- 15 mai 2024, 17:29
#3675256
On longe l'Adriatique, d'abord en bord de mer jusqu'à Civitanova Marche pour 50 kilomètres sans histoires, puis dans les terres où là ça se complique un poil, avec 4 ascensions répertoriées au classement des grimpeurs, et une dernière montée raide au Monte Giove, à moins de dix kilomètres de la ligne. 2100 mètres de dénivelé positif en tout.
La partie vallonnée jusqu'au sprint bonification de Mondolfo présente pas moins de sept ascensions notables, dont seules 4 sont classées pour les grimpeurs, et qui présentent des pentes parfois raides, notamment la côte menant au premier sprint intermédiaire (2,3 km à 8%, point culminant de l'étape, 262 mètres), et celles d'Ostra (1 km à 8,8%). Néanmoins nous sommes sur des routes assez larges et roulantes.
Ce n'est plus le cas dans le final, l'ascension du Monte Giove par la Via Patuccia possédant toutes les caractéristiques du traquenard.
Sur le profil on note un raidard vicieux avec replat (et même légère descente) juste derrière, propice à faire la décision.
Les derniers kilomètres dans Fano comportent plusieurs virages à angle droit avec de courtes lignes droites. Dernier kilomètre en légère montée. Dernière ligne droite de 450 m et 8 m de large sur la via Antonio Gramsci. Le penseur gochiste avait prédit avant tout le monde la chute de l'empire Sky et les évènements qui suivront, prends note pour ton _taupique doli : Le vieux monde se meurt, le nouveau monde tarde à apparaître et dans ce clair-obscur surgissent les monstres mutants.
Les favoris :
Le lézard de la Barbade a les clés de la course.
Néanmoins sa meilleure chance est une course contrôlée et un suçage en règle des roues de Pogatchar. Pas certain que tous les peuncheurs l'entendent de cette oreille et l'hypothèse d'une échappée de gros moteurs est également séduisante.
Giro 2024 - Étape 12
Martinsicuro - Fano
193 km - 16 mai
Martinsicuro - Fano
193 km - 16 mai
A Rip, je tue l'intergiro.
Filippo Fiorelli, qui pose ses demi-couilles sur la table, et pas au conditionnel, lui.
Filippo Fiorelli, qui pose ses demi-couilles sur la table, et pas au conditionnel, lui.
On longe l'Adriatique, d'abord en bord de mer jusqu'à Civitanova Marche pour 50 kilomètres sans histoires, puis dans les terres où là ça se complique un poil, avec 4 ascensions répertoriées au classement des grimpeurs, et une dernière montée raide au Monte Giove, à moins de dix kilomètres de la ligne. 2100 mètres de dénivelé positif en tout.
La partie vallonnée jusqu'au sprint bonification de Mondolfo présente pas moins de sept ascensions notables, dont seules 4 sont classées pour les grimpeurs, et qui présentent des pentes parfois raides, notamment la côte menant au premier sprint intermédiaire (2,3 km à 8%, point culminant de l'étape, 262 mètres), et celles d'Ostra (1 km à 8,8%). Néanmoins nous sommes sur des routes assez larges et roulantes.
Ce n'est plus le cas dans le final, l'ascension du Monte Giove par la Via Patuccia possédant toutes les caractéristiques du traquenard.
Spoiler : :
Les derniers kilomètres dans Fano comportent plusieurs virages à angle droit avec de courtes lignes droites. Dernier kilomètre en légère montée. Dernière ligne droite de 450 m et 8 m de large sur la via Antonio Gramsci. Le penseur gochiste avait prédit avant tout le monde la chute de l'empire Sky et les évènements qui suivront, prends note pour ton _taupique doli : Le vieux monde se meurt, le nouveau monde tarde à apparaître et dans ce clair-obscur surgissent les monstres mutants.
Les favoris :
Le lézard de la Barbade a les clés de la course.
Néanmoins sa meilleure chance est une course contrôlée et un suçage en règle des roues de Pogatchar. Pas certain que tous les peuncheurs l'entendent de cette oreille et l'hypothèse d'une échappée de gros moteurs est également séduisante.
Pourisseur.