Sa dépends du degré mais par exemple Xavier Thevenard (Trail utmb) ça fait 3 ans qu'il traîne le truc et à vraiment du mal à revenir au premier plan
Modérateur : Modos VCN
Ça peut être très grave selon le degré d'empoisonnement du sang, ça peut aller et venir, c'est méconnu on va dire, et ça se traîne potentiellement à vie.MickaelKael11 a écrit : ↑28 mars 2024, 11:42Sa dépends du degré mais par exemple Xavier Thevenard (Trail utmb) ça fait 3 ans qu'il traîne le truc et à vraiment du mal à revenir au premier plan
Cela dépend du stade auquel cela est détecté. Si tu es dans les stades précoces tu peux tout à fait en guérir via un traitement antibiotique, qui peut détruire la bactérie. A priori pas uniquement durant la phase d'infection (les jours-semaine qui suivent la piqûre où un traitement antibiotique a un très haut taux de succès), mais également pour certain dans l'année qui suit l'infection. Juste c'est assez variable d'une personne à l'autre.loulou30 a écrit : ↑28 mars 2024, 19:07C'est pas potentiellement, c'est à vie. Lyme tu n'en guéri jamais. Tu perd petit à petit tes capacités physiques et les antibios permettent de stopper la dégradation de l'état du corps. S'il a détecté à temps la contamination, alors ça devrait aller. Si ça fait un bout de temps déjà...
C'est franchement un sale truc. J'espère qu'il s'en sortira avec le moins de séquelles possibles au quotidien déjà.
Sur le topic du Tour des Flandres, on annonce les côtes et aussi le sternum. Peut-être que ce dernier point est le plus problématique et long à à se remettre.
Si il s'arrête pisser au 1er passage du Vieux Quaremont, se planque derrière les arbres et ressort dans le paquet pour le 3 passage c'est jouable
Xav_38 a écrit : ↑28 mars 2024, 20:36Cela dépend du stade auquel cela est détecté. Si tu es dans les stades précoces tu peux tout à fait en guérir via un traitement antibiotique, qui peut détruire la bactérie. A priori pas uniquement durant la phase d'infection (les jours-semaine qui suivent la piqûre où un traitement antibiotique a un très haut taux de succès), mais également pour certain dans l'année qui suit l'infection. Juste c'est assez variable d'une personne à l'autre.loulou30 a écrit : ↑28 mars 2024, 19:07C'est pas potentiellement, c'est à vie. Lyme tu n'en guéri jamais. Tu perd petit à petit tes capacités physiques et les antibios permettent de stopper la dégradation de l'état du corps. S'il a détecté à temps la contamination, alors ça devrait aller. Si ça fait un bout de temps déjà...
C'est franchement un sale truc. J'espère qu'il s'en sortira avec le moins de séquelles possibles au quotidien déjà.
Mon épouse a été débarrassé de la maladie alors qu'elle était à un stade non négligeable, mais ce n'est pas le cas pour tout le monde.
Vu qu'il est sportif de haut niveau, bien suivie, cela m'étonnerait qu'il soit à un stade avancé, cela se serait déjà vu.
Mais, je ne suis pas médecin... juste une expérience personnelle familiale .
Ça se discute tout de même. Quand tu vois les blessures que tu peux te chopper sur les contacts violent en rugby ou en foot. Perso les copains que je voyais le plus arriver le lundi matin avec un platre suite à une fracture ou très grosses entorses, voire pire en s'étant fait les ligaments croisés, c'était les joueurs de rugby ou de foot, moins les cyclistes.dolipr4ne a écrit : ↑29 mars 2024, 13:42J’ai bien aimé ce qu’en avait conclu Iguane, il disait, à tres juste titre, que c’etait un sport brutal. Cruel aussi, bien sûr. Mais c’est aussi ce qui, entre autres choses, lui donne cette dimension si grande. J’arrive à voir une certaine similitude dans le ski alpin: ces gars (skieurs comme cyclistes) prennent vraiment des risques à chaque fois qu’ils enfilent un dossard, et il n’est jamais impossible que la course sur laquelle ils s’engagent soit la derniere. C’est quand meme autre chose que les sports de baballe, meme si ça fait frémir plus de gens.
Pour des non-sportifs peut-être, mais qu'en est-il d'un professionnel ? Les athlètes sont de telles mécaniques de précision qu'il suffit de peu pour les dégrader dans la hiérarchie. Si je perds un ou deux pourcent de mes capacités répercutées sur mes performances, je ne m'en apercevrai sans doute pas. Pour un cycliste pro, cela signifie changer de dimension.gradouble a écrit : ↑29 mars 2024, 06:51Oui, diagnostiquée au premier stade, ça guérit très bien. Je l'ai déjà eue.
Et pour ce qui est des stades suivants, il y a beaucoup de flou.
Pleins de gens l'ont déjà eu et ne le sauront jamais. Il peut y avoir des problèmes mais le plus souvent, il ne se passe rien du tout.
J'serai curieux de disséquer une étude de la sécu sur les conséquences financières des blessures/ITT provoquées par les activités sportives du week end. Mais effectivement, il n'y a pas photo, les joueurs de rugby sont bien plus vulnérables que les cyclistes (dont la majeure partie des blessures ne sont que des éraflures/brulures...)Xav_38 a écrit : ↑02 avr. 2024, 17:47Ça se discute tout de même. Quand tu vois les blessures que tu peux te chopper sur les contacts violent en rugby ou en foot. Perso les copains que je voyais le plus arriver le lundi matin avec un platre suite à une fracture ou très grosses entorses, voire pire en s'étant fait les ligaments croisés, c'était les joueurs de rugby ou de foot, moins les cyclistes.dolipr4ne a écrit : ↑29 mars 2024, 13:42J’ai bien aimé ce qu’en avait conclu Iguane, il disait, à tres juste titre, que c’etait un sport brutal. Cruel aussi, bien sûr. Mais c’est aussi ce qui, entre autres choses, lui donne cette dimension si grande. J’arrive à voir une certaine similitude dans le ski alpin: ces gars (skieurs comme cyclistes) prennent vraiment des risques à chaque fois qu’ils enfilent un dossard, et il n’est jamais impossible que la course sur laquelle ils s’engagent soit la derniere. C’est quand meme autre chose que les sports de baballe, meme si ça fait frémir plus de gens.
Nicolas Chauvin mort suite à un double plaquage
Et Ancelin ne va pas très bien suite au choc …. De voir Poitiers perdre une fois de plusXav_38 a écrit : ↑03 avr. 2024, 14:57Nicolas Chauvin mort suite à un double plaquage
Adrien Descrulhes mort dans son lit le lendemain d'un match où il fut victime d'une traumatisme crânien
Billy Guyton mort à 33 ans des suites d'une encéphalopathie traumatique chronique lié à des chocs nombreux à la tête en match...
...
Ce ne sont que quelques exemples sur ces dernière années, les cas de décès à la suite de choc sur les terrains de rugby sont sûrement très nombreux nombreux, cela vaut d'ailleurs beaucoup de débats .
L'idée n'étant bien sur pas de faire un concours du sport le plus dangereux... mais je pense que l'on a du mal à imaginer la violence des chocs dans le rugby de haut niveau.