Je suis d'accord avec ça et avec les autres remarques.Mister_Nobody a écrit :Je suis d'accord....MAIS.kelmeur a écrit :Oui mais il y avait bien plus de chance que ça arrive il y a une semaine que demain.Mister_Nobody a écrit :Ce n'est pas si simple. Toi, dans ton canapé, c'est facile de le dire.Batman a écrit :Et tant mieux, on ne doit pas s’arrêter de vivre, au contraire.
Mais pour d'autres, les autorités par exemple, il y a certaines responsabilités, ne serait-ce que morales.
Si tu laisses courir et qu'il arrive quelque chose, c'est pour ta gueule après, et ça te suivra jusqu'à la fin.
Demain est probablement le jour le plus tranquille en Belgique, un attentat le lendemain d'un attentat ?
L'art de la guerre est justement de surprendre et de bousculer les certitudes.
Par exemple Bruxelles était étroitement surveillée depuis plusieurs mois, on pouvait aussi légitimement penser que les fous d'Allah iraient soit chercher une autre cible plus "facile", soit se cacher pour attendre un moment plus calme. Pourtant que nenni. C'est à cause de ces mêmes certitudes (entre autres) que l'on perd une guerre. Il faut être "imaginatif" et anticiper la "nouveauté". Bien sûr, plus facile à dire qu'à faire, on est d'accord.
Je veux simplement souligner que le fait qu'il y ait un attentat demain sur la course n'est pas tellement plus probable (voire moins probable ?) que sur n'importe quelle autre course de l'année a priori.
Après il y a aussi autre chose... même en mettant des flics et militaires à tous les endroits stratégiques qu'on voudra, comment empêcher un givré d'aller dans n'importe quel bistrot ou je ne sais quel lieu publique choisi aléatoirement et de se faire sauter et d'entraîner la mort de 20-30 civils ? On ne peut pas... c'est ça qui est terrible.