Re: Dopage 2017
Publié : 09 août 2017, 22:08
Et moi je m'exprime souvent ici mais je vois pas trop l'intérêt de vouloir comparer les performances de X et y 20 ans après sur la base d'hypothèses foireuses. 

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Je ne compare pas, on est juste plus indulgent avec certains coureur par rapport a d'autres sur le dopage des années 90 au niveau des performances...Nopik a écrit : 09 août 2017, 22:08 Et moi je m'exprime souvent ici mais je vois pas trop l'intérêt de vouloir comparer les performances de X et y 20 ans après sur la base d'hypothèses foireuses.![]()
Le quidam c'était Bassons qui le dominait lors des stages pré-saisonCoeur-de-Lyon a écrit : 09 août 2017, 20:59 J'adore, on dirait qu'on parle d'un tocard. Sans EPO ce serait un quidam genre![]()
Lis l'interview de Beloki dans le dernier Pédale! Bouleversant et passionnant à lirebiquet a écrit : 09 août 2017, 20:26Je suis plutôt d'accord avec Gato. La grande majorité des cyclistes espagnols ont payé, et parfois cher. A Peyragudes, j'ai croisé la route de Joseba Beloki (très sympa et accessible, ce gars) et Jon Odriozola, et ça m'a rappelé que pas mal de champions espagnols ont été sortis du jeu à la suite de l'affaire Puerto.
"A Festina, en hiver, je distançais Virenque dans les côtes, j'avais de meilleurs tests que Zülle (champion du monde de contre-la-montre, deux fois deuxième du Tour). Puis, dès que le système se mettait en place, je rétrogradais dans la hiérarchie de l'équipe. Il ne faut pas se voiler la face : un coureur qui carbure à l'EPO se donne l'avantage d'un véritable turbo. Je pense qu'entre un mec clean qui termine dans les quatre-vingts premiers à Paris et le vainqueur qui se charge, il n'y a pas d'écart. Si tu les places sur un pied d'égalité, le quatre-vingtième termine peut-être devant le maillot jaune. "Vincenzo60 a écrit : 09 août 2017, 23:21Le quidam c'était Bassons qui le dominait lors des stages pré-saisonCoeur-de-Lyon a écrit : 09 août 2017, 20:59 J'adore, on dirait qu'on parle d'un tocard. Sans EPO ce serait un quidam genre![]()
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On saura jamais
Qu'il exagère peut être un peu sur le 80eme, mais que dans le fond son discours est correct.Coeur-de-Lyon a écrit : 09 août 2017, 23:41"A Festina, en hiver, je distançais Virenque dans les côtes, j'avais de meilleurs tests que Zülle (champion du monde de contre-la-montre, deux fois deuxième du Tour). Puis, dès que le système se mettait en place, je rétrogradais dans la hiérarchie de l'équipe. Il ne faut pas se voiler la face : un coureur qui carbure à l'EPO se donne l'avantage d'un véritable turbo. Je pense qu'entre un mec clean qui termine dans les quatre-vingts premiers à Paris et le vainqueur qui se charge, il n'y a pas d'écart. Si tu les places sur un pied d'égalité, le quatre-vingtième termine peut-être devant le maillot jaune. "Vincenzo60 a écrit : 09 août 2017, 23:21
Le quidam c'était Bassons qui le dominait lors des stages pré-saison![]()
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Qu'est-ce qu'on peut répondre à ça![]()
Tout à fait d'accord.On3 a écrit : 10 août 2017, 07:56 Sans vouloir lui jeter la pierre, on a aussi toujours des "champions de l'entraînement". La course c'est pendant la saison, mais on a toujours le gars qui met tout le monde à l'amende en Décembre lors du stage.
Ça dépend de tellement de facteurs. Autant je ne remets pas en cause le dopage de l'un, et la probité de l'autre. Autant dire qu'il aurait mis Zulle et Virenque à l'amende sans dopage sur la base des entraînements hivernaux, c'est sans doute aller un peu vite en besogne.
Ah non mais pour moi, Virenque était, et de loin, le meilleur grimpeur-baroudeur des années EPO. Y avait que lui pour réaliser ces longues chevauchées à la Manzanèque, Chozas, Lopez-Carril, Chiappucci, etc.lechero a écrit : 09 août 2017, 21:47 C'est dingue pour la majorité sur ce forum Virenque sans dopage c'est un quidam, et Pantani quand il fait ses envolées c'est fantastique, quel grimpeur etc....Limite ses grandes victoires sur le giro ou sur le tour on mentionne pas le dopage.
Courchevel 1997 c'est le dopage et deux alpes 1998 c'est un exploit selon vous.![]()
Jiménez a le même traitement par rapport a Virenque.
J'ai du mal a comprendre les deux poids deux mesures...
Biquet a mentionner sa victoire a joux plane controversé selon lui mais Virenque il devance qui? Kelme/ Télécom/ us postal..
Les même pratique pour tout le monde il me semble....
Pourquoi beaucoup de coureurs dans les années 90 sont considérés malgré tout comme des grands champions et Virenque nan?
Dans les années 90 on a eu trois grimpeurs charismatiques au destin assez tragique Virenque/Jimenez/ Pantani
Deux sont morts et aujourdhui on remet pas trop leur performance en doute.
Un est vivant mais mis plus bas que terre et sans un mental exceptionnel aurait pu avoir le même destin que les deux autres et on remet en doute sa carrière.
CQFD :El_Pistolero_07 a écrit : 10 août 2017, 09:16 Oui c'est aussi vrai, l'hiver passé, je me suis fait massacré plusieurs fois par un collègue de club, je me disais "putain il est fort le con." Ben en fait, une fois le printemps arrivé, mes jambes se sont remisent en route et lui, ben il avait pas progressé et au final, je l'attendais un bon moment en haut des côtes... Depuis, après lui avoir mis 2 minutes sur une côte de 3 kms, il roule plus avec moi...
Coeur-de-Lyon a écrit : 09 août 2017, 23:41"A Festina, en hiver, je distançais Virenque dans les côtes, j'avais de meilleurs tests que Zülle (champion du monde de contre-la-montre, deux fois deuxième du Tour). Puis, dès que le système se mettait en place, je rétrogradais dans la hiérarchie de l'équipe. Il ne faut pas se voiler la face : un coureur qui carbure à l'EPO se donne l'avantage d'un véritable turbo. Je pense qu'entre un mec clean qui termine dans les quatre-vingts premiers à Paris et le vainqueur qui se charge, il n'y a pas d'écart. Si tu les places sur un pied d'égalité, le quatre-vingtième termine peut-être devant le maillot jaune. "Vincenzo60 a écrit : 09 août 2017, 23:21
Le quidam c'était Bassons qui le dominait lors des stages pré-saison![]()
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Qu'est-ce qu'on peut répondre à ça![]()
.Coeur-de-Lyon a écrit : 09 août 2017, 23:41"A Festina, en hiver, je distançais Virenque dans les côtes, j'avais de meilleurs tests que Zülle (champion du monde de contre-la-montre, deux fois deuxième du Tour). Puis, dès que le système se mettait en place, je rétrogradais dans la hiérarchie de l'équipe. Il ne faut pas se voiler la face : un coureur qui carbure à l'EPO se donne l'avantage d'un véritable turbo. Je pense qu'entre un mec clean qui termine dans les quatre-vingts premiers à Paris et le vainqueur qui se charge, il n'y a pas d'écart. Si tu les places sur un pied d'égalité, le quatre-vingtième termine peut-être devant le maillot jaune. "Vincenzo60 a écrit : 09 août 2017, 23:21
Le quidam c'était Bassons qui le dominait lors des stages pré-saison![]()
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Qu'est-ce qu'on peut répondre à ça![]()
_JacLaffite a écrit : 10 août 2017, 10:20CQFD :El_Pistolero_07 a écrit : 10 août 2017, 09:16 Oui c'est aussi vrai, l'hiver passé, je me suis fait massacré plusieurs fois par un collègue de club, je me disais "putain il est fort le con." Ben en fait, une fois le printemps arrivé, mes jambes se sont remisent en route et lui, ben il avait pas progressé et au final, je l'attendais un bon moment en haut des côtes... Depuis, après lui avoir mis 2 minutes sur une côte de 3 kms, il roule plus avec moi...
El_Pistolero_07
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si je prend 1 kg d'epo je vais pas gagné a l'alpe c'est certainmc-enroe31 a écrit : 10 août 2017, 12:07
Pantani, Virenque, Indurain, Ullrich, etc... étaient tous des champions n'en déplaise à ceux qui ne savent que donner des leçons de morale.