Tour du Pays Basque 2017 (UWT)
Publié : 06 avr. 2017, 21:28
Quel coureur ce Roglic !
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Vraiment impressionante sa victoire hier. Surtout que le terrain ne semblait pas trop s'y preter avec ces grandes routes et même si la chute a peut être légèrement ralenti le peloton, il a du envoyer du watt!pierrefromalsace a écrit :Quel coureur ce Roglic !
J'espère que c'est pas trop grave sinon c'est la poisse.pascualito a écrit :Abandon de Alaf (douleur au genou).
avec les équipes de Grands Tours, quelque soit le profil, c'est toujours une course d'attente.metatron a écrit :La course est quand même ennuyeuse, 31 coureurs en 3 secondes la veille de l'arrivée c'est quand même triste. Les organisateurs ont voulu alléger le parcours pour favoriser le spectacle mais on peut constater que ça Arrate.
C'est vrai cette année mais il me semble que l'année dernière, on avait plutôt eu une belle course. En 2015, je ne me souviens plus trop. En 2014, Valverde et Contador avait tout fait péter dans le final de la 1ère étape (qui s'y prêtait).Transju27 a écrit :avec les équipes de Grands Tours, quelque soit le profil, c'est toujours une course d'attente.metatron a écrit :La course est quand même ennuyeuse, 31 coureurs en 3 secondes la veille de l'arrivée c'est quand même triste. Les organisateurs ont voulu alléger le parcours pour favoriser le spectacle mais on peut constater que ça Arrate.
On attend l'étape qui fera la décision, puis dans la dite-étape, on attend le talus qui va bien, puis on attend le dernier km pour accélérer. Parce que après faut se réserver pour le CLM. Bref, toujours une bonne raison d'être attentiste, on s'emmerde. Et en plus c'est toujours les mêmes qui raflent la mise.
Je ne comprends pas qu'il n'y ait pas plus d'initiatives dans les courses de seconde zone comme le Pays Basque. Tous les leaders sont comme paralysés. En fait ils se comportent comme en stage, on fait monter les watts, on calcule. Mais la course, ils ne savent plus ce que c'est.
Pas bête. Mais faut pas que l'arrivée au sommet creuse de trop gros écarts, sinon, c'est quasiment plié d'entrée de jeu. L'équilibre est vraiment trés dur à trouver.bullomaniak a écrit :Mettre un gros col arrivée au sommet rapidement, puis faire une décroissance des difficultés avec les étapes les plus faciles à la fin. Garantie de succès 85%.biquet a écrit :Les derniers Tour du Pays-Basque étaient trop durs, et au départ, sur 180 gars, tu avais environ 170 bons grimpeurs. Du coup, les gars se tenaient de prés, les différences étaient faibles, et on se faisait un peu chier, quand même.
Cette fois, les organisateurs sont passés dans l'extrémité inverse : parcours facile, quelques rouleurs et sprinters présents, mais bon, on se fait toujours autant chier, si ce n'est pas plus.
Si quelqu'un a une solution pour relancer les épreuves par étapes, notamment celles qui sont favorables aux grimpeurs.. amafote:
Mais justement, le Pays-Basque est loin d'être une course de seconde zone. C'est la 2è plus grande course par étapes du calendrier espagnol, derrière la Vuelta. Lorsque Contador, Valverde, Quintana, Porte et les autres disputent cette course, c'est pour la gagner, et pas autre chose. Les équipes de ces grands leaders arrivent trés bien armées, et du coup, tout est verrouillé. On entend parfois les cadors dire qu'ils y préparaient les Ardennaises (surtout les battus), mais en réalité, sur le terrain, ils ne lâchent rien et courent tous pour la gagne.Transju27 a écrit :avec les équipes de Grands Tours, quelque soit le profil, c'est toujours une course d'attente.metatron a écrit :La course est quand même ennuyeuse, 31 coureurs en 3 secondes la veille de l'arrivée c'est quand même triste. Les organisateurs ont voulu alléger le parcours pour favoriser le spectacle mais on peut constater que ça Arrate.
On attend l'étape qui fera la décision, puis dans la dite-étape, on attend le talus qui va bien, puis on attend le dernier km pour accélérer. Parce que après faut se réserver pour le CLM. Bref, toujours une bonne raison d'être attentiste, on s'emmerde. Et en plus c'est toujours les mêmes qui raflent la mise.
Je ne comprends pas qu'il n'y ait pas plus d'initiatives dans les courses de seconde zone comme le Pays Basque. Tous les leaders sont comme paralysés. En fait ils se comportent comme en stage, on fait monter les watts, on calcule. Mais la course, ils ne savent plus ce que c'est.
Désolé, mais faire 4 ou 5 ème du Pays Basque ne garni pas un palmarès. C'est une course de préparation, pour les Ardennaises ou pour les GT. Alors si dans ces courses là, on doit se contenter de l'échappée matinale et patienter jusqu'à 2 bornes de l'arrivée, c'est à désespérer du cyclisme.biquet a écrit :Mais justement, le Pays-Basque est loin d'être une course de seconde zone. C'est la 2è plus grande course par étapes du calendrier espagnol, derrière la Vuelta. Lorsque Contador, Valverde, Quintana, Porte et les autres disputent cette course, c'est pour la gagner, et pas autre chose. Les équipes de ces grands leaders arrivent trés bien armées, et du coup, tout est verrouillé. On entend parfois les cadors dire qu'ils y préparaient les Ardennaises (surtout les battus), mais en réalité, sur le terrain, ils ne lâchent rien et courent tous pour la gagne.Transju27 a écrit :avec les équipes de Grands Tours, quelque soit le profil, c'est toujours une course d'attente.metatron a écrit :La course est quand même ennuyeuse, 31 coureurs en 3 secondes la veille de l'arrivée c'est quand même triste. Les organisateurs ont voulu alléger le parcours pour favoriser le spectacle mais on peut constater que ça Arrate.
On attend l'étape qui fera la décision, puis dans la dite-étape, on attend le talus qui va bien, puis on attend le dernier km pour accélérer. Parce que après faut se réserver pour le CLM. Bref, toujours une bonne raison d'être attentiste, on s'emmerde. Et en plus c'est toujours les mêmes qui raflent la mise.
Je ne comprends pas qu'il n'y ait pas plus d'initiatives dans les courses de seconde zone comme le Pays Basque. Tous les leaders sont comme paralysés. En fait ils se comportent comme en stage, on fait monter les watts, on calcule. Mais la course, ils ne savent plus ce que c'est.
Les coureurs de GT, lorsqu'ils définissent leurs objectifs, c'est d'abord les GT, évidemment, et puis en 2è rang, c'est des courses comme Paris-Nice, Tirreno, la Catalogne, le Pays-Basque. Ces courses sont trés importantes pour eux. L'avantage de Paris-Nice et de Tirreno, c'est qu'elles sont disputées en même temps, et du coup, les gros collectifs sont divisés en 2. En plus, certains coureurs y sont encore en rodage, et les écarts se font un peu plus facilement.
Au Pays-Basque, la majorité des gars sont déjà en trés bonne condition.
Peut être qu'avec des équipes plus réduites et un plus grand recours aux petites routes.... :good:Transju27 a écrit :avec les équipes de Grands Tours, quelque soit le profil, c'est toujours une course d'attente.metatron a écrit :La course est quand même ennuyeuse, 31 coureurs en 3 secondes la veille de l'arrivée c'est quand même triste. Les organisateurs ont voulu alléger le parcours pour favoriser le spectacle mais on peut constater que ça Arrate.
On attend l'étape qui fera la décision, puis dans la dite-étape, on attend le talus qui va bien, puis on attend le dernier km pour accélérer. Parce que après faut se réserver pour le CLM. Bref, toujours une bonne raison d'être attentiste, on s'emmerde. Et en plus c'est toujours les mêmes qui raflent la mise.
Je ne comprends pas qu'il n'y ait pas plus d'initiatives dans les courses de seconde zone comme le Pays Basque. Tous les leaders sont comme paralysés. En fait ils se comportent comme en stage, on fait monter les watts, on calcule. Mais la course, ils ne savent plus ce que c'est.
Mais c'est à eux qu'il faut le dire. Le problème, c'est que dans les faits, ils ne considèrent pas vraiment le Tour du Pays-Basque comme une course de préparation, mais avant tout comme une belle épreuve qu'il serait chouette d'inscrire à son palmarès. Valverde a remporté la Vuelta et 7 Ardennaises, mais avant le début de l'épreuve, il n'a pas fait mystère de ses ambitions: " Le Pays-Basque est une course qui m'a toujours échappé, je veux la gagner."Transju27 a écrit :Désolé, mais faire 4 ou 5 ème du Pays Basque ne garni pas un palmarès. C'est une course de préparation, pour les Ardennaises ou pour les GT. Alors si dans ces courses là, on doit se contenter de l'échappée matinale et patienter jusqu'à 2 bornes de l'arrivée, c'est à désespérer du cyclisme.biquet a écrit :Mais justement, le Pays-Basque est loin d'être une course de seconde zone. C'est la 2è plus grande course par étapes du calendrier espagnol, derrière la Vuelta. Lorsque Contador, Valverde, Quintana, Porte et les autres disputent cette course, c'est pour la gagner, et pas autre chose. Les équipes de ces grands leaders arrivent trés bien armées, et du coup, tout est verrouillé. On entend parfois les cadors dire qu'ils y préparaient les Ardennaises (surtout les battus), mais en réalité, sur le terrain, ils ne lâchent rien et courent tous pour la gagne.Transju27 a écrit : avec les équipes de Grands Tours, quelque soit le profil, c'est toujours une course d'attente.
On attend l'étape qui fera la décision, puis dans la dite-étape, on attend le talus qui va bien, puis on attend le dernier km pour accélérer. Parce que après faut se réserver pour le CLM. Bref, toujours une bonne raison d'être attentiste, on s'emmerde. Et en plus c'est toujours les mêmes qui raflent la mise.
Je ne comprends pas qu'il n'y ait pas plus d'initiatives dans les courses de seconde zone comme le Pays Basque. Tous les leaders sont comme paralysés. En fait ils se comportent comme en stage, on fait monter les watts, on calcule. Mais la course, ils ne savent plus ce que c'est.
Les coureurs de GT, lorsqu'ils définissent leurs objectifs, c'est d'abord les GT, évidemment, et puis en 2è rang, c'est des courses comme Paris-Nice, Tirreno, la Catalogne, le Pays-Basque. Ces courses sont trés importantes pour eux. L'avantage de Paris-Nice et de Tirreno, c'est qu'elles sont disputées en même temps, et du coup, les gros collectifs sont divisés en 2. En plus, certains coureurs y sont encore en rodage, et les écarts se font un peu plus facilement.
Au Pays-Basque, la majorité des gars sont déjà en trés bonne condition.
C'est justement dans ces courses, qu'il faut tenter de foutre le bordel et d'avoir une course de mouvement. Faire 5 ou 25 ça ne changera rien à leur carrière.
Equipes réduites à 7, petites routes, et quitte à être un peu vieux jeu, pourquoi toujours emprunter des chaussées parfaites ?? Oui, faut vivre avec son temps, cette sorte de chose, mais quand je vois les Strade Bianche, je me dis que ce serait pas une mauvaise idée d'introduire quelques bornes dans ce genre, même sur les courses par étapes d' 1 semaine. Ou alors sans aller jusque-là, retrouver des routes un peu pourries (s'il en existe encore). Dans les années 80, les Lacs de Covadonga étaient un vrai chantier, par exemple, et ça contribuait vraiment au côté mythique de cette escalade.veji2 a écrit :Peut être qu'avec des équipes plus réduites et un plus grand recours aux petites routes.... :good:Transju27 a écrit :avec les équipes de Grands Tours, quelque soit le profil, c'est toujours une course d'attente.metatron a écrit :La course est quand même ennuyeuse, 31 coureurs en 3 secondes la veille de l'arrivée c'est quand même triste. Les organisateurs ont voulu alléger le parcours pour favoriser le spectacle mais on peut constater que ça Arrate.
On attend l'étape qui fera la décision, puis dans la dite-étape, on attend le talus qui va bien, puis on attend le dernier km pour accélérer. Parce que après faut se réserver pour le CLM. Bref, toujours une bonne raison d'être attentiste, on s'emmerde. Et en plus c'est toujours les mêmes qui raflent la mise.
Je ne comprends pas qu'il n'y ait pas plus d'initiatives dans les courses de seconde zone comme le Pays Basque. Tous les leaders sont comme paralysés. En fait ils se comportent comme en stage, on fait monter les watts, on calcule. Mais la course, ils ne savent plus ce que c'est.
Pour moi c'est 5 pour les courses d'un jour, 6 pour les courses par étapes, 7 (au pire 8 soit) pour les GT. Essaies de contrôler un LBL avec 1 leader et 4 équipiers tiens, tu vas voir que ça sera différent.biquet a écrit :Equipes réduites à 7, petites routes, et quitte à être un peu vieux jeu, pourquoi toujours emprunter des chaussées parfaites ?? Oui, faut vivre avec son temps, cette sorte de chose, mais quand je vois les Strade Bianche, je me dis que ce serait pas une mauvaise idée d'introduire quelques bornes dans ce genre, même sur les courses par étapes d' 1 semaine. Ou alors sans aller jusque-là, retrouver des routes un peu pourries (s'il en existe encore). Dans les années 80, les Lacs de Covadonga étaient un vrai chantier, par exemple, et ça contribuait vraiment au côté mythique de cette escalade.veji2 a écrit :Peut être qu'avec des équipes plus réduites et un plus grand recours aux petites routes.... :good:Transju27 a écrit : avec les équipes de Grands Tours, quelque soit le profil, c'est toujours une course d'attente.
On attend l'étape qui fera la décision, puis dans la dite-étape, on attend le talus qui va bien, puis on attend le dernier km pour accélérer. Parce que après faut se réserver pour le CLM. Bref, toujours une bonne raison d'être attentiste, on s'emmerde. Et en plus c'est toujours les mêmes qui raflent la mise.
Je ne comprends pas qu'il n'y ait pas plus d'initiatives dans les courses de seconde zone comme le Pays Basque. Tous les leaders sont comme paralysés. En fait ils se comportent comme en stage, on fait monter les watts, on calcule. Mais la course, ils ne savent plus ce que c'est.