Forum cyclisme de Velo-Club du Net

l'est républicain publie quelques photos de la nouvelle arrivé aux belles filles :
[urlhttps://www.estrepublicain.fr/edition-de-vesoul ... listes#0_7][/url]
je vais essayer de monter la haut quand il fera un peu meilleur

Plutôt satisfait de ce parcours. Il est bien équilibré. On aura le droit à une belle première semaine et cette étape de la planche me plaît bien, mais le final est il asphalté ou le sera t il pour le tour?

Ravi de voir de grands cols à plus de 2000 m, le final à Valtho va faire mal, plus de 30 bornes ça me semble interminable. Assez d'accord sur le fait qu'il manque de km sur les étapes de montagne, celle de Bagneres de Bigorre ne sert pas à grand chose.

Sur l'étape d'Embrun ça aurait été sympa de glisser l'ascension du col de Pontis en début de course histoire de faire chauffer les machines

J'aurais aimé voir un chrono plus long genre 45-50 km. Cependant il est idéalement placé je trouve.

Difficile en tout cas de détacher un favori, on à l'hiver pour y réfléchir

rbl85 a écrit : 26 oct. 2018, 18:12 Valverde pour l'interdiction des SRM
http://www.cyclingnews.com/features/val ... yond-2020/

Et Quintana qui est d'accord, en ajoutant un argument intéressant. Quand quelqu'un attaque, le premier réflexe des coéquipiers du train, c'est de regarder leur SRM, et ainsi ils savent tout de suite si l'attaque a une chance ou pas... Aux sensations, ils auraient quand même plus de mal.

Kaou a écrit : 26 oct. 2018, 18:44 Plutôt satisfait de ce parcours. Il est bien équilibré. On aura le droit à une belle première semaine et cette étape de la planche me plaît bien, mais le final est il asphalté ou le sera t il pour le tour?

Ravi de voir de grands cols à plus de 2000 m, le final à Valtho va faire mal, plus de 30 bornes ça me semble interminable. Assez d'accord sur le fait qu'il manque de km sur les étapes de montagne, celle de Bagneres de Bigorre ne sert pas à grand chose.

Sur l'étape d'Embrun ça aurait été sympa de glisser l'ascension du col de Pontis en début de course histoire de faire chauffer les machines

J'aurais aimé voir un chrono plus long genre 45-50 km. Cependant il est idéalement placé je trouve.

Difficile en tout cas de détacher un favori, on à l'hiver pour y réfléchir

Y a quand même 2 favoris qui se dégagent nettement, non ?

Sauf maladie ou blessure les concernant, il faudra attendre un match au couteau entre Froome et Dumoulin. On sait déjà quelle formation dominera la course (toujours la même), mais Dumoulin peut parfaitement calquer sa course sur celle de Froome et l'emporter.


On peut proposer n'importe quel parcours, Froome et Dumoulin sont les 2 coureurs qui offrent le meilleur éventail de qualités pour remporter le Tour. Y a aussi Thomas et Roglic, mais le premier sera absent, et le 2è n'a pas encore l'asssurance et la régularité de ses 2 rivaux. On l'a vu un peu limite sur l'Alpe d'Huez et passer à côté du chrono d'Espelette.

Val Thorens 94, c'est l'étape où Pantani (avec encore quelques cheveux) fait un " sacré numéro " :smileythierryadam:

Il chute en début de l'étape et passera à l'attaque dans la Madeleine et dans la montée finale.




Ce jour là il a vraiment marqué les esprits .

Concernant les SRM, Chassé a dit une remarque très intéressante hier soir sur lequipe du soir !

Il a indiqué que l'entraineur d'un grand coureur français lui avait envoyé un SMS pour lui dire qu'il 'était contre la suppression des SRM, qu'il trouvait ça dommage, et que ça ne changerait rien au spectacle.

Julien Pinot donc :)

Probablement Fred Grappe, il a twitté sur le sujet ou Julien Pinot.

Les entraineurs sont probablement en grande majorité contre la suppression des SRM en course.

De la même manière que les DS sont contre la suppressions des oreillettes !

On ne peut être juge et partie de manière objective, et ils n'ont pas envie qu'on leur casse leurs jouets !

J'ai parcouru rapidement qq pages sur le forum cycling news et un gars (Dekker -tifosi, un néerlandais) a écrit que Dumoulin n'utilisait jamais de SRM en course. Ca m'étonne beaucoup cette histoire. Sûr que les rouleurs montent souvent au train mais à ce point j'ai rarement vu et il donne quand même vraiment l'impression de gérer ses ascensions. Si c'est vraiment le cas bravo.

Après concernant la capacité des coureurs à juger quelle puissance ils développent je pense quand même que sans compteur divers ça risque de leur jouer des tours à certains moments. De toute façon faut bien essayer quelque chose, le cyclisme en montagne devient si souvent soporifique.

Si comme le prétendre ces entraîneur les SRM ne servent qu’à l’analyse après course il ne devrait pas être trop difficile d’empêcher le coureur d’avoir accès aux données pdt la course.

C’est quand même assez drôle de voir que tout les coureurs se trimbalent avec un truc qui, comme ils le prétendent, ne sert à rien...

Je suis pour la suppression des SRM, mais je ne suis pas sûr que ça ait un vrai impact !

-Vélomen- a écrit : 26 oct. 2018, 22:03 Je suis pour la suppression des SRM, mais je ne suis pas sûr que ça ait un vrai impact !

Ben ce que j'en pense moi, c'est que si ça pouvait apporter ne serait-ce que 1 à 5% d'incertitude en course en +, je prends.

Juste un mot sur les SRM:sur un col régulier dont le coureur connait le pourcentage,avec sa seule valeur de vitesse instantanée il peut connaître sa puissance instantanée. On est d'accord il va pas faire le calcul de tête pendant qu'il pédale,mais c'est pas difficile d'apprendre par coeur que quand tu roules à x km/h sur une pente à y % ,tu développes z watt .

Comme je suis un put*** de génie/un visionnaire ( ) , j'auto-cite ce message daté du 7 août et répondant, si mes souvenirs sont bons, à un tweet de Kwiatkowski.

Lemon-Curry a écrit : 06 août 2018, 21:35
Je pense que dans les prochains temps on risque d'avoir pas mal de témoignages de coureurs qui ne voudront pas qu'on enlève le SRM étant donné que celui-ci leur est complètement inutile.

J'insiste là dessus mais, à mon avis, si on assiste à une telle campagne des coureurs, DS et entraîneurs vantant l'inutilité des SRM, il serait naïf de croire que celui-ci est simplement interchangeable avec l'instinct et les sensations du coureur.

Edit : et je reconnais également que la surpression des SRM ne fera pas disparaître le fléau Sky de la surface du cyclimse mais toute réforme allant dans le sens de l'incertitude est à mon sens bonne à prendre.

J'aimerai bien savoir depuis quand on n'a pas eu l'enchainement Vars, Izoard et Galibier

pierrefromalsace a écrit : 26 oct. 2018, 18:09

levrai-dufaux a écrit : 26 oct. 2018, 12:26

- L'étape de Valloire : j'ai du mal à croire que ça attaque dans l'Izoard, le Lautaret est un véritable mouroir pour attaquant, donc finalement ça risque de se résumer à quelques kilomètres de bagarre.

Repasse-toi la 18ème étape du Tour de France 2011.

https://www.youtube.com/watch?v=iA7EyS4efZQ

Beau souvenir cette étape, oui.
Et j'aimerais bien y croire pour l'an prochain. Mais en 2019, il y aura 3 lettres qui changent pas mal la donne à mes yeux par rapport à 2011 : SKY.

La façon dont les SRM sont défendus par les coureurs / DS / entraîneurs laisse songeur
Vivement qu'on soit débarrassé de ces foutus écrans !



Pour en revenir au parcours, certains forumeurs regrettent de ne pas voir de parcours favorables à des offensives de loin. Je ne comprend pas trop ce reproche. Les grands tours étant des courses où la préservation des forces est un enjeu majeur, il n'y a pas de profil propice aux attaques lointaines. En revanche, certaines circonstances (pas d'équipe dominante type Sky pour défendre, écarts importants dont est victime un grand coureur) peuvent conduire à des Fuenté Dé ou Forrmigal, qui n'avaient rien d'adaptés à de tels mouvements a priori.
En revanche, je regrette l'absence d'étape qui démarre à froid par un gros col. Ce sont souvent des étapes spectaculaires, dans lesquelles les grosses équipes peuvent placer des pions à l'avant, la Sky maîtrisant trop facilement le filtrage sur le plat. Par exemple sur l'étape de Valloire, ce sera difficile de tomber sur un coéquipier à Briançon pour remonter contre le vent. Résultat : je n'attend pas d'attaque avant le col du Lautaret. Idem pour l'étape de Foix.

Vous êtes nombreux à évoquer l'importance de l'altitude dans le déroulement de la course. Est-ce possible de pousser plus loin, comme pour les types de pentes ou d'efforts, en dressant une liste de coureurs à qui l'altitude peut profiter et une liste de coureurs qui ont déjà coincé dans ces circonstances ?
Ex : peut-on anticiper sur le comportement d'un Roglic (mon favori pour l'an prochain avant de connaître sa forme) en haute altitude ?

levrai-dufaux a écrit : 26 oct. 2018, 23:27

pierrefromalsace a écrit : 26 oct. 2018, 18:09

Repasse-toi la 18ème étape du Tour de France 2011.

https://www.youtube.com/watch?v=iA7EyS4efZQ

Beau souvenir cette étape, oui.
Et j'aimerais bien y croire pour l'an prochain. Mais en 2019, il y aura 3 lettres qui changent pas mal la donne à mes yeux par rapport à 2011 : SKY.

Et puis l'étape comportait l'Agnello à la place du Vars, autre différence notable.

cytep33 a écrit : 26 oct. 2018, 22:15 Juste un mot sur les SRM:sur un col régulier dont le coureur connait le pourcentage,avec sa seule valeur de vitesse instantanée il peut connaître sa puissance instantanée. On est d'accord il va pas faire le calcul de tête pendant qu'il pédale,mais c'est pas difficile d'apprendre par coeur que quand tu roules à x km/h sur une pente à y % ,tu développes z watt .

Un col vraiment régulier c'est rare, tu changes sans arrêt entre 6/7/8/9/10/11 %, . Le vent introduit une variable supplémentaire, ainsi que l'abri (qui lui même joue différemment selon la vitesse). Non, je crois que seul le SRM permet une perception fine des choses.