut vite les rendre obsolète.

Ensuite la formation qui ne sort plus aucun grimpeur compétitif depuis x années. L'Italie se retrouve roi du puncheur qui s'accompagne de sa petite pointe de vitesse.
Plus de grand sprinter, Quid de la formation sur la piste?

La disparition de la dernière équipe italienne en WT, dans ce sens un Nibali n'aurait t-il pas pu essayer de convaincre les sponsors de le suivre dans une nouvelle aventure (s'il avait ça il serait remonté dans mon estime)?

Quid de la distance sur les courses de jeunes en Italie?
Des italiens qui sortent trop peu du territoire pour affronter les meilleurs étrangers?

L'envie de se faire mal ne fait plus partie du vocabulaire du jeune cycliste italien ce qui l'amène à s'éloigner des courses pavés. Quand les cuisses commencent à brûler c'est là que le plus intéressant commence.

Après niveau individualité rien de bien folichon à retenir, dans cette incapacité bien italienne à ne pas arriver à enchaîner deux saisons correctes...

Bon lançons nous, parlons des leaders surtout des kazaks.

Nibali: foutage de gueule non contrôlé.

Aru: futur domestique d'un colombien.

Après honnêtement on parle tellement d'eux que je ne sais plus qui il y a d'autre dans la famille du cyclisme italien, je devrais demander à Beppe.

On m'informe que Beppe est plongé dans le marché des transferts et apparemment Moreno Moser serai proche de signer chez DD.

Ah oui j'oubliais de parler de l'exploit de la saison lors de la victoire de Nizzolo sur les championnats :italy: sur route.

Restons sérieux et revenons à nos moutons, l'évaluation des coureurs :

- Ulissi: dans la continuité, meilleur puncheur du monde en mai, trop fragile dans les monuments, se fait quand même son palmarès.

- Colbrelli: le Matthews à l'italienne, sa limite se situe sur une course comme l'Amstel. Il doit encore gagner au niveau WT, pour passer ce dernier petit cap.

- Moscon: saison convenable, semble s'orienter vers un type 4*4.

- Nizzolo: il gagne, que pouvez-vous lui demander de plus?

- Felline: revient bien en fin de saison, mais avant sa chute de l'Amstel son début de saison n'était pas terrible.

-Rosa: Aru who? ClassiQue, classique. Je roule pour moi, je roule pour moi!

- Ciccone: bon grimpeur, bon puncheur, il faudra confirmer l'an prochain (à voir niveau santé).

- Gasparotto: le vainqueur de classique italien, retour prévu en 2020.

- Pozzato: pas mal son dernier tatouage.

- Bettiol: la surprise de seconde partie de saison et moi j'adore, plus qu'à confirmer l'an prochain.

- Moser: puncheur puis rouleur puis baroudeur un autre jour, difficile à cerner le neveux de Francesco.

Bref niveau coureur j'ai le tour, le reste des équipiers qui font très bien leur boulot pour la plupart (Oss, Bennati, Quinziato, Tosatto, Formolo,...).

La grande dépression du cyclisme italien

Publié : 01 oct. 2016, 23:09
par _AlbatorConterdo
On pourrait utiliser ce que tu avais fait là pour tirer un bilan :
pascualito a écrit :[align=center:310n2gt4][u:310n2gt4][b:310n2gt4]Bilan saison 2016 [/size:310n2gt4][/b:310n2gt4][/u:310n2gt4][/align:310n2gt4]

En ouverture de la saison 2016, les espoirs reposaient sur les épaules du duo de chez Astana Nibali/ Aru. Fin 2015 revigoré par la première victoire sur un monument depuis 7 ans, nous espérions enfin trouver un coureur capable de briller tout au long de l'année sur ce type d'épreuve.

1) Les GT

2) Les classiques
a) Les flandriennes
b) Les ardennaises

3) Les coures à étapes d'une semaine

4) Le reste (SSR)

5) Les leaders

6) Les espoirs

7) Les équipes italiennes

8 ) Le futur

La grande dépression du cyclisme italien

Publié : 02 oct. 2016, 00:38
par marooned
pascualito a écrit :Bref niveau coureur j'ai le tour, le reste des équipiers qui font très bien leur boulot pour la plupart (Oss, Bennati, Quinziato, Tosatto, Formolo,...).
Il y a un coureur que tu as complétement zappé et qui a fait une belle saison, c'est Brambilla.

La grande dépression du cyclisme italien

Publié : 02 oct. 2016, 07:06
par Mancebo82
marooned2 a écrit :
pascualito a écrit :Bref niveau coureur j'ai le tour, le reste des équipiers qui font très bien leur boulot pour la plupart (Oss, Bennati, Quinziato, Tosatto, Formolo,...).
Il y a un coureur que tu as complétement zappé et qui a fait une belle saison, c'est Brambilla.
Visconti a réalisé une super saison également !

Francesco Gavazzi aussi à son niveau.

La grande dépression du cyclisme italien

Publié : 02 oct. 2016, 08:46
par MiguelDelgado2
pascualito a écrit :Bon après la petite déception de la fin d'après-midi, que retenir de la saison des coureurs italiens ? :hmm:

La première chose pour moi se situe au niveau des jeunes qui contrairement à d'autre pays, n'arrivent pas à devenir compétitif assez vite, ce qui peut vite les rendre obsolète.

Ensuite la formation qui ne sort plus aucun grimpeur compétitif depuis x années. L'Italie se retrouve roi du puncheur qui s'accompagne de sa petite pointe de vitesse.
Plus de grand sprinter, Quid de la formation sur la piste?

La disparition de la dernière équipe italienne en WT, dans ce sens un Nibali n'aurait t-il pas pu essayer de convaincre les sponsors de le suivre dans une nouvelle aventure (s'il avait ça il serait remonté dans mon estime)?

Quid de la distance sur les courses de jeunes en Italie?
Des italiens qui sortent trop peu du territoire pour affronter les meilleurs étrangers?

L'envie de se faire mal ne fait plus partie du vocabulaire du jeune cycliste italien ce qui l'amène à s'éloigner des courses pavés. Quand les cuisses commencent à brûler c'est là que le plus intéressant commence.

Après niveau individualité rien de bien folichon à retenir, dans cette incapacité bien italienne à ne pas arriver à enchaîner deux saisons correctes...

Bon lançons nous, parlons des leaders surtout des kazaks.

Nibali: foutage de gueule non contrôlé.

Aru: futur domestique d'un colombien.

Après honnêtement on parle tellement d'eux que je ne sais plus qui il y a d'autre dans la famille du cyclisme italien, je devrais demander à Beppe.

On m'informe que Beppe est plongé dans le marché des transferts et apparemment Moreno Moser serai proche de signer chez DD.

Ah oui j'oubliais de parler de l'exploit de la saison lors de la victoire de Nizzolo sur les championnats :italy: sur route.

Restons sérieux et revenons à nos moutons, l'évaluation des coureurs :

- Ulissi: dans la continuité, meilleur puncheur du monde en mai, trop fragile dans les monuments, se fait quand même son palmarès.

- Colbrelli: le Matthews à l'italienne, sa limite se situe sur une course comme l'Amstel. Il doit encore gagner au niveau WT, pour passer ce dernier petit cap.

- Moscon: saison convenable, semble s'orienter vers un type 4*4.

- Nizzolo: il gagne, que pouvez-vous lui demander de plus?

- Felline: revient bien en fin de saison, mais avant sa chute de l'Amstel son début de saison n'était pas terrible.

-Rosa: Aru who? ClassiQue, classique. Je roule pour moi, je roule pour moi!

- Ciccone: bon grimpeur, bon puncheur, il faudra confirmer l'an prochain (à voir niveau santé).

- Gasparotto: le vainqueur de classique italien, retour prévu en 2020.

- Pozzato: pas mal son dernier tatouage.

- Bettiol: la surprise de seconde partie de saison et moi j'adore, plus qu'à confirmer l'an prochain.

- Moser: puncheur puis rouleur puis baroudeur un autre jour, difficile à cerner le neveux de Francesco.

Bref niveau coureur j'ai le tour, le reste des équipiers qui font très bien leur boulot pour la plupart (Oss, Bennati, Quinziato, Tosatto, Formolo,...).
Concernant le cyclisme italien, je ne pense pas que la crise vienne des coureurs (individuellement très bons cette année) mais plutôt des équipes italiennes qui ont pratiquement disparues en WT.
Dans ces conditions, l'éclosion est forcément perturbée et/ou retardée, et pour les meilleurs, les difficultés proviennent de la diaspora imposée.
Les italiens sont moins protégés dans des équipes étrangères, là où ils étaient chouchoutés il y a 15 ou 20 ans par des staffs italiens...

La grande dépression du cyclisme italien

Publié : 06 oct. 2016, 17:45
par pascualito
[align=center]Les coureurs italiens [/align]

Leaders GT:

Vincenzo Nibali
Fabio Aru

Grimpeurs:

Giulio Ciccone
Domenico Pozzovivo
Davide Formolo
Franco Pellizotti
Edward Ravasi
Francesco Manuel Bongiorno
Luca Chirico
Manuel Senni
Edoardo Zardini

Puncheurs:

Manuele Mori
Matteo Bono
Diego Ulissi
Giovanni Visconti
Enrico Gasparotto
Marco Marcato
Davide Rebellin
Davide Villella
Oscar Gatto
Rinaldo Nocentini
Marco Canola
Gianfranco Zilioli
Simone Andreetta



Sprinteurs purs:

Giacomo Nizzolo
Sacha Modolo
Jakub Mareczko
Manuel Belletti
Elia Viviani
Nicolas Marini
Nicola Ruffoni
Andrea Guardini
Andrea Pasqualon
Daniele Colli
Riccardo Stacchiotti
Marco Benfatto
Marco Zanotti
Roberto Ferrari
Davide Vigano
Alberto Cecchin
Paolo Simion
Matteo Pelucchi
Danilo Napolitano
Mirco Maestri
Filippo Fortin
Francesco Chicchi

Sprinteurs endurants (classiques):

Sonny Colbrelli
Matteo Trentin
Niccolo Bonifazio

Sprinteurs/ puncheurs:

Francesco Gavazzi
Andrea Palini
Kristian Sbaragli
Davide Cimolai
Enrico Battaglin
Davide Martinelli
Simone Ponzi
Marco Tizza
Enrico Barbin
Simone Velasco
Lorenzo Rota
Simone Consonni


Baroudeurs:

Gianluca Brambilla
Matteo Montaguti
Alessandro De Marchi
Stefano Pirazzi
Cesare Benedetti


Coureurs complets:

Gianni Moscon
Fabio Felline
Diego Rosa
Mauro Finetto
Luca Wackermann

Flandriens:

Federico Zurlo


Classicmen:

Alberto Bettiol
Andrea Fedi
Filippo Pozzato
Vincenzo Albanese

Rouleurs:

Moreno Moser
Manuele Boaro
Filippo Ganna

Équipiers:

Daniele Bennati
Damiano Caruso
Michele Scarponi
Matteo Busato
Dario Cataldo
Daniel Oss
Valério Conti
Manuel Quinziato
Salvatore Puccio
Damiano Cunego
Jacopo Guarnieri
Marco Frapporti
Marco Coledan
Mattia Cattaneo
Davide Malacarne
Fabio SAbatini
Nicola Boem
Simone Petilli
Eros Capecchi

La grande dépression du cyclisme italien

Publié : 07 oct. 2016, 21:26
par pascualito
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:whistle: :whistle:

La grande dépression du cyclisme italien

Publié : 16 oct. 2016, 22:51
par Nonoms
Cassani dans l'attente d'une greffe de cerveau.

La grande dépression du cyclisme italien

Publié : 16 oct. 2016, 23:09
par _AlbatorConterdo
Nonoms a écrit :Cassani dans l'attente d'une greffe de cerveau.
Bah, il a fait avec ce qu'il avait sous la main. amafote: Sur la fin, tout le monde était cramé, le surnombre n'a profité à personne.
Depuis qu'il dirige la Nazionale, au moins, l'équipe est entreprenante.