- 14 juin 2022, 11:01
#3484790
Incontestablement, Froome aura marqué son époque. Son palmarès sricto sensu parle pour lui, il n'a guère d'équivalent depuis Indurain excepté "non attribué" .
Nibali, Contador, Ullrich, Basso, c'est du costaud, mais comme dit par Trinite, rien que l'exploit de détenir simultanément les 3 GT, c'est juste énorme!
Après, pourquoi malgré cela, Froomy ne restera pas dans ma mémoire. Ce n'est pas tant par son style bien moche ou par son éclosion tardive et les doutes autour de lui. Des doutes il y en a (eu) autour de bien d'autres coureurs, ça n'empêche pas de rêver un peu.
Non, c'est son équipe la principale responsable! Sky la métronome, sky la surpuissante, sky qui nous a pourri 6 tours entre 2012 et 2018 (hors 2014). Froome dans la peau de Pogi face à la jumbo aurait sans doute reçu plus de louanges qu'il n'en a .
Lui comme Wiggins en 2012 n'ont pas eu à forcer face à une concurrence non pas impuissante face au leader, mais face à son équipe.
Comment lutter contre une telle armada, Nairo nous a fait frissoner légèrement en 2013, davantage en 2015. Contador nous a fait vibrer le temps d'une bordure, Bardet a "take the risk" face à l'insubmersible puissance britannique.
Donc Froome, quel ouf de soulagement de ne plus avoir à le subir lui et son équipe, mais niveau palmarès, il convient quand même de s'incliner...
Nibali, Contador, Ullrich, Basso, c'est du costaud, mais comme dit par Trinite, rien que l'exploit de détenir simultanément les 3 GT, c'est juste énorme!
Après, pourquoi malgré cela, Froomy ne restera pas dans ma mémoire. Ce n'est pas tant par son style bien moche ou par son éclosion tardive et les doutes autour de lui. Des doutes il y en a (eu) autour de bien d'autres coureurs, ça n'empêche pas de rêver un peu.
Non, c'est son équipe la principale responsable! Sky la métronome, sky la surpuissante, sky qui nous a pourri 6 tours entre 2012 et 2018 (hors 2014). Froome dans la peau de Pogi face à la jumbo aurait sans doute reçu plus de louanges qu'il n'en a .
Lui comme Wiggins en 2012 n'ont pas eu à forcer face à une concurrence non pas impuissante face au leader, mais face à son équipe.
Comment lutter contre une telle armada, Nairo nous a fait frissoner légèrement en 2013, davantage en 2015. Contador nous a fait vibrer le temps d'une bordure, Bardet a "take the risk" face à l'insubmersible puissance britannique.
Donc Froome, quel ouf de soulagement de ne plus avoir à le subir lui et son équipe, mais niveau palmarès, il convient quand même de s'incliner...